Connue sous le nom de "stèle de l'Inventaire" et également découverte à Giseh, elle est considérée par la plupart des égyptologues modernes comme faisant état d'événements fictifs. Elle précise que Khoufoui (Khéops en grec) a vu le Sphinx. Comme Khoufoui-Khéops, constructeur supposé de la Grande Pyramide ( sur laquelle il y aurait aussi bien des choses à dire ), est le prédécesseur de Khâfrê-Khéphren, il est évident que ce dernier n'a pu ordonner l'aménagement du monument.
Au vu de cette hérésie, les sommités de la profession ont donc préféré discréditer la deuxième stèle et son contenu gênant pour mieux mettre en valeur une syllabe du nom "Khâfrê" inscrite sur une stèle de Thoutmosis à moitié détruite.
Parmi les égyptologues reconnus, très peu ont fait preuve de l'honnêteté de Selim HASSAN. En 1949, il déclarait : " Hormis la ligne tronquée inscrite sur la stèle de granite de Thoutmosis IV et ne prouvant rien, aucune inscription ancienne ne relie le Sphinx à Khâfrê. Si solide qu'elle nous apparaisse, nous devons qualifier cette indication de "circonstancielle", jusqu'à ce qu'un heureux hasard offre au monde une référence précise à l'érection de cette statue."
Pour l’heure, une nouvelle abasourdit Champollion. "Lorsque j’eus terminé le déroulement des papyrus historiques […], j’appris par hasard qu’il existait, dans les combles, quelques débris d’autres manuscrits Egyptiens, […]." Le destin va le conduire vers des documents capitaux et parmi eux celui qu’il nommera le canon royal.
"En entrant dans cette chambre que j’appellerai désormais le columbarium de l’histoire, je fus saisi d’un froid mortel en voyant une table de dix pieds de longueur couverte dans toute son étendue d’une couche de débris de papyrus, d’un demi-pied d’épaisseur au moins. […] ma blessure se rouvrit alors et saigna bien cruellement en reconnaissant (sic) que j’avais dans la main un débris de pièce daté de l’an XXIV du pharaon Aménophis-Memnon."
Il vient d’ouvrir une porte scellée qui mène au tombeau d’un passé totalement effacé des mémoires. "J’ai vu rouler dans ma main des noms d’années dont l’histoire avait totalement perdu le souvenir, des noms de Dieux qui n’ont plus d’autels depuis quinze siècles, et j’ai recueilli, respirant à peine, craignant de le réduire en poudre, tel petit morceau de papyrus, dernier et unique refuge de la mémoire d’un Roi qui, de son vivant, se trouvait peut-être à l’étroit dans l’immense Palais de Karnak !"
Il écrit à son frère qu’il a noté 160 à 180 prénoms royaux, dont 77 non mentionnés dans la Table d’Abydos. "Je suis convaincu qu’ils appartenaient tous aux Dynasties antérieures. Il me paraît également certain que ce Canon historique est du même temps que tous les manuscrits au milieu desquels j’en ai recueilli les débris, c’est à dire qu’il n’est point postérieur à la XIXème dynastie."
Cependant, l’ensemble reste incomplet ; or, "de tels trésors historiques peuvent ne point se retrouver deux fois,… Je ne m’en consolerai jamais…"
Les fragments de cette massue dont l'âge remonte aux environs des années -3 300 av. J.C. représentent essentiellement quatre scènes de la vie royale égyptienne :
Dans la partie haute un défilé de figurines-mascottes des divers nomes de Haute-Egypte qui brandissent sur chaque hampe un grand poisson pendu par la queue. Allusion à une probable victoire remportée par le roi Scorpion sur le royaume des pêcheurs du delta.
A gauche de la partie centrale un esclave menace de son bâton un captif ligoté, tandis qu'à côté les femmes égyptiennes (peut-être celles appartenant au harem de pharaon) se tressent les cheveux dans un décor de grandes fleurs de lotus stylisées. Au centre, le grand roi Scorpion (identifié par son emblème) couronné de la mitre blanche de Haute-Egypte et tenant dans sa main une houe reçoit d'un de ses sujets un plateau de grains symbolisant les récoltes, le paysan est accompagné d'une oie dont le cou se situe à même hauteur. A l'arrière apparaît un second personnage portant dans ses mains un vase pouvant contenir du raisin ou des fruits.
Dans la partie basse de la massue on distingue un homme entrain d'escalader un mur pendant que son compagnon agenouillé porte sur sa tête un grand bac de bois surmonté d'une immense abeille (symbole de la Basse-Egypte vaincue...) Même incomplet ce tableau pré-dynastique nous révèle la vie et le (manque de croyances) qui devraient figurer sur les armes royales du roi SCORPION ce qui prouve que la religion n'avait encore à cette période que peu d'importance.
Découverte en Egypte d'une tête de Ramses II sculptée en granit rouge
AP | 25.09.2008 | 15:58
L'organisme gouvernemental chargé du patrimoine antique de l'Egypte a révélé jeudi que des archéologues avaient mis à jour une tête en granite rouge vieille de 3.000 ans, censée représenter Ramses II, pharaon de la 19e dynastie.
Le Conseil suprême des Antiquités égyptiennes a précisé que la découverte avait été réalisée récemment à Tell Basta, une ville située à 80km au nord-est du Caire.
Le communiqué du Conseil diffusé jeudi indique que la tête haute de 80 centimètres appartenait à une statue colossale de Ramses II qui s'élevait autrefois dans la zone. Son nez est cassé et la barbe qui était attaché au menton du souverain manque à l'appel.
Le site de Tell Basta, qui était dédié à la déesse chatte Bastet, est longtemps demeuré un centre important de l'Egypte ancienne, de l'Ancien empire jusqu'à la période romaine. Les archéologues sont toujours en train de fouiller les lieux à la recherche du reste de la statue. AP
Ramsès II[/s]
Naissance v. -1305 Décès -1213 ou -1212
Egypte: une pyramide vieille de 4.300 ans
Source : AFP
11/11/2008 | Mise à jour : 17:32 | Commentaires 1
Une pyramide vieille de 4.300 ans a été découverte à la nécropole de Saqqara, à une vingtaine de kilomètres au sud du Caire, a annoncé aujourd'hui le ministre égyptien de la Culture, Farouk Hosni.
Haute de cinq mètres, la pyramide pourrait avoir eu une hauteur initiale de 15 mètres, selon le ministre. Elle a été construite pour la reine Sechséchet, mère du roi Teti, premier roi de la VIe dynastie de l'Ancien Empire, a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse à Saqqara.
L'immense nécropole de Saqqara, qui été utilisée de manière quasi continue durant toute l'Egypte antique, jusqu'à l'époque romaine, abrite la première pyramide jamais construite, la pyramide à degrés édifiée par Imhotep pour le roi Djéser vers 2.700 avant J.-C.
La base de la pyramide a été découverte à "20 mètres de profondeur sous le sable et un passage donnant accès à la sépulture a également été découvert", a ajouté le ministre de la Culture.
Il semblerait, a-t-il dit, que la pyramide ait été pillée.
Une nouvelle pyramide, vieille d'environ 4.300 ans, a été découverte sur le plateau de Saqqara, l'immense nécropole royale de l'antique Memphis, a annoncé le responsable des antiquités égyptiennes Zahi Hawass.
Selon lui, il s'agirait du temple funéraire de la reine Sesheshet, mère du roi Teti, fondateur de la VIème Dynastie de l'Ancien empire.
L'équipe d'archéologues travaillait depuis deux ans sur le site, à environ 19 km au sud du Caire, mais ce n'est qu'il y a deux mois qu'elle a eu la certitude que la structure haute de cinq mètres mise au jour dans les sables était bien une pyramide.
Il s'agit de la 118ème pyramide découverte à ce jour en Egypte
Zahi Hawass
Secrétaire général du conseil supérieur pour les antiquités égyptienne et explorateur permanent de la National Geographic Society
Egypte : la "plus belle" momie découverte
AFP
11/02/2009 | Mise à jour : 16:02 | Commentaires 3 | Ajouter à ma sélection
Des archéologues égyptiens ont mis au jour la "plus belle" momie découverte dans un sarcophage en pierre aujourd'hui dans la nécropole de Saqqara, au sud du Caire, a annoncé le Conseil suprême des antiquités dans un communiqué.
Le sarcophage avait été découvert dans une salle de sépulture datant de l'époque de la VIe dynastie de l'Ancien Empire (soit 4.300 ans avant J-C) et contenant 30 momies, précise le texte.
La découverte du site avait été annoncée lundi.
Selon le chef du Conseil suprême des antiquités égyptiennes, Zahi Hawass, la momie, décrite comme "complètement préservée, dans le plus bel état", pourrait contenir environ 100 amulettes en or utilisées pour protéger les morts.
La mission a également découvert un chien momifié qui pourrait avoir été préservé à la demande d'un des morts pour l'accompagner dans l'au-delà.
Le site de Saqqara est une vaste nécropole de la région de l'ancienne Memphis, où se trouvent d'innombrables tombes et les premières pyramides pharaoniques.
Egypte: Plus de 20 momies découvertes dans un tombeau
2009-02-10 07:18:32
(http://www.french.xinhuanet.com/french/2009-02/10/xin_58d525d43ae548099636cc677788685b.jpg)
LE CAIRE, 9 février (Xinhua) -- Une mission archéologique égyptienne a découvert deux douzaines de momies dans un tombeau ancien de l'ère pharaonique à Saqqara, au sud du Caire.
(http://www.french.xinhuanet.com/french/2009-02/10/xin_52b8db17c84744c3a6b7209d1abc4528.jpg)
Les momies ont été exhumées du tombeau, qui se trouve à l'ouest de la pyramide à degrés du roi de Zoser et date de la 6ème dynastie de l' ancienne Egypte (à 4 300 avant J.-C.), a annoncé l'agence de presse officielle MENA.
(http://www.french.xinhuanet.com/french/2009-02/10/xin_58515f6fdde749c2b2f7b67560dd0cc9.jpg)
Selon MENA, l'équipe archéologique, menée par le secrétaire général du Conseil suprême des Antiquités égyptiennes, Zahi Hawas, a découvert cinq trous, chacun des trous contenant quatre momies, une d'entre elles étant un chien.
Ils ont également retrouvé des squelettes et un cercueil long de 180 centimètres contenant la momie d'un homme nommé Badi Harri, qui vivait en 640 avant J.-C., a indiqué M. Hawas.
(http://www.french.xinhuanet.com/french/2009-02/10/xin_c220bc535fec49f1a732175902265f31.jpg)
Quatre autres cercueils en calcaire ont été découverts dans le tombeau.
"La mission l'ouvrira cette semaine", a révélé M. Hawas, et d'ajouter que l'équipe travaille dans cette zone depuis plus d'un an.
La tombe égyptienne d'Amenhotep redécouverte
Par Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences
Voilà près de 130 ans que cette tombe d'un haut dignitaire égyptien du quinzième siècle avant notre ère avait été découverte à Louxor... pour être ensuite perdue. Elle vient d'être à nouveau mise au jour par une équipe belge de l'Université libre de Bruxelles, dirigée par Laurent Blavay, qui nous a décrit cette découverte.
En 1882, près de la Vallée des rois, à Louxor, l’égyptologue suédois Karl Piehl fouille la nécropole de l'ancienne Thèbes, utilisée par les hauts dignitaires du Nouvel Empire (1550-1050 avant J.-C.). Sur la colline de Cheikh Abd el-Gourna, il découvre la tombe d'Amenhotep, au service du Pharaon Touthmosis III, qui vécut de 1479 à 1427 avant notre ère.
Recouverte de sable, la tombe fut ensuite perdue, malgré plusieurs campagnes de fouilles, pour n'être redécouverte qu'à la fin du mois de janvier 2009 par une équipe du Centre de Recherches archéologiques de l’Université libre de Bruxelles (ULB), sous la direction de Laurent Bavay. Cette mission archéologique travaille dans la nécropole de Thèbes depuis 1999 et a déjà étudié deux tombes de hauts fonctionnaires du Nouvel Empire.
(http://www.futura-sciences.com/uploads/RTEmagicC_Egypt_2_Amenhotep_Bavay_Petite.jpg.jpg)
La tombe encombrée de débris, telle qu'elle a été redécouverte. Les fouilles de l'équipe belge ont montré qu'un moine copte l'avait utilisée au huitième siècle comme lieu d'ermitage. Découverte dans les années 1880, elle fut aussi pillée puis ensevelie et oubliée avant d'être retrouvée par les scientifiques. (Cliquer sur l'image pour l'agrandir.) © Université libre de Bruxelles
Dans les coulisses du pouvoir
La tombe d'Amenhotep, creusée dans la roche, comporte plusieurs salles. Le plafond de la première est soutenu par six gros piliers et ses murs sont garnis de peintures indiquant les fonctions de la personne. Malheureusement, la plupart de ces peintures ont été détruites au dix-neuvième siècle, « probablement pour être vendues », estime Laurent Blavay.
Amenhotep était le premier substitut du chancelier du pharaon, c'est-à-dire un des plus hauts personnage de l'état. Le chancelier, en l'occurrence Senneseri, était au sens propre le garde des sceaux royaux et s'occupait des affaires financières. « C'était en quelque sorte le ministre de l'économie, résume Laurent Bavay, et Amenhotep était son premier assistant ». Il faisait même partie de sa famille puisqu'il avait épousé Renena, la fille de Senneseri. Son père, Ahmose, était responsable des troupeaux du dieu d’Amon et donc lui aussi un haut fonctionnaire. Ces éléments sont mentionnés par les écrits retrouvés au sein des peintures murales de la tombe et sont également corroborés par d'autres découvertes.
La tombe de Senneseri se trouve à deux cents de mètres de là et a été étudiée dans les années 1990. « On y a trouvé une statue, très bien conservée, qui représente Amenhotep et que l'on peut voir aujourd'hui au musée du Caire, rapporte Laurent Bavay. Avec l'emplacement de la tombe, proche de celles des plus hauts dignitaires, et sa dimension considérable, ces éléments montrent bien la valeur scientifique de cette découverte. »
Ce post me donne l’occasion de vous faire part de mon expérience dans la Grande Pyramide fin avril.
Nous étions 4 copines, dont 1 préparée, une autre sensible et la 3e pas du tout préparée mais aussi très jeune.
Dès l’entrée je sens une energie très forte qui n’a fait que s’accroître au fure et à mesure de l’ascension. Je me suis rendue compte après coupe que j’avais vécu cette ascention comme un chemin initiatique.
Arrivée dans la chambre du roi, l’energie est encore plus forte. Ma 1ere copine « préparée » s’allonge dans le sarcophage. Puis c’est mon tour. Je me sens aspirée vers le haut. L’expérience est de courte durée car un type se penche et dit « there ‘s a momie inside ». Je sors du sarcophage, mon autre copine « sensible » s’allonge à son tour. L’autre copine est alors assise en position de lotus. Je m’aprête à faire de même lorsque la lumière s’éteint environ 1 minute. Mes sensations sont encore décuplées. Je m’assois tout en gérant la 3e copine qui vit mal le truc. Je sens alors mes chakras taper comme jamais, en paticulier le plexus et celui de la gorge. C’est comme une méditation sans besoin d’exercices préparatoires, dont la manifestation est peut être puissance 10. Je me sens comme nettoyée, régénérée, en pleine sérénité. Nous redescendons alors. Dehors la 3e copine se met à pleurer. Avec les 2 autres, nos regard et expressions expriment la béatitude. Nous sommes plus centrées et faisons moins les folles.
Au retour mon chiro me sent apaisée et a fait en sorte que l’energie reçue soit ancrée. Lorsque je me décentre, il me suffit de me poser et de repenser à l’expérience pour me sentir à nouveau en totale sérénité. Mon regard sur les choses de ce monde a complétement changé et j’exprime avec le cœur ce que je savais intellectuellement. J’ai l’impression qu’il m’a été donné de passer un échelon dans mon évolution, sûrement parce que cette énergie a accru mon taux vibratoire. Pourvu que ça dure.
Ma copine « sensible » m’a ensuite dit que c’était comme si on lui avait montré une face inconnue d’elle-même qui serait son vrai moi. Tout simplement impressionant et pour moi ça dépasse clairement ce que l’humanité est ou a été capable de faire. Sur le site et dans la pyramide, j’ai vraiment eu cette impression de quelque chose de plus évolué et plus fort que nous.
Un radar révèle des sites possibles pour la tombe de Cléopâtre et Marc-AntoineI
NTERNATIONAL mer 15 avr 2009
Les archéologues en quête de la tombe de Marc-Antoine et de Cléopâtre pourraient être sur la bonne voie, a annoncé mercredi le Conseil supérieur des antiquités égyptiennes dans un communiqué. Une équipe dirigée par le patron des antiquités égyptiennes Zahi Hawass et Kathleen Martinez, une Egyptologue de la République dominicaine, pensent qu'il existe trois sites possibles pour la tombe des deux célèbres amants près d'un temple à l'ouest d'Alexandrie (nord). L'équipe, qui travaille sur les lieux depuis trois ans, va fouiller les trois endroits la semaine prochaine, ajoute le communiqué. Ils ont été identifiés grâce à un balayage par radar du temple, celui de Tasposiris Magna, construit en l'honneur de la déesse antique Isis lors de la période grecquo-romaine. "Il existe des preuves historiques dans les écrits du chroniqueur Plutarque, où il dit que Cléopâtre a été enterrée avec Marc-Antoine", a expliqué Mme Martinez. Pour l'instant, les archéologues ont découvert dans 27 tombes 10 momies de nobles, laissant supposer que la tombe du couple légendaire pourrait être proche. Cléopatre a régné sur l'Egypte voici plus de 2.000 ans, s'alliant avec Marc-Antoine, l'un des héritiers de l'Empire romain à l'assassinat de Jules César qu'elle a fini par épouser. Puis, leurs troupes mises en déroute par l'empereur romain Octave, les deux amants se sont suicidés.
Dig 'may reveal' Cleopatra's tomb
Coins of Cleopatra were said to show she was "in no way unattractive"
Archaeologists are to search three sites in Egypt that they say may contain the tomb of doomed lovers Anthony and Cleopatra.
Excavation at the sites, which are near a temple west of the coastal city of Alexandria, is due to begin next week.
Teams working in the area said the recent discovery of tombs containing 10 mummies suggested that Anthony and Cleopatra might be buried close by.
The teams also found a bust of Cleopatra and coins carrying her image.
The archaeologists from Egypt and the Dominican Republic have been excavating at the temple of Taposiris Magna for the last three years.
'Charm'
There they discovered a series of deep shafts in which it is thought that Anthony and Cleopatra might be buried, Egypt's Supreme Council of Antiquities said in a statement.
Alongside the coins and bust of Cleopatra, a mask believed to belong to Mark Anthony was also found.
The temple was built during the reign of King Ptolemy II (282-246BC).
Anthony and Cleopatra committed suicide in 30BC after losing the Battle of Actium.
Zahi Hawass, Egypt's chief archaeologist, said the coins found at the temple refuted "what some scholars have said about Cleopatra being very ugly".
"The finds from Taposiris reflect a charm... and indicate that Cleopatra was in no way unattractive," he said.
A team of experts from Newcastle University said two years ago that another set of coins showed the beauty of Anthony and Cleopatra portrayed in popular culture to have been exaggerated.
(http://newsimg.bbc.co.uk/media/images/45668000/jpg/_45668566_007176564-1.jpg)
Coins of Cleopatra were said to show she was "in no way unattractive"
Egyptians hope to find Cleopatra's tomb Sheera Frenkel
Cleopatra and Mark Antony were immortalised as two of history’s greatest lovers, but their final resting place has always been a mystery. Now archaeologists in Egypt are about to start excavating a site that they believe could conceal their tombs.
Zahi Hawass, director of Egypt’s Superior Council for Antiquities, said yesterday that there was evidence to suggest that Cleopatra and Mark Antony were buried together in the complex tunnel system underlying the Tabusiris Magna temple, 17 miles from the city of Alexandria.
The dig, which begins next week, could reveal answers to the many myths surrounding the pair — including speculation about the Queen’s reputed beauty and the couple’s suicide. Teams from Egypt and the Dominican Republic will begin excavating three sites along the tunnels in the hope that one of the deep shafts will lead to a burial chamber. The sites were identified by a radar scan.
Kathleen Martínez, an Egyptologist from the Dominican Republic who is working on the dig, said that the writing of Roman chroniclers indicated that the two were buried together. The discovery that ten mummies of nobles were buried at the site had strengthened evidence that Antony and Cleopatra could be close, she said.
Related Links
We may never know what happened to corpses
Last year archaeologists at the temple unearthed a bronze statue of the goddess Aphrodite, the alabaster head of a Queen Cleopatra statue and a mask believed to belong to Mark Antony. The expedition also found 22 coins bearing Cleopatra’s image, which Dr Hawass said showed an attractive face — debunking recent speculation on the queen’s renowned beauty. “The finds from Tabusiris reflect a charm. . . and indicate that Cleopatra was in no way unattractive,” Dr Hawass said in a statement.
British scholars threw cold water on the celebrity of Cleopatra’s beauty in 2007. Academics at the University of Newcastle argued that Cleopatra was a pointy-nosed, thin-lipped woman with a jutting jaw line — an assessment based on a Roman coin.
For most, Cleopatra will for ever be imagined as the stunning seductress portrayed by Elizabeth Taylor opposite Richard Burton in the 1963 Hollywood classic Cleopatra.
Dr Hawass, who first suggested the temple as the possible burial site of the couple nearly three years ago, has called the possible discovery of Antony and Cleopatra’s tomb “bigger than that of King Tutankhamun’s tomb”, which was discovered in 1922.
Other experts are cautious, however. John Baines, Professor of Egyptology at the University of Oxford, doubted that Antony would be buried alongside Cleopatra. “It’s unlikely Mark Antony would have a tomb that anyone would be able to discover because he was the enemy at the time he died,” he told The Times last year.Dr Hawass remains defiant. “This is our theory. Others may disagree, but we are searching to see if we can prove it,” he said.
He would not be the first to lay claim to Cleopatra’s remains. Most recently, a group of French archaeologists digging near Abu Qir Bay in Alexandria found the ruins of Cleopatra’s Palace. They, too, suggested that they would find the queen’s tomb, but nothing has been unearthed so far.
Sur la piste de la tombe de Cléopâtre
Les archéologues en quête de la tombe de Marc-Antoine et de Cléopâtre pourraient être sur la bonne voie, a annoncé mercredi le Conseil supérieur des antiquités égyptiennes dans un communiqué.
Une équipe dirigée par le patron des antiquités égyptiennes Zahi Hawass et Kathleen Martinez, une Egyptologue de la République dominicaine, pensent qu'il existe trois sites possibles pour la tombe des deux célèbres amants près d'un temple à l'ouest d'Alexandrie (nord).
L'équipe, qui travaille sur les lieux depuis trois ans, va fouiller les trois endroits la semaine prochaine, ajoute le communiqué.
Ils ont été identifiés grâce à un balayage par radar du temple, celui de Tasposiris Magna, construit en l'honneur de la déesse antique Isis lors de la période grecquo-romaine.
"Il existe des preuves historiques dans les écrits du chroniqueur Plutarque, où il dit que Cléopâtre a été enterrée avec Marc-Antoine", a expliqué Mme Martinez.
Pour l'instant, les archéologues ont découvert dans 27 tombes 10 momies de nobles, laissant supposer que la tombe du couple légendaire pourrait être proche.
Des pièces de monnaie frappées à l'effigie de Cléopâtre et d'Alexandre le Grand ont également retrouvées. Vingt-deux pièces en bronze montrent ainsi le profil de la reine de l'Egypte antique.
Ces pièces ainsi qu'un buste d'albâtre indiquent qu'il s'agissait d'une "beauté", assure Zahi Hawass. "Les pièces (...) qui dépeignent son visage et son cou (...) démentent les affirmations de certains érudits qui ont dit qu'elle était très laide".
En 2007, une étude menée par des chercheurs de l'université de Newcastle (Grande-Bretagne) avait conclu, après l'étude d'une pièce romaine bien conservée, que sa beauté avait été exagérée par la légende.
Cléopatre a régné sur l'Egypte voici plus de 2.000 ans, s'alliant avec Marc-Antoine, l'un des héritiers de l'Empire romain à l'assassinat de Jules César qu'elle a fini par épouser. Puis, leurs troupes mises en déroute par l'empereur romain Octave, les deux amants se sont suicidés
Lire la suite: http://www.rhedae-magazine.com/Sur-la-piste-de-la-tombe-de-Cleopatre_a592.html#ixzz2DwGPwXII (http://www.rhedae-magazine.com/Sur-la-piste-de-la-tombe-de-Cleopatre_a592.html#ixzz2DwGPwXII)
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Des fouilles pour retrouver la tombe de Cléopâtre
Des fouilles pour retrouver la tombe de Cléopâtre
Deux tombes datant de 4300 ans découvertes en Égypte
(http://www.cyberpresse.ca/images/bizphotos/569x379/200904/15/63856.jpg)
Les ruines du temple de Taposiris Magna, une une cité antique à l'est d'Alexandrie, où pourraient être enterrés Cléopâtre et Marc-Antoine.
Photo: AFP Rebecca Santana Associated Press
Le Caire
Des fouilles archéologiques vont débuter la semaine prochaine sur trois sites de Taposiris Magna, une cité antique proche d'Alexandrie, où pourraient être enterrés Cléopâtre et Marc-Antoine, a annoncé mercredi le Conseil suprême des antiquités égyptiennes.
Ces trois emplacements ont été repérés lors d'une étude topographique réalisée le mois dernier: le temple de Taposiris Magna a été passé au radar dans l'espoir de retrouver le lieu de sépulture de la reine d'Égypte et du général romain. Les corps des deux amants pourraient s'y trouver.
Le temple de Taposiris Magna est situé sur le lac Maréotis, à l'ouest d'Alexandrie, dans le nord de l'Égypte. Il a été construit durant le règne de Ptolémée II. Des équipes d'Égypte et de République dominicaine explorent le site depuis trois ans.
Cléopâtre, reine d'Égypte, et son amant, le général romain Marc-Antoine, se sont suicidés après la défaite de leurs troupes à la bataille d'Actium (31 av JC). Depuis, les spéculations vont bon train sur leur lieu de sépulture.
Dans le temple de Taposiris Magna ont été découvertes plusieurs cheminées profondes qui auraient pu servir de tombes. Les archéologues en charge des fouilles n'excluent pas que Cléopâtre et Marc-Antoine reposent dans un conduit de ce type.
L'année dernière sur le site, d'importants vestiges ont été mis au jour: la tête d'une statue d'albâtre représentant Cléopâtre, 22 pièces de monnaie à l'effigie de la reine d'Egypte, un masque ayant pu appartenir à Marc-Antoine, un bronze d'Aphrodite et une statue sans tête datant de l'époque ptolémaïque.
La tête d'albâtre et les pièces réfutent la théorie récente, soutenue par une équipe anglaise, qui voudrait que Cléopâtre ait été laide. Selon Zahi Hawass, secrétaire général du Conseil suprême des antiquités égyptiennes, «les découvertes de Taposiris reflètent un charme (...) et indiquent que Cléopâtre n'était en aucune façon laide».
Les scientifiques de l'université de Newcastle qui étaient arrivés à cette conclusion en 2007 se fondaient sur une pièce romaine montrant une reine d'Egypte au nez pointu, aux lèvres fines et au menton protubérant.
Archeologie: Des Archéologues pensent avoir identifié les restes de la soeur de Cléopatre.
(http://www.bbc.co.uk/pressoffice/images/bank/programmes_tv/factual/446cleopatra.jpg)
Mercredi 18 Mars 2009 marc Fernandez
Des archéologues et des experts médico-légaux pensent avoir identifié le squelette de la jeune sœur de Cléopâtre, assassinée sur les ordres de la célèbre reine égyptienne il y a plus de 2000 ans.
Les restes de la princesse Arsinoé IV (1) , mise à mort en 41 avant l’ère commune sur ordre de Cléopâtre et de son amant Marc Antoine afin d’éliminer une rivale, sont les premiers vestiges de la dynastie ptolémaïque à être identifiés.
La découverte, effectuée par une équipe autrichienne, et basée sur la conviction que le squelette retrouvé dans une tombe octogonale de la ville d’Ephèse était celui d’Arsinoé IV (2), a fourni des indications sur l’appartenance ethnique de Cléopâtre. Les chercheurs ont longtemps débattu sur ses origines : soit gréco-macédonienne, (comme son ancêtre Ptolémée, général macédonien d’Alexandre le Grand qui s'est fait roi d’'Égypte à la mort de celui-ci), soit originaire d’Afrique du Nord (Égypte ou Libye). Les éléments de preuve obtenus par l'étude des dimensions du crane d’Arsinoé démontrent que certaines de ses caractéristiques morphologiques sont caucasiennes, d’autres proches des anciens Égyptiens et aussi des nubiens, ce qui indique que Cléopâtre était probablement métisse, les filles de Ptolémée XII ayant été conçues par différentes épouses.
(http://i.dailymail.co.uk/i/pix/2009/03/15/article-1162130-04CF526E0000044D-521_224x426.jpg) (http://i.dailymail.co.uk/i/pix/2009/03/15/article-1162130-03EA1904000005DC-220_224x426.jpg)
Cleopatra (left) ordered the murder of her younger sister, Princess Arsinöe. Her skeleton was discovered in Turkey
Read more: http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-1162130/Found-Skeleton-younger-sister-Cleopatra-murdered.html#ixzz0Mjx25VTh (http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-1162130/Found-Skeleton-younger-sister-Cleopatra-murdered.html#ixzz0Mjx25VTh)
Notes
[1] Arsinoé IV, fille de Ptolémée XII, elle fut la sœur de Bérénice IV, Cléopâtre VII, Ptolémée XIII et Ptolémée XIV.
[2] En débarquant à Alexandrie en -48, César a capturé les membres de la famille royale des Ptolémées, mais Arsinoé parvient à s'échapper à l'aide de Ganymède, et rejoint l'armée égyptienne. Mais les forces romaines, avec des renforts, défont l'armée égyptienne, et Arsinoé est amenée captive à Rome et y figure en ennemie vaincue au triomphe de César. Après cette humiliation, Arsinoé est bannie et se réfugie dans le sanctuaire du temple d'Artémis à Éphèse, en Asie mineure, parce qu'elle craint sa sœur Cléopâtre avec qui elle est en conflit. Cette dernière persuade Marc Antoine d'ordonner sa mise à mort en -41.
Scientists identify skeleton of Cleopatra's murdered sister for BBC One documentary
Date: 15.03.2009
New and exclusive forensic evidence unearthed for Cleopatra: Portrait Of A Killer being shown on 23 March 2009 at 9.00pm on BBC One promises to shed new light on the former Queen of Egypt.
The BBC documentary is based on the groundbreaking discovery of human remains in a tomb 500 miles from Egypt in Ephesus, Turkey.
Combining state-of-the-art facial reconstruction and forensic techniques with anthropological and architectural analysis of the tomb, experts are now convinced that this is the skeleton of Cleopatra's sister Princess Arsinoe, murdered by her Roman lover Mark Antony on Cleopatra's orders.
For 2,000 years the story of Cleopatra's murderous commands have been the subject of endless speculation. By comparing the writings of Roman historian Cassius Dio and today's forensic evidence, the team now believes that the story is indeed true – and they have the skeleton to prove it.
Until now, many historians have dismissed Cassius Dio's claims as Roman propaganda. The teams behind the discovery believe they can now prove this version of events beyond reasonable doubt.
Furthermore, studies of the shape of her reconstructed skull also point to African lineage which would mean, as her sister, Cleopatra was also part-African. Until now, the royal Ptolemaic family lineage was thought to be of Greek/Caucasian extraction.
Neil Oliver, archaeologist and presenter of Cleopatra: Portrait Of A Killer, says: "Cleopatra, Julius Caesar, Mark Antony ... they are all iconic figures from history. It's almost impossible to remember they were real people and not the semi-mythical figures portrayed by Richard Burton and Elizabeth Taylor.
"It was like a splash of cold water in the face to be confronted by them as human beings. When I stood in the lab and handled the bones of Cleopatra's blood sister – knowing that in her lifetime she touched Cleopatra and perhaps Julius Caesar and Mark Antony as well – I felt the hairs go up on the back of my neck. Suddenly these giant figures from history were flesh and blood."
Archaeologist Dr Hilke Thuer from the Austrian Academy of Sciences, who led the discovery, says: "It is unique in the life of an archeologist to find the tomb and the skeleton of a member of Ptolemaic dynasty. The results of the forensic examination and the fact that the facial reconstruction shows that Arsinoe had an African mother is a real sensation which leads to a new insight on Cleopatra's family and the relationship of the sisters Cleopatra and Arsinoe."
BBC One Controller, Jay Hunt, says: "I am delighted to have this remarkable piece of historical journalism on BBC One. Such a revelation about an iconic figure from the ancient world is likely to change perceptions of Cleopatra forever."
Presented by archaeologist Neil Oliver, the film reveals the darker side of love and power in the ancient world. It brings to life key scenes from the life and loves of Cleopatra – her affair with Caesar; the killing of her two brothers; and the boat where Mark Antony and Cleopatra brokered a murderous pact which sealed the fate of her sister.
Cleopatra: Portrait Of A Killer is a tale of rivalry, lust, incest, murder and power that destroyed an empire. It is an incredible true story about one of history's greatest legends.
Cleopatra: Portrait Of A Killer will be shown on Monday 23 March at 9.00pm on BBC One.
Notes to Editors
The scientific papers on The Lady From The Octagon will be be presented by Dr Fabian Kanz of The Medical University of Vienna at the American Association of Physical Anthropologists on 31 March in Chicago, USA.
FB/GD
Cléopâtre, reine "grecque", aurait eu une mère africaine
Elle a été immortalisée au grand écran par Elizabeth Taylor et les peintres l'ont toujours représentée avec un teint de peau très pâle. Erreur, semble-t-il car, selon les travaux d'un archéologue autrichien, la reine Cléopâtre aurait eu une mère africaine.
Née à Alexandrie (Égypte) en l'an -69, Cléopâtre VII - le dernier pharaon d'Égypte dont le philosophe Blaise Pascal a dit que «toute la face de la terre aurait changé» si son nez eût été plus court - était surnommée la Grecque et on la considérait comme étant de descendance européenne.
Son père, bien connu, était un Ptolémée d'origine macédonienne - le douzième du nom - qui a régné sur l'Égypte en deux termes: entre -80 et -58, puis entre -55 et -51. Par contre, on ignorait tout des origines maternelles de Cléopâtre, et la reine elle-même était très discrète sur ce sujet.
Hilke Thuer, chercheur à l'Académie autrichienne des sciences, estime avoir percé ce mystère, non pas à cause de Cléopâtre mais plutôt grâce à sa soeur. Dans la ville d'Éphèse, une cité grecque située dans la Turquie actuelle, des restes humains retrouvés dans une tombe royale, au cours des années 1990, ont en effet été identifiés comme le squelette d'Arsinoé IV, la soeur de Cléopâtre.
Après une étude détaillée des ossements d'Arsinoé, qui n'était qu'une adolescente au moment de sa mort, les experts affirment que la mère de Cléopâtre était de descendance africaine, et non pas européenne comme beaucoup le présumait jusqu'à présent.
L'identification d'Arsinoé et l'analyse de ses restes est une importante découverte car elle donne une nouvelle perspective sur la famille de Cléopâtre et les relations qu'elle a eues avec sa soeur, a expliqué Hilke Thuer en entrevue à la BBC. Plusieurs experts estiment en effet que Cléopâtre aurait fomenté l'assassinat de sa propre soeur.
Ces travaux et découvertes de Hilke Thuer seront exposés dans un documentaire qui serait présenté le 23 mars 2009 sur la chaîne britannique BBC. Intitulé «Cléopâtre: portrait d'une tueuse», le film relate la vie de la reine égyptienne, telle qu'on a pu la reconstruire à la lumière des dernières connaissances.
Cléopâtre, reine à la beauté légendaire, eut une vie très mouvementée qui n'a rien à envier à celle des gens riches et célèbres actuels. Elle prit successivement pour époux ses deux frères, puis eut une liaison avec Jules César, duquel elle eut un enfant: Césarion. Elle épousa ensuite Marc Antoine, général romain, qui lui donna deux fils et une fille.
Cléopâtre régna sur l'Égypte entre les années -51 et -30. Marc Antoine et Cléopâtre moururent tous deux en l'an -30, après que la ville d'Alexandrie eût été conquise par Octave. Marc Antoine s'enleva la vie par le glaive puis, peu après, son épouse le suivit dans la mort en se laissant piquer par un serpent venimeux.
Pour en savoir plus sur la vie de Cléopâtre VII, lire les articles sur Wikipedia et Larousse.
Publié par Jean-Charles Condo le lundi 16 mars 2009 à 8H48
Publié le 17 mars 2009 à 11h44 | Mis à jour le 17 mars 2009 à 11h49
Une chambre funéraire découverte à Louxor
(http://www.cyberpresse.ca/images/bizphotos/569x379/200903/17/56249.jpg)
Une chambre funéraire ornée de peintures vieille de 3500 ans a été découverte à Louxor par un égyptologue espagnol.
Photo: AFP
Agence France-Presse
Madrid
Une chambre funéraire ornée de peintures vieille de 3500 ans a été découverte à Louxor par un égyptologue espagnol, José Manuel Galan, a annoncé le Conseil supérieur espagnol de recherches scientifiques (CSIC).
Cette chambre, qui fait partie de la nécropole de Dra Abou El-Naga, est tapissée de dessins et hiéroglyphes tirés notamment du Livre des Morts, et serait celle d'un haut responsable de l'époque nommé Djehouty, a précisé le CSIC.
Ce personnage était au service de la reine-pharaon Hatshepsout, fille de Thoutmosis 1er (18e dynastie), dont le règne en Égypte est situé entre 1479 et 1457 avant notre ère.
La chambre, une pièce carrée de 3,5 mètres de côté et de 1,5 mètre de hauteur, est sans doute une des premières à avoir été entièrement décorée de peintures à cette époque, selon M. Galan.
Ce dernier poursuit des recherches à la tête d'une équipe espagnole depuis plusieurs années dans la nécropole de Dra Abou El-Naga, sur la rive ouest de Louxor, sous l'égide du CSIC, se travaux étant notamment financés depuis 2004 par la fondation Caja Madrid.
Publié le 13 avril 2009 à 10h46 | Mis à jour le 13 avril 2009 à 10h54
Égypte: des momies découvertes dans une nécropole antique(http://www.cyberpresse.ca/images/bizphotos/569x379/200904/13/63274.jpg)Des dizaines de momies ont été découvertes au sud du Caire, en Égypte.
Photo: AP
Agence France-Presse
Le Caire
Une équipe d'archéologues égyptiens a découvert au sud du Caire une nécropole contenant des dizaines de momies peintes en turquoise, ocre et doré remontant pour certaines à 4000 ans, a annoncé dimanche le patron des antiquités égyptiennes.
«La mission a trouvé des dizaines de momies dans 53 tombes creusées dans la roche», a affirmé Zahi Hawass à l'AFP. «Quatre des momies remontent à la 22è dynastie (931 à 725 avant JC) et sont considérées comme certaines des plus belles momies jamais découvertes», a-t-il ajouté. D'autres datent du Moyen-Empire (2061-1786 avant JC), selon lui.
Les momies, recouvertes de lin, sont bien conservées.
La nécropole a été découverte près de la pyramide d'Ilahoun, dans le Fayyoum, au sud du Caire.
D'après Abdel Rahmane el-Ayedi, le chef de l'équipe, une chapelle funéraire a également été découverte. Elle a probablement continué à servir jusqu'à l'époque romaine (30 av. JC à 337).
L'équipe a également trouvé 15 masques peints, ainsi que des amulettes et des poteries, selon Zahi Hawass.
Publié le 19 mars 2009 à 14h09 | Mis à jour le 19 mars 2009 à 14h09
Un lit destiné à l'embaumement des corps dévoilé en Égypte(http://www.cyberpresse.ca/images/bizphotos/569x379/200903/19/56838.jpg)
Ce lit de bois a été minutieusement restauré après avoir été retrouvé en morceaux dans la tombe KV-63, près de celle de Toutankhamon, dans la Vallée des Rois, dans le sud de l'Égypte.
Photo: AFP
Agence France-Presse
Le Caire
Les autorités égyptiennes ont dévoilé jeudi un lit en bois découvert dans une tombe de Louxor et qui était utilisé pour l'embaumement des corps il y a plus de 3000 ans.
Le lit a été minutieusement restauré après avoir été retrouvé en morceaux dans la tombe KV-63, près de celle de Toutankhamon, dans la Vallée des Rois, dans le sud de l'Égypte, a annoncé dans un communiqué le Conseil suprême des Antiquités égyptiennes.
Long d'1,70 mètre et décoré à ses pieds de deux têtes de lion et de lionne, le lit présente une déclivité de 5 centimètres entre la tête et les pieds pour permettre l'écoulement des fluides corporels, et préparer la dépouille à la momification.
Les organes étaient retirés le plus rapidement possible du corps après le décès, y compris le cerveau qui était jeté car on pensait qu'il n'était d'aucune utilité dans la vie après la mort.
Le coeur demeurait en revanche dans le corps, et les autres organes étaient nettoyés, parfumés et conservés dans des vases canopes enterrés avec la momie.
Le corps restait pendant plusieurs semaines sur le lit pour se dessécher avant d'être enveloppé de bandelettes.
Le directeur des Antiquités de Louxor, Mansour Bouriq, a déclaré à l'AFP que contrairement à la majorité des lits découverts dans les tombes de l'époque pharaonique, celui-ci n'était pas un objet cérémonial mais utilisé pour l'embaumement.
«Nous pensons que cette pièce servait à l'embaumement car nous y avons découvert du matériel d'embaumement, et notamment des herbes, des huiles et des poteries», a-t-il ajouté.
Première tombe mise au jour dans cette zone en près de 80 ans, la tombe KV-63 avait été découverte en 2006 par des égyptologues égyptiens et américains.
Elle daterait de la huitième dynastie (1570-1304 avant JC). Son histoire exacte est cependant inconnue, car elle ne contenait aucune momie.
Les tombes des pharaons menacées ?
AFP
18/08/2009 | Mise à jour : 17:01 |
Les tombes richement décorées des pharaons de la Vallée des Rois, dans le sud de l'Egypte, pourraient disparaître d'ici 150 à 500 ans si elles demeurent ouvertes aux touristes, a averti le chef des Antiquités égyptiennes. Zahi Hawass a indiqué que l'humidité et la moisissure s'attaquaient aux murs des tombes royales dans la vaste nécropole qui s'étend sur la rive occidentale du Nil, à Louxor, qui est prise d'assaut quotidiennement par des milliers de touristes.
La faible aération et le souffle des touristes causent des dégâts aux décorations gravées et peintes dans les tombes, a indiqué M. Hawass à des journalistes lors d'une visite lundi. "Les tombes (de la Vallée des Rois et celle des Reines, non loin) qui sont ouvertes aux visiteurs sont menacées de sérieux dégâts à la fois sur les couleurs et les gravures", a-t-il dit.
"Les taux d'humidité et de moisissure sont en augmentation en raison du souffle des visiteurs et cela signifie que les tombes pourraient disparaître d'ici 150 à 500 ans".
L'autorité responsable des antiquités a pris une série de mesures pour protéger les tombes, dont la mise en place de nouveaux systèmes d'aération, la limitation du nombre de visiteurs et la fermeture de certaines tombes. La Vallée des Rois et des Reines, où des membres de familles royales ont été momifiées, abrite notamment les tombes du fameux pharaon Toutankhamon et de la reine Néfertiti.
Le pharaon business de Zahi Hawass
Par Delphine Saubaber, Tangi Salaün, publié le 01/08/2009 10:00 - mis à jour le 01/08/2009 18:46
(http://www.lexpress.fr/medias/343/egypte-4-zahi-hawass-secretary-general-of-the-egyptian-supreme-council-of-antiquities-looks-as-archaeology-workers-dig-at-the-site-of-a-newly-discovered-pyramid-in-saqqara_362.jpg)
REUTERS/Handout
Zahi Hawass, à la tête des antiquités égyptiennes depuis 2002, est une vedette médiatique mondiale.
Gardien d'une civilisation perdue et star médiatique, le tout-puissant patron du Conseil suprême des antiquités a la haute main sur les fouilles archéologiques. Il s'est juré de rendre l'égyptologie aux Egyptiens. Ses détracteurs l'accusent de manquer de rigueur scientifique. Portrait d'un homme redouté.
Le sujet, qui touche aux merveilles du monde, s'annonce sous les meilleurs auspices. Un portrait de Zahi Hawass? "Ce type est un fou furieux, mais je vous interdis de l'écrire."; "Navré, je tiens à garder mon chantier."; "No, too sensitive [trop sensible]." Rendez-vous déclinés. Sourires confus. A l'évidence, comme aux temps antiques, le pharaon d'Egypte se commente peu en public, nettement plus en privé. Zahi Hawass, 62 ans: le taulier des pyramides, de la Vallée des Rois, du Sphinx de Gizeh, d'Abou-Simbel, des trésors ensevelis d'Egypte. Et un ego à la mesure de l'ensemble.
Taillé pour la castagne, éternellement coiffé d'un Stetson à la Indiana Jones, cet enfant de fermiers né à Damiette, dans le delta du Nil, a le droit de vie et de mort sur les chantiers de fouille, une aura de movie star internationale, des talents de conteur, scribe d'une odyssée qu'il voudrait faire sienne. En 2006, le magazine Time l'a classé parmi les 100 personnalités les plus influentes du monde - le président Hosni Moubarak n'y figurait pas.
Avec Hawass à la tête du Conseil suprême des antiquités (CSA), jamais l'égyptologie ne s'est autant mise à la portée des non-initiés, en mondovision. En 2002, il avait tenu la planète en haleine, dans un show sur la chaîne américaine National Geographic, en introduisant un robot dans un couloir de la Grande Pyramide, à la recherche de la chambre funéraire de Kheops. Le mystère de la Pyramide, en direct. Il n'avait rien trouvé, qu'importe. On l'accuse parfois de trahir l'éternité et la science. Lui mène un combat politique, rêve sa vie et ambitionne de réveiller les morts.(http://www.lexpress.fr/medias/343/egypte_387.jpg)
L. Downing/reuters
Le 4 juin 2009, Zahi Hawass sert de guide personnel à Barack Obama, venu visiter la Grande Pyramide de Gizeh, l'une des sept merveilles du monde.
Il y a quelques semaines, en juin, quand Barack Obama est venu faire un tour aux pyramides, après son discours du Caire, l'interprète a demandé, pour rire, à un employé qui passait s'il savait qui était l'illustre visiteur. L'évidence a fusé: "C'est Doctor Zahi ! - Non, l'autre ! - Ben l'ami de Doctor Zahi!" Comme souvent, donc, la vérité est venue du souk. Il y a dix ans, personne ou presque, en Egypte, ne connaissait Doctor Zahi. Et encore moins l'histoire des anciens Egyptiens, associée au paganisme polythéiste, mal vu en pays musulman.
Aujourd'hui, si la chronologie des Thoutmosis et la métaphysique du Livre des morts échappent encore aux Egyptiens, tout le monde, dans le bazar, apostrophe le "Monsieur au chapeau". "Me and my famous hat", comme dit Hawass. Ce Stetson, acheté dans une boutique américaine il y a des années, c'est le genre d'accessoire qui érige un personnage. On se demande si c'est le chapeau qui a fait l'homme ou l'inverse. Aujourd'hui vendu dans toutes les expositions pharaoniques du monde, il foisonne à chaque page de sa biographie, en chantier perpétuel, et de son site Internet -qui affiche une case "Devenez fan": "Vous avez déjà vu un seul savant au monde avec un fan-club?" s'étrangle un égyptologue renommé. Hawass s'en fout: "45 dollars mon chapeau avec ma signature et ma photo", dit-il. Le bénéfice est reversé au musée des enfants de la Fondation Suzanne Moubarak - son soutien.
Il découvre et redécouvre énormément
Ce matin de juin, il a donné rendez-vous au pied du Sphinx. Pour la photo. A l'heure dite, sous un ciel de calcaire, il attend, bougon, en jeans, entre les pattes monumentales. Un flot de rides lui monte au front. Une énième demande de percement de la Grande Pyramide rejetée? Il en a 500 sur le bureau.
L'homme administre 4 millénaires et 30 000 employés au CSA. Il travaille sur le lancement de 19 musées, d'Assouan à Charm el-Cheikh, dont le futur grand musée du Caire. Il prépare une exposition sur les 5 000 pièces volées récupérées à l'étranger, livre bataille au musée de Berlin pour "son" buste de Néfertiti, flattant la fibre nationaliste: "Je peux prouver qu'il est sorti illégalement d'Egypte!" tonne-t-il, regard noir d'encre, tout en réservant une salve au directeur du musée de Saint Louis, aux Etats-Unis, "indigne" au motif qu'il lui refuse le masque de Ka-Nefer-Nefer. Et il réclame toujours à Londres et au Louvre ses frises du Parthénon à lui: la pierre de Rosette et le zodiaque de Dendérah.
C'est que depuis son arrivée, en 2002, à la tête du CSA, l'homme qui a fait de l'ombre à Obama et rebaptise Kheops en "Kufu", à l'égyptienne, a dynamité l'ancien régime. Les écoles étrangères qui auparavant débarquaient en terrain conquis, servies par leur prestige, et fouillaient le sable à leur guise, doivent désormais demander des autorisations. Et pratiquer le baisemain.
Il est loin, le temps où le Boulonnais Auguste-Edouard Mariette créait, en 1858, l'ancêtre du CSA, dirigé par un Français jusqu'en 1952, et où l'Anglais Howard Carter crevait la nuit de Toutankhamon, en 1922. "Quand je préparais ma thèse et que je voulais prendre des photos au musée, je devais faire des cadeaux à tout le monde, alors qu'on donnait tout aux étrangers!" se souvient l'ex-doyenne de la fac d'archéologie, Ola El-Aguizy.
Hawass s'est juré de délivrer les Egyptiens de leur béatitude de figurants colonisés, de les rendre fiers d'une histoire que la religion maudit et l'école enseigne si peu. Et ça ne plaît pas à tout le monde. "Nous assistons simplement à la réappropriation de son patrimoine par l'Egypte, observe Guillemette Andreu, la conservatrice du département des antiquités égyptiennes au musée du Louvre. Mariette et Maspero ont légiféré sur le territoire égyptien. Et c'est sûr que, dans les années 1970, on avait les clefs des tombes... Mais Hawass a remis de l'ordre sur les chantiers, il exige des publications systématiques, et en arabe, là où nous avons pris du retard ; nous devons lui proposer des coopérations..."
Et désormais, donc, le CSA _ ou le ministère de la Culture _ sont les seuls habilités à annoncer les trouvailles. "Dès que le moindre coléoptère momifié est retrouvé, Hawass prend la parole devant des charters de journalistes. Et si je faisais une annonce moi, je courrais le risque de perdre mon chantier", soupire un égyptologue. Qui avoue avoir cacheté certains projets de fouille chez le notaire, plutôt que de les voir récupérés - y compris par des collègues ou par les dollars des Américains.
Du coup, Hawass découvre énormément. Il redécouvre, aussi. Notamment après les attentats. Quand le tourisme, première rente du pays, pique du nez, la politique sort son joker de l'Egypte éternelle.(http://www.lexpress.fr/medias/343/egypte_388.jpg)
REUTERS/Ben Curtis/Pool
Quatre-vingt-cinq ans après la découverte du tombeau de Toutankhamon, Zahi Hawass et son équipe extirpent la si fragile momie de son sarcophage pour l'exposer au public dans un cercueil à température constante en Plexiglas, dans la Vallée des Rois.
Exemple, en 1997 - Hawass n'est pas encore au sommet. A Louxor, un attentat cause 62 morts. En quelques jours, le pays se vide. Au Caire, l'égyptologue Alain Zivie, qui a découvert, un an avant, la très belle tombe de Maïa, la nourrice de Toutankhamon, reçoit un appel: "On va faire l'annonce..." Conférence de presse sous tutelle diplomatique. Echo mondial. Branle-bas de combat dans la tombe, où la sécurité débarque, en pleine nuit, flingue au poing, en prévision d'une visite de Moubarak... C'est dire les enjeux. Sur la personne d'Hawass, se dessine, ou se consume, l'avenir d'une civilisation perdue et des chiffres du tourisme _ fixés à 15 millions en 2012. Toute la question est de savoir si ça va ensemble.
On l'écoute rouler les "r" en des trémolos caverneux
Ce matin, donc, le pharaon s'avance sous le soleil. Se déride, charmeur, dans sa Jeep, direction son bureau du Caire, orné des photos dédicacées de Céline Dion et de la reine d'Espagne. Et là, il s'abandonne à son auditoire. Comme dans ses conférences, de Dallas à Rome en passant par San Francisco, où l'on voit affluer 10000 personnes, pour 5000 places assises. On l'écoute, saisi de frisson et de mystère, rouler les r en des trémolos caverneux sur "Secrrrrets of the pharrraohs". On le suit un pied dans la tombe. "A Atlanta, en début d'année, des gamines m'ont demandé, à la fin, de les serrer dans mes bras. J'en ai pleuré", confie-t-il. La salle était debout. 10 000 à 15 000 dollars la prestation. "Je crois que je suis le conférencier le plus cher du monde [sic]", commente-t-il.
Il peut étaler ses cartes de crédit au bar du Mena House, un hôtel mythique du Caire, devant un parterre de copains, et partager la purée de fèves populaire dans un tripot miteux d'Assouan. Il peut menacer un collègue de destruction et se radoucir dans la minute. Mais il hait la critique: "Au CSA, on voit des gens défiler dans son bureau comme des agneaux en partance pour l'Aïd, observe un proche. Il est craint, il peut hurler. Il n'a peur de rien et il aime la bagarre."CiterPolémique
Le journal Al-Dostour a publié une proposition de contrat de la chaîne américaine National Geographic à Zahi Hawass, en 2004, pour un projet d'étude de momies royales. L'article 5 stipulait: "Le CSA reconnaît qu'il peut y avoir des risques à étudier les momies avec cet équipement [ndlr : le scan], et décharge par la présente National Geographic et ses employés de toute responsabilité dans d'éventuels dégâts occasionnés aux momies par l'usage de cet équipement." Interrogé par le journal, Hawass dit avoir modifié ce contrat. La même année, le Dr Saleh Badeir, ex-chef de l'équipe scientifique chargée du projet, a démissionné "pour des raisons morales", a-t-il confié à un ami.
C'est chez les Américains, du temps de sa thèse à Philadelphie, dans les années 1960, qu'il a appris à conquérir le monde et rafler l'or de la notoriété. C'est là qu'il envoie les jeunes, autour de lui, se former. "Il est pragmatique, comme eux, et ils le caressent dans le sens du poil, quand les mandarins de la vieille Europe vont lui parler de son manque de rigueur..., soupire un ami. Vous, les Français, vous n'avez pas la manière. Et il faut toujours ménager un tel, un tel... C'est aussi un fossé culturel."
D'où sa réputation d'"homme des Américains", qui livre ses "scoops", au prix fort et en échange d'un Scan ou d'un laboratoire ADN, aux chaînes National Geographic et Discovery Channel. "Les Américains en ont fait une telle star qu'en Europe on n'a toujours pas les moyens de suivre, soupire un conservateur de musée. Hawass prête très cher les objets, au point qu'on renonce à les lui demander, il réclame des notes de frais effrayantes..." A l'issue du Congrès d'égyptologie de Grenoble, en 2004, la grand-messe annuelle, il aurait ainsi laissé une ardoise de 95 000 euros à l'association organisatrice, citée dans le Dauphiné Libéré, et correspondant à l'accueil de 54 congressistes égyptiens.
Et puis il sait se bâtir des relations, comme en témoigne la journaliste Hala Fares, à Al-Ahram Hebdo: "A chaque expo internationale, il choisit quelques journalistes égyptiens pour aller la couvrir et fait signer aux organisateurs un contrat certifiant qu'ils seront payés: il se construit un réseau." 250 euros la journée, pendant cinq jours, pour aller voir, en France, une expo au Grand Palais, c'est l'assurance de jolis titres...
Justement: Hawass vient d'annoncer la découverte de la 123e pyramide d'Egypte; il fera bientôt, grâce aux tests ADN, "des annonces majeures" sur Toutankhamon, dont on ignore s'il est le fils de l'hérétique Akhenaton ou d'Aménophis III. "J'attends qu'un deuxième laboratoire ADN confirme les résultats d'un premier", dit-il. Il creuse la Vallée des Rois en espérant y trouver une 64e tombe inviolée - une découverte qui serait, enfin, l'oeuvre des Egyptiens, et non des étrangers.
Car elle tiraille toujours, la blessure originelle... Ola El-Aguizy s'en félicite: "Hawass a beaucoup fait pour rehausser le prestige du métier d'archéologue, ici." Lequel, il faut bien le dire, n'a jamais attiré les meilleurs, qui préfèrent toujours, après le bac, les filières du commerce ou de la médecine. "Il a aussi instauré un salaire fixe (1 500 livres par mois) pour les inspecteurs égyptiens des sites, avant rémunérés de façon informelle, désormais payés dans la transparence par nous, les missions étrangères, explique Laure Pantalacci, la directrice de l'Institut français d'archéologie orientale (Ifao). Zahi vise une vraie professionnalisation des membres du CSA. Nous y aidons en les prenant en formation sur plusieurs de nos chantiers."
Reste la grande cohorte des inspecteurs contractuels, qui manifestaient le 15 juin au Caire: "En dix ans, mon salaire est passé de 7 à 8 livres par jour", tempête Amal Sadeq. Ce qui lui fait 160 livres, soit 20 euros par mois. "Les titulaires, eux, ont droit à un bonus de 200% (les 1500 livres) en plus de leur salaire de 700 livres par mois, payés par le CSA", renchérit un collègue. "ça crée forcément de la jalousie..." Hawass réplique: "C'est le gouvernement qui décide des salaires et peut titulariser, pas moi!"
Il brandit son Emmy Award, l'oscar de la télé américaine
Alors si seulement il pouvait trouver Ramsès VIII ou la perle... "Nous pensons que l'une des deux momies retrouvées dans la KV61 pourrait être celle de Nefertiti", lâche-t-il. Diable ! Le gamin du Nil se revoit, jeune archéologue, gonflé de rêves, grimper la rocaille brûlante de la Vallée des Rois. Et écouter le vieux cheikh Ali, descendant de la famille Abdel Rassoul qui avait découvert la cachette des momies royales en 1871, lui raconter le tunnel caché dans la fabuleuse tombe de Séti Ier. Ce goulet de 155 mètres que Hawass creuse depuis un an... "Je pense qu'il y a, au bout, une chambre secrète", dit-il, les yeux brillants de promesse.
Rappel, à l'ancienne, du Pr Gaballa Ali Gaballa, le prédécesseur de Hawass au Conseil suprême: "En archéologie, on ne parle pas de ce qu'on va découvrir mais de ce qu'on a découvert." Mais chez Hawass le coeur exulte et les "secrets" sont l'opium du peuple. Son robot aussi devait explorer, en 2002, les "portes secrètes" de la Grande pyramide.
Interrogé sur l'opération, l'Allemand Rainer Stadelmann, l'un des meilleurs spécialistes des pyramides, dit simplement: "Je n'ai jamais pensé qu'on trouverait quelque chose derrière ces "portes" _ en fait des blocs de revêtement. Dans les pyramides de l'Ancien Empire, il y a toujours eu un système de trois chambres, dont l'une est la chambre funéraire. C'est ce que l'on retrouve dans Kheops, où il n'y a donc pas de chambre cachée. A fortiori derrière un conduit de 20 cm par 20 cm, débouchant sur l'extérieur, qui était a priori fait pour permettre à l'âme du roi de s'élever, de rejoindre les étoiles".(http://www.lexpress.fr/medias/343/egypte_397.jpg)
Reuters/Supreme Council for Antiquities
Avant de la passer au scan, Zahi Hawass inspecte la momie de Toutankhamon, dont le visage a été reconstitué par trois équipes, égyptienne, française, américaine.
Mais quand l'Egypte se lève la nuit pour contempler la progression du robot - car National Geographic assure la diffusion à l'heure du jour aux Etats-Unis - Hawass fait son devoir. "C'est pour le pays, répète-t-il. Je lui ai rapporté 1,5 milliard de livres (200 millions d'euros) avec mes expos à l'étranger. J'ai ramené de l'argent aux Antiquités comme personne."
Hourig Sourouzian, une figure de l'égyptologie au Caire, spécialisée dans la statuaire (l'an prochain, elle remontera un colosse voisin de Memnon de 17 m de haut), appuie: "Zahi est un vrai moteur. Il a créé une dynamique. Par exemple, avec l'argent de ses interventions à l'étranger, il a sondé le Nil, ce qui n'avait jamais été fait. Par le passé, on a connu un chef du CSA qui a entièrement rendu le budget au ministre sans l'avoir dépensé." Gihane Zaki, directrice à l'international au CSA, résume: "Le poste de Zahi est avant tout politique. Il a nationalisé l'égyptologie, un peu, toutes proportions gardées, comme l'a fait Nasser pour le canal de Suez. Nous lui devons cela".
La vérité est l'horizon des scientifiques et des philosophes. La folie empressée du siècle et des médias charrie d'autres appétits. Et Hawass aime bien faire semblant de découvrir une momie en direct. En 2002, il n'avait pas hésité à faire sauter sous les caméras le couvercle d'un sarcophage avec une barre à mine - "ça m'a rendu fou! suffoque un égyptologue. Comme quand il prend une momie sans gants..." Il n'empêche : Hawass brandit fièrement son Emmy Award, l'oscar de la télé américaine, décroché après un documentaire. "Il pourrait briguer le ministère du Tourisme, en fait", résume Ahmed Saleh, ancien directeur de la momification à Louxor.
Alors ils peuvent bien douter, à voix basse, les égyptologues, de l'authenticité du tombeau de Cléopâtre, "découvert" récemment. "Tout le monde sait qu'il est à Alexandrie!", s'emporte l'un d'eux. Ou bien de la fascinante reine-pharaon Hatshepsout de la XVIIIe dynastie, que Hawass a authentifiée en 2007 - encore sur Discovery Channel, qui a payé le matériel. Un fragment de dent découvert dans la boîte à viscères - le vase canope - de la reine avait été relié à une molaire brisée de la momie. Ahmed Saleh assène: "Ce n'est pas elle." Il est l'un des rares au CSA à parler dans le micro. Pour avoir osé critiquer le transfert de la fragile momie de Toutankhamon de Louxor au Caire, pour le Scan, il avait subi quelques rétentions de salaire...
Auteur d'un ouvrage sur Les Reines du Nil au Nouvel Empire, à paraître en septembre (ed. Molière), l'égyptologue français Christian Leblanc, directeur de recherche au CNRS, qui travaille depuis 36 ans à Louxor, livre, lui, un autre éclairage: "Il aurait certainement été utile de mener un complément d'enquête. On aurait pu prendre en considération le fait que le coffret à canope avait été réutilisé pour une princesse de la XXIe dynastie, dont la momie est au musée du Caire. Et dont on aurait pu, aussi, radiographier la dentition..." Mais pour Christian Leblanc, Hawass a le mérite d'avoir "modernisé le CSA qui était un capharnaüm et rendu une dignité à l'égyptologie égyptienne".CiterUn Egyptien à l'Unesco ?
Zahi Hawass suit avec intérêt la campagne de son supérieur Farouk Hosni, candidat à la direction de l'Unesco, à Paris (http://www.lexpress.fr/actualite/monde/un-antisemite-a-l-unesco_763994.html). Hosni Moubarak a fait du choix de son ministre de la Culture depuis vingt-deux ans une question de prestige national pour l'Egypte. Au point, dit-on, d'avoir lié son investissement dans l'Union pour la Méditerranée, chère à Nicolas Sarkozy, au soutien de la France au sort de Farouk Hosni. Une gêne pour Paris, depuis que Hosni, dans les couloirs du Parlement, a promis de "brûler lui-même les livres israéliens" s'il en trouvait dans la bibliothèque d'Alexandrie... Déjà vilipendé par nombre d'intellectuels égyptiens, qui lui reprochent d'avoir renforcé la censure culturelle, et par les islamistes, car il a qualifié de "rétrograde" le port du voile, Farouk Hosni n'en reste pas moins l'un des favoris pour l'Unesco. Au Caire, on murmure que Hawass pourrait lui succéder, même si ce dernier semble rêver davantage d'un vrai ministère des Antiquités.
Tangi Salaün
Tous les Français ne sont pas de cet avis. Le camp tricolore s'était déchiré lors du congrès d'égyptologie de 2004, à Grenoble. Des Français avaient osé défier le pharaon, en empiétant sur son domaine: Kheops. Deux passionnés, Gilles Dormion et Jean-Yves Verd'hurt, ont relevé, dans les pyramides de l'Ancien Empire, dont Kheops, des "anomalies architecturales", disent-ils, qu'ils ont fait confirmer au radar et à la microgravimétrie. Ces mesures démontrent l'existence d'une cavité qui, selon eux, mènerait à une chambre funéraire inviolée.
Leur soutien: Nicolas Grimal, titulaire de la chaire d'égyptologie au Collège de France et ancien directeur de l'Ifao. La bête noire de Hawass, qui estime avoir été évincé par Grimal d'un chantier, dans sa jeunesse _ ce dernier n'a pas souhaité répondre à L'Express. La demande de percement, de 16 millimètres de diamètre, est encore rejetée: "Conneries!" rugit Hawass, qui n'a pas supporté le battage médiatique avant son arrivée. Il écrase son poing sur la table: "On ne me fait pas ça! Vous imaginez si j'allais faire un trou dans Notre-Dame?"
L'affaire devient politique. "Kheops, c'est un terrain sur lequel Zahi ne permettrait aucune découverte qui ne soit pas de son fait", souffle un journaliste. Et un Français dit lui-même: "En égyptologie, les dossiers sont souvent pourris par l'arrogance française... L'égyptologie, aujourd'hui, n'est plus "une passion française", comme on avait coutume de le dire: il y a l'Egypte et des partenaires. Et un jour, si la logique à la Hawass continue, il n'y aura peut-être plus que des missions égyptiennes avec des experts étrangers..."
En décembre 2007, le Centre franco-égyptien de Karnak, dont les héritiers de Mariette en réalité étaient les seuls maîtres à bord depuis 1967, célèbre son 40e anniversaire. Ce jour-là, Hawass a décidé de jouer son meilleur rôle, le méchant: en tournage télé, il fait poireauter deux heures les sommités françaises, dont l'ambassadeur et le Pfr Grimal. La tension est à son comble. Finalement, un nouveau protocole pour Karnak est signé. C'est l'armistice. Le lion ronronne: "On dit que je suis contre les Français, c'est faux."
"Je ne vois personne pour me remplacer"
Et à l'Ifao, au Caire, durement secouée par la crise, Laure Pantalacci gère le retour au calme: "Hawass a un rôle de manager de l'égyptologie en Egypte et il fait ça très bien. Il y a peu de convergences entre ce sur quoi il travaille et nos recherches, qui se déroulent dans le désert, loin des sites des pyramides qui l'intéressent. Il y a beaucoup d'autres choses à étudier en Egypte que les détails de la construction des pyramides! Aujourd'hui, nous tentons surtout de comprendre plus précisément comment vivaient les Egyptiens anciens, à travers, par exemple, la découverte de leur système d'irrigation dans le désert dont on n'avait aucune idée il y a vingt ans, ou grâce aux ressources de l'archéométrie..." Ne pas chevaucher les intérêts du pharaon, donc.
Ce soir de juin, Zahi Hawass est en lévitation. Au Mohamed Ali Palace, sous les ors du plafond et les caméras, il entame un tango avec des danseuses thaïes. L'ambassadeur de Thaïlande vient de remettre au "top expert en égyptologie" le titre de docteur en philosophie. L'assistance s'enroule autour de Doctor Zahi, qui devrait quitter son poste en 2010, contraint par l'âge. On lui prête des ambitions secrètes de ministre. Et au CSA, qui? "Je ne vois personne pour me remplacer, sourit-il, comme un gosse qui vient d'arracher les ailes d'une mouche. Il y a beaucoup de gens bien autour, mais je n'en vois aucun qui ait ma personnalité, ma vision, ma passion."
lexpress.fr (http://www.lexpress.fr/actualite/monde/afrique/le-pharaon-business-de-zahi-hawass_777939.html)CiterLe pharaon business de Zahi Hawass
Leur soutien: Nicolas Grimal, titulaire de la chaire d'égyptologie au Collège de France et ancien directeur de l'Ifao. La bête noire de Hawass, qui estime avoir été évincé par Grimal d'un chantier, dans sa jeunesse _ ce dernier n'a pas souhaité répondre à L'Express. La demande de percement, de 16 millimètres de diamètre, est encore rejetée: "Conneries!" rugit Hawass, qui n'a pas supporté le battage médiatique avant son arrivée. Il écrase son poing sur la table: "On ne me fait pas ça! Vous imaginez si j'allais faire un trou dans Notre-Dame?"
"Je ne vois personne pour me remplacer"
Et comment tu réagis à cela :Ou il se prend pour pas de la merde ou il s'estime tellement indispensable que, sans lui, l'égyptologie sera foutu.
"Je ne vois personne pour me remplacer"
En 1998, un peu après les attentats de la Vallée des Reines en Egypte, je me sui rendu avec un pote sur le plateau de Gyzeh; nous avons décidé de tenter "le coup" auprès de Zahi Hawass, le conservateur du site des pyramides: se faire passer pour des journalistes, et obtenir l'autorisation de visiter les fouilles (pardon, las réparations, selon la version de Hawass) à l'intérieur du Sphinx.
Oui, tu lis bien : l'intérieur du Sphinx!
Comme plus personne ne fréquentait le plateau, il a accepté de nous laisser entrer à la base du Gardien de la Grande Pyramide...
Je suis entré seul, et j'ai vu 1. que le Sphinx est creux, et qu'il est rempli d'une boue d'infiltration extrêmement durcie 2. qu'il y a une marche d'escalier qui vient de la tête du sphinx, et se dirige donc vers le sous-sol, en direction de la grande Pyramide.
Plus tard, j'ai vu la conférence d'un type qui a survolé en ulm les sites égyptiens; sur ses vidéos, on voit nettement une trappe au-dessus de la tête du Lion !
Il est intéressant d'étudier les assertions de Beauval et Hancock sur la création du sphinx et de la grande pyramide,datant d'avant le déluge qui a anéanti l'humanité il y a 12000 ans; c'est quasi impossible de discuter avec des égyptologues officiels ou des historiens habituels; Beauval et Hancock ont fait une remarquable conférence sur le positionnement des sorties d'aération de la Pyramide de Khéops, indiquant la constellation du Lion...
Edgar Cayce parlait aussi d'un réseau souterrain de galeries à Gizeh, non ?
La déclaration de Z.Hawass est ridicule.
Si mes souvenirs sont bons, le docteur Zahi Hawass s'est fait financer son doctorat en égyptologie à l'époque par la fondation Cayce.
Groupe polytechnicien X-démographie-économie-population____
Réunion du 16 Juin 2008
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Les découvertes de momies.
Les découvertes relatives aux momies.
Quelques preuves de l’arrivée des Mongols en Amérique, plusieurs millénaires avant Christophe Colomb.
Par le professeur turc Yahya Bedir, ingénieur et archéologue.
Les récentes découvertes de matériaux utilisés pour faire des momies sont essentielles mais tout à fait accidentelles.
...
Une découverte récente, encore ignorée de beaucoup de spécialistes, est que les tissus graisseux des cadavres ne se dessèchent pas toujours en 70 jours comme on le croyait, cela peut prendre une année entière. En fait 70 jours sont suffisants pour que les momies enveloppées de bandelettes se dessèchent entièrement parce qu’alors les tissus enveloppés restent souples pendant la période de dessiccation et de perte de la graisse ; tandis que les tissus non enveloppés deviennent dur et secs en surface en une ou deux semaines, ce qui contrarie la fuite des graisses profondes.
...
La définition traditionnelle des momies est : une momie est un cadavre bien conservé et sec ou desséché, mais je propose une autre définition : une momie est un cadavre traité de façon à conserver son ADN pendant une très longue durée. Cette seconde définition est bien mieux reliée aux réalités, elle fait comprendre pourquoi il est si important de momifier les tissus morts, elle n’est pas un moyen inconscient pour dissimuler notre ignorance.
La dessiccation des momies s’accompagne souvent d’odeurs indésirables, aussi les « embaumeurs » utilisent souvent différents types d’épices et diverses solutions pour combattre ces effets.
Plusieurs types de momies ont été reconnus ainsi que les pays où l’on en trouve, en particulier grâce à l’étude des routes d’importations des carapaces en résine vers l’Egypte. Les pays « à momies » sont essentiellement :
L’Egypte
Le nord-ouest de la Chine
La Papouasie (Nouvelle-Guinée)
Le sud du Japon
Le Chili
Le Pérou
Le Mexique
Les iles Canaries
Il faut noter que les méthodes de dessiccation sont les mêmes au Pérou et en Papouasie. Les embaumeurs avaient l’habitude de placer les momies sur une estrade au-dessous de laquelle brulait un lit de charbon. L’évacuation des graisses et la dessiccation se produisaient alors rapidement tandis que la momie prenait une couleur foncée.
La Papouasie et le Pérou se situent de part et d’autre de l’Océan Pacifique et l’on peut peut-être en conclure qu’il a existé des contacts entre ces deux civilisations.
Il y a une étude très intéressante signée K. Adrian et intitulée : DES RELIQUES EGYPTIENNES EN AUSTRALIE . Cette étude date de 1998 et a été mise à jour en 2008.
Dans cette étude sont présentées deux sculptures situées à une centaine de kilomètres au nord de Sydney, dans le parc national de la Hunt Valley. Près de ces sculptures ont été découvert des dessins hiéroglyphiques datant de la quatrième dynastie égyptienne et qui ont été traduits par l’égyptologue Ray Johnson du musée des antiquités du Caire (voir aussi « The Oz Egyptian enigma » par Paul White. Exposure Magazine, Vol 12, No 6, 1996).
Ces hiéroglyphes racontent, sur deux murs se faisant face, l’histoire tragique du naufrage de très anciens explorateurs réfugiés dans ce pays étrange et hostile et la mort prématurée de leur chef princier. Dans un ensemble de trois cartouches on relève le nom du Pharaon RA-JEDEF qui régnait alors sur la Haute et la Basse Egypte et qui était le fils de KHUFU, le bâtisseur de la grande pyramide (en français : KHUFU = KHEOPS).
Le chef de l’expédition était le prince DJES-EB, l’un des fils du Pharaon RA-JEDEF. Il fit route pendant deux saisons, fatigué mais toujours résolu, priant chaque jour, toujours joyeux et collectionnant systématiquement les insectes sans faiblir… (deux saisons égyptiennes = huit mois, mais cela peut aussi signifier deux belles saisons et dans ce cas deux années de voyage).
Lui, le serviteur de Dieu, disait que c’est Dieu qui donne les insectes…(en particulier, bien sûr, les Laccifer Lacca qui produisent les carapaces en résine).
Avec lui nous avons traversé les collines et les déserts dans le vent et le mauvais temps, sans rencontrer la résine que nous recherchions…
Il fut tué alors qu’il portait lui-même, en tête, l’étendard du grand faucon d’or…
Lui, qui mourut le premier, repose ici. Puisse-t-il avoir la vie éternelle.
Il ne viendra plus le long des eaux de l’amour sacré !
Cette histoire tragique resta obscure jusqu’à la découverte du rôle des carapaces de résine dans la momification : le prince DJES-EB, fils du Pharaon RA-JEDEF était allé en chercher – sans doute en Papouasie, en Chine ou au Japon - quand il perdit sa route, fit naufrage sur les récifs de la Grande Barrière, aborda en détresse en Australie, y poursuivi ses recherches et y fut tué par les aborigènes.
Une nouvelle technique apparaît, ou est importée, en Egypte six ou sept siècles plus tard : vers 1800 BC l’utilisation du gypse rend les momifications à la fois plus efficaces et beaucoup plus économiques. Les Egyptiens cessent alors peu à peu de construire des pyramides : le nouveau procédé, avec diverses variations, va leur permettre de multiplier les momifications, jusqu’à leur interdiction en 392 AD sous l’influence du christianisme.
De même les momies américaines s’étendent sur la période 8000 BC à 1500 AD, elles cessent avec l’arrivée des Espagnols.
On notera que les plus anciennes momifications égyptiennes efficaces (auparavant elles aboutissaient toutes à une fossilisation) datent seulement des troisième et quatrième dynasties (2800 - 2400 BC). Y a-t-il eu vers cette époque contact avec les autres civilisations « à momies » ? Cela expliquerait certains passages du texte ci-dessus où l’on parle de navigation très lointaine « vers l’ouest »…
Une étude faite par des scientifiques japonais et chiliens est très intéressante à ce sujet. Elle a été présentée dans le journal « Genetics Engineering and Biotechnology » des éditions Mary Ann Liebert (New Rochelle, NY, 10801-5215, USA).
Cette étude a pour titre : « Recherches sur le SIDA et les rétrovirus de l’Homme. Anciens virus HTLV de type 1 dans les momies des Andes » :
L’histoire naturelle de l’infection HTVL-1 peut peut-être expliquer le caractère mondial, aussi bien géographiquement qu’ethniquement, de la pandémie du virus de l’homme appelé « cellule T, virus limphotropique de type 1 (HTLV-1) ».
Les caractéristiques génétiques des peuples andins et de leurs momies sont similaires de celles des japonais, et le HTLV-1 est très répandu dans ces deux groupes.
Ces deux groupes sont, génétiquement parlant, très liés aux mongols et cela semble indiquer qu’autrefois, bien avant l’ère coloniale, les Mongols sont venus jusque dans les Andes.
Notons que, dans le Nord des Andes, on a trouvé environ deux cent momies et ce n’était pas des Incas.
...
Une étude faite par K.C. Nystrom (knystrom@unm.edu), du département d’anthropologie de l’université du Nouveau Mexique, souligne que des restes d’insectes furent découverts dans les bandelettes des momies attribuées au peuple Chachapoya qui occupa le nord des Andes péruviennes à partir de l’an 800. La plupart des matériaux originels en contiennent.
En 1996, Paul White publie «Les liens de l’Egypte ancienne et de l’Australie » : Les archéologues d’Egypte travaillant à Fayoum, près de l’oasis de Siwa, y ont découverts des fossiles de kangourous et d’autres marsupiaux australiens. Il y a aussi ces extraordinaires boomerangs en or découverts par le professeur Carter dans la tombe de Toutankhamon.
Notons enfin que lorsque, à Paris le 16 septembre 1976, le Docteur Michelle Lescot reçoit la momie de Ramsès 2 pour restauration, elle découvre dans les bandages des fragments de tabac : une plante du Nouveau Monde se trouve dans une momie de l’Ancien Monde !
En 1992, la toxicologue allemande Svetla Balabanova examine la momie d’une prêtresse appelée Henut Taui et y découvre des reste de cocaïne.
Tous ces indices pourront sans doute être confirmés par l’examen de la « barque sacrée d’Abidos » (à 450 km au sud du Caire) dans le fond de laquelle la peinture est jaune brillant, ce qui semble être le signe de la présence de résine issue de la carapace des insectes Laccifer Lacca.Conclusions
A ) Les momies reviennent au premier plan des études historiques, avec de nouveaux renseignements et, en particulier, l’une des raisons des pyramides et des bandelettes entourant les momies.
B ) Il semblerait que les Egyptiens aient importé la résine nécessaire à la fabrication des momies. Ils ne seraient donc pas les premiers à en avoir fabriqués.
C ) Ces découvertes nous donnent une chance d’améliorer nos connaissances des anciennes civilisations et de leurs relations. Christophe Colomb a été devancé de plusieurs milliers d’années.
D ) Les techniques de momification peuvent servir à éviter la gangrène et les amputations. Plusieurs expériences ont déjà été faites et certes une voûte plantaire momifiée est beaucoup plus commode, confortable – et saine – que l’amputation d’un pied… Même si elle donne un démarche « hiératique ».
E ) Il serait sans doute utile d’utiliser ces techniques nouvellement découvertes pour établir un « musée des animaux menacés de disparition », afin qu’ils ne disparaissent pas complètement
Un monument sorti de la cité sous les eaux de Cléopatre
De THE ASSOCIATED PRESS (CP) – Il y a 6 jours
ALEXANDRIE, Egypte — Les archéologues égyptiens ont retiré jeudi des eaux de la Méditerranée un pan de temple en granit rose, qui gisait là depuis des siècles. Il faisait partie du palais de Cléopatre, englouti dans le port d'Alexandrie.
La pièce monumentale qui se trouvait à l'entrée du temple d'Isis, sera le clou d'un ambitieux musée sous-marin que l'Egypte veut installer dans l'ancienne ville antique. Elle aurait été recouverte par les eaux après un tremblement de terre survenu au IVe siècle.
Des plongeurs et des archéologues ont employé une grue géante et des cordes pour soulever le morceau de granit de neuf tonnes, haut de 2,25 mètres, recouvert de saletés et d'algues dans ces eaux troubles. Le chef des services archéologiques égyptiens, Zahi Hawas, surveillait le chantier.
Le temple était dédié à Isis, déesse de fertilité et magicienne, il y a plus de 2050 ans. Elle faisait partie d'un fastueux palais de la dynastie de Ptolémée. Les autres éléments de ces bâtiments gisent sur le fond du port d'Alexandrie. Les archéologues ont exploré le site englouti depuis une vingtaine d'années. La découverte du temple d'Isis par une équipe grecque remonte à 1998.
Copyright © 2009 The Canadian Press. Tous droits réservés.
Le mausolée de Cléopâtre découvert en Egypte
Créé le 24.12.09 à 11h20
Mis à jour le 24.12.09 à 11h21 | 0
(http://cache.20minutes.fr/img/photos/20mn/2009-12/2009-12-24/article_bloc.jpg)
Les archéologues sortent le bloc de granit qui composait le temple d'Isis, à côté du mausolée de Cléopâtre, à Alexandrie, en Egypte./EL DAKHAKHNY/SIPA
ALEXANDRIE - Une partie du palais de la célèbre reine a été mis à jour par des archéologues...
Les efforts ont payé. Après des années fouilles au large des côtes d'Alexandrie en Egypte, une équipe d'archéologues grecs, a découvert un bloc de granit de 15 tonnes qui ornait l'entrée du mausolée que Cléopâtre a fait construire avant de mourir, révèle ce jeudi le quotidien britannique, The Guardian.
«Une pièce unique»
«Dès que je l'ai vu, j'ai su que nous étions devant une pièce unique», explique Harry Tzalas, chef de l'équipe d'archéologues. «Il était impossible qu'une pièce aussi lourde ait pu être déplacée par les vagues. Il n'y a donc eu aucun doute sur l'appartenance de ce bloc au mausolée », ajoute-t-il.
Les équipes doivent maintenant remonter le bloc à la surface. Un autre morceau de granit de 9 tonnes a également été découvert. Il faisait certainement partie d'un temple d'Isis qui jouxtait celui de Cléopâtre, selon les archéologues. «Cette découverte nous rapproche un peu plus de la vérité et de la véritable histoire de l'Antiquité», s'est félicité Harry Tzalas.
M. D. avec agence
Threshold to Cleopatra's mausoleum discovered off Alexandria coast
• Threshold to massive door found off Alexandria
• Queen's mausoleum part of sunken palace complex
Helena Smith in Athens
guardian.co.uk, Wednesday 23 December 2009 22.10 GMT
They were one of the world's most famous couples, who lived lives of power and glory – but who spent their last hours in despair and confusion. Now, more than 2,000 years since Antony and Cleopatra walked the earth, historians believe they may finally have solved the riddle of their last hours together.
A team of Greek marine archaeologists who have spent years conducting underwater excavations off the coast of Alexandria in Egypt have unearthed a giant granite threshold to a door that they believe was once the entrance to a magnificent mausoleum that Cleopatra VII, queen of the Egyptians, had built for herself shortly before her death.
They believe the 15-tonne antiquity would have held a seven metre-high door so heavy that it would have prevented the queen from consoling her Roman lover before he died, reputedly in 30BC.
"As soon as I saw it, I thought we are in the presence of a very special piece of a very special door," Harry Tzalas, the historian who heads the Greek mission, said. "There was no way that such a heavy piece, with fittings for double hinges and double doors, could have moved with the waves so there was no doubt in my mind that it belonged to the mausoleum. Like Macedonian tomb doors, when it closed, it closed for good."
Tzalas believes the discovery of the threshold sheds new light on an element of the couple's dying hours which has long eluded historians.
In the first century AD the Greek historian Plutarch wrote that Mark Antony, after being wrongly informed that Cleopatra had killed herself, had tried to take his own life. When the dying general expressed his wish to pass away alongside his mistress, who was hiding inside the mausoleum with her ladies-in-waiting, he was "hoisted with chains and ropes" to the building's upper floor so that he could be brought in to the building through a window.
Plutarch wrote, "when closed the [mausoleum's] door mechanism could not open again". The discovery in the Mediterranean Sea of such huge pieces of masonry at the entrance to what is believed to be the mausoleum would explain the historian's line. Tzalas said: "For years, archaeologists have wondered what Plutarch, a very reliable historian, meant by that. And now, finally, I think we have the answer.
"Allowing a dying man to be hoisted on ropes was not a very nice, or comforting thing to do, but Cleopatra couldn't do otherwise. She was there only with females and they simply couldn't open such a heavy door."
The threshold, part of the sunken palace complex in which Cleopatra is believed to have died, was discovered recently at a depth of eight metres but only revealed this week. It has yet to be brought to the surface.
The archaeologists have also recovered a nine-tonne granite block which they believe formed part of a portico belonging to the adjoining temple of Isis Lochias. "We believe it was part of the complex surrounding Cleopatra's palace," said Zahi Hawas, Egypt's top archaeologist. "This is an important part of Alexandria's history and brings us closer to knowing more about the ancient city."
According to Plutarch, who based his accounts largely on eyewitness testimonies, Antony died within seconds of laying eyes on his beloved queen and mother of his children.
Cleopatra, the most powerful woman of her day and Egypt's most fabled ruler, is believed to have taken her own life just days later, legend has it with the aid of an asp.
Qu'en est-il exactement de ce fabriquant de hiéroglyphes, "gentleman yougoslave âgé pris en flagrant délit par les Rangers de Gosford Park, au début des années 80" ?Groupe polytechnicien X-démographie-économie-population
Réunion du 16 Juin 2008
Il y a une étude très intéressante signée K. Adrian et intitulée : DES RELIQUES EGYPTIENNES EN AUSTRALIE . Cette étude date de 1998 et a été mise à jour en 2008.
Dans cette étude sont présentées deux sculptures situées à une centaine de kilomètres au nord de Sydney, dans le parc national de la Hunt Valley. Près de ces sculptures ont été découvert des dessins hiéroglyphiques datant de la quatrième dynastie égyptienne et qui ont été traduits par l’égyptologue Ray Johnson du musée des antiquités du Caire (voir aussi « The Oz Egyptian enigma » par Paul White. Exposure Magazine, Vol 12, No 6, 1996).
Ces hiéroglyphes racontent, sur deux murs se faisant face, l’histoire tragique du naufrage de très anciens explorateurs réfugiés dans ce pays étrange et hostile et la mort prématurée de leur chef princier. Dans un ensemble de trois cartouches on relève le nom du Pharaon RA-JEDEF qui régnait alors sur la Haute et la Basse Egypte et qui était le fils de KHUFU, le bâtisseur de la grande pyramide (en français : KHUFU = KHEOPS).
Le chef de l’expédition était le prince DJES-EB, l’un des fils du Pharaon RA-JEDEF. Il fit route pendant deux saisons, fatigué mais toujours résolu, priant chaque jour, toujours joyeux et collectionnant systématiquement les insectes sans faiblir… (deux saisons égyptiennes = huit mois, mais cela peut aussi signifier deux belles saisons et dans ce cas deux années de voyage).
Lui, le serviteur de Dieu, disait que c’est Dieu qui donne les insectes…(en particulier, bien sûr, les Laccifer Lacca qui produisent les carapaces en résine).
Avec lui nous avons traversé les collines et les déserts dans le vent et le mauvais temps, sans rencontrer la résine que nous recherchions…
Il fut tué alors qu’il portait lui-même, en tête, l’étendard du grand faucon d’or…
Lui, qui mourut le premier, repose ici. Puisse-t-il avoir la vie éternelle.
Il ne viendra plus le long des eaux de l’amour sacré !
Cette histoire tragique resta obscure jusqu’à la découverte du rôle des carapaces de résine dans la momification : le prince DJES-EB, fils du Pharaon RA-JEDEF était allé en chercher – sans doute en Papouasie, en Chine ou au Japon - quand il perdit sa route, fit naufrage sur les récifs de la Grande Barrière, aborda en détresse en Australie, y poursuivi ses recherches et y fut tué par les aborigènes.
@curiopat,
avez-vous une source, un lien svp ?
Sailing into antiquity BU archeologist unearths clues about ancient Egypt’s sea trade
By Colin Nickerson
Globe Correspondent / January 11, 2010
The archeological digs at Egypt’s Wadi Gawasis have yielded neither mummies nor grand monuments.
But Boston University archeologist Kathryn Bard and her colleagues are uncovering the oldest remnants of seagoing ships and other relics linked to exotic trade with a mysterious Red Sea realm called Punt.
“They were the space launches of their time,’’ Bard said of the epic missions to procure wondrous wares.
Although Nile River craft are well-known, the ability of ancient Egyptian mariners to ply hundreds of miles of open seas in cargo craft was not so fully documented.
Then the team led by Bard and an Italian archeologist, Rodolfo Fattovich, started uncovering maritime storerooms in 2004, putting hard timber and rugged rigging to the notion of pharaonic deepwater prowess.
In the most recent discovery, on Dec. 29, they located the eighth in a series of lost chambers at Wadi Gawasis after shoveling through cubic meters of rock rubble and wind-blown sand.
Only a few days earlier, Bard had been grading term papers in chilly Boston; now, with flashlight and trowel, she was probing a musty manmade cavern, one that might date back more than 4,000 years.
“When the last layer of sand was removed, stale, fetid air rushed from a crack,’’ Bard said by mobile phone from the dig site, a dried-out water course beside the Red Sea.
The reconnaissance of the room and its relics will take time and caution. The chamber’s most likely contents include ship parts, jugs, trenchers, and workaday linens, as well as hieroglyphic records.
“It’s a storeroom, not a royal tomb,’’ Bard stressed.
However prosaic they seem, the finds at Wadi Gawasis - including the ancestor of the modern package label - really speak of the glitter, gold, and glory of a long-ago civilization that bewitches us still.
The remote desert site at the sea’s edge was established solely to satisfy the cravings of Egypt’s rulers for the luxury goods of faraway Punt: ebony, ivory, obsidian, frankincense, precious metals, slaves, and strange beasts, such as dog-faced baboons and giraffes.
Starting in the middle of the last decade, the Bard-Fattovich team grabbed the attention of nautical archeologists with the unearthing of ship timbers, limestone anchors, steering oars, and hanks of marine rope. The precisely beveled deck beams, hull planks, and copper fittings belong to the oldest deep sea vessels ever found, dating back at least 3,800 years.
The craft appear to have been up to 70 feet long, powered by rowers and sail and capable of navigating deep seas.
“This is exciting stuff, important,’’ said Shelley Wachsmann, a top authority on Bronze Age ships at Texas A&M University’s Institute of Nautical Archaeology. He is not directly involved with Bard’s research.
“She’s found the first fragments of an ancient Egyptian seagoing vessel - a ship that actually sailed in pharaonic times,’’ Wachsmann said.
Now the privately funded work at Wadi Gawasis - and at the nearby port ruins, known as Mersa - is winning wider attention.
This month, Cairo’s Egyptian Museum will open a special exhibition, “Mersa/Wadi Gawasis: A Pharaonic Harbor on the Red Sea,’’ featuring, among other things, cargo seals, voyage accounts, and a shipping crate marked in hieroglyphic text: “Wonderful Things of Punt.’’
Said Rosanna Pirelli, curator of the exhibition: “This is an important scientific event, since the [discoveries] show a more advanced maritime technology’’ in ancient Egypt.
Meanwhile, the PBS science series NOVA tomorrow will broadcast “Building Pharaoh’s Ship,’’ a documentary detailing the reconstruction of a Wadi Gawasis vessel by archeologist Cheryl Ward of Coastal Carolina University. The film airs in Boston on WGBH (Channel 2) at 8 p.m.
The journeys upon the “Great Green’’ - as one hieroglyph-inscribed tablet found at Wadi Gawasis refers to the sea - involved fantastical feats of organization, navigational skill, and daring. Overland trade between Egypt and Punt dates to the third millennium BC. But by 1950 BC, the rival Kingdom of Kush had cut off traditional desert routes, forcing Egypt to find a new passage.
Egypt’s eastern coast - then as now - was too parched to sustain a full-time port and shipbuilding center.
So, using timber hewn from the mountains of Lebanon, Egyptian shipwrights built big vessels on the banks of the Nile, near modern Qift, according to archaeology-based theory.
“These were then disassembled and transported, with all other supplies, over the desert by donkey, a journey of 10 days’’ to reach Wadi Gawasis, Bard said. The site adjoined a lagoon, in which a port was built. The ship parts were marked and rebuilt by number or color code.
The lagoon has long since been swallowed by sand, but satellite images hint at the remains of a slipway or dock.
Sea voyages to Punt would have been so costly and required such a massive logistical effort - probably involving thousands of workers, scribes, quartermasters, sailors, and pack animals - that they probably were launched only a few times per century.
Punt’s whereabouts remain a mystery. Scholars can’t even pin the realm to a continent. Bard places it on the Horn of Africa, in the region of present-day Eritrea and parts of Sudan and Somalia. Other researchers put it on the Red Sea’s Asian shore, in today’s Yemen.
Voyages from the port appear to have been suspended for two or three centuries because of political instability. There is evidence that Queen Hatshepsut, the female pharaoh, dispatched a last sea mission to Punt around 1480 BC, partly to obtain “mortuary incense.’’
Wadi Gawasis held its secrets for millennia.
Then, on Christmas Day 2004 - Bard’s second season of exploring the site - she thrust her hand into an odd hole in a cliff’s wall. She was thrilled to feel nothing: the indication of a larger space beyond.
Removal of rock rubble revealed a room containing a mud brick, some beads, and a grinding stone. Antiquities, sure, but Egypt’s sands are littered with such millennia-old shards and scraps.
Instinct, however, told the professor from Boston that the sun-scorched slopes concealed more than broken pots and earthenware adornments. “It just felt like we were on to something,’’ Bard said.
Within days, the team had uncovered another human-hewn cavern - this one connecting to a series of underground storage rooms. Here were ships’ timbers. Here were sea anchors. Here were bundles of intact nautical rope.
Here was a tantalizing tale of ancient seafaring.
“The rope was neatly stored, coiled, and knotted, exactly as some sailor left it,’’ Bard said. “It was a moment perfectly frozen in time for 3,800 years.’’
Colin Nickerson can be reached at nickerson.colin@gmail.com
Egypte: tombe d'un scribe découverte
AFP
15/04/2010 | Mise à jour : 11:56
Une mission d'archéologues égyptiens a découvert dans la région d'Ismaïlia (nord-est) la tombe d'un scribe royal, a annoncé le Conseil suprême des antiquités (CSA) dans un communiqué.
La tombe datant de plus de 3300 ans découverte à Tell El-Maskhouta, à environ 120 km à l'est du Caire, appartenait à Qin Amin, un scribe royal qui occupait d'importantes fonctions, indique le communiqué.
La tombe contenait également un fragment de plaque de calcaire décorée et sur laquelle étaient gravés des hiéroglyphes représentant le nom d'Avaris, l'ancienne capitale des Hyksôs, peuple pluriethnique arrivé dans la région du delta du Nil depuis l'Asie, précise le communiqué.
Selon le chef du CSA Zahi Hawass, "cette tombe est la première tombe datant de la 19ème dynastie que nous découvrons dans la région du delta du Nil avec un tel degré de perfection et de créativité artistique dans l'exécution des décorations".
Les archéologues ont également retrouvé au niveau supérieur du site 35 tombes datant de l'époque romaine.
Une expérience inédite a été menée sur une des pyramides d'Egypte, et pas la moindre, puisqu'il s'agit de celle de Kheops, ou encore «grande pyramide de Gizeh».
Les recherches ont été financées par la Mankind Research Foundation, association à vocation humaniste dont l'objectif est de résoudre les grands énigmes paranormales de notre temps, dans des secteurs aussi variés que la biophysique, la communication, ou la cancérologie.
Building the Pyramids of Giza By Dennis Balthaser www.truthseekeratroswell.com (http://www.truthseekeratroswell.com) © 5-1-10 Over the years many theories have been proposed about how the three Pyramids of Giza were constructed, however I know of no records having ever been found explaining how they were in fact built, or by whom. Some of the theories proposed have merit; while others are questionable, and I’ll try to explain a few that I’m familiar with in this article. (http://2.bp.blogspot.com/_PXeDY3KOwgA/S-RKtHqHN3I/AAAAAAAAFWY/C5XX2aX22tU/s1600/Dennis+at+Aztec+06+(smlr).jpg)(http://1.bp.blogspot.com/_PXeDY3KOwgA/S-RJazDDdXI/AAAAAAAAFWI/l0p6rwXMAhM/s200/Khafu+Statue.jpg) Not only is the construction of the pyramids a mystery, but their age is as well. Most Egyptologists refer to a period of time about 2600 BC during the reign of the 4th Dynasty Pharaoh Khufu. The problem with that however is the fact that nothing has ever been discovered inside the great pyramid, other than an empty lidless box (coffer) to indicate a Pharaoh was ever buried there, as no artifacts for the afterlife were present when the Arabs first entered the pyramid about 820AD. The only reference to Khufu found was a 3”statue, located miles from the pyramids which is today on display in the Cairo museum. (Not much of a legacy for a Pharaoh supposedly buried in a pyramid built for him.) Researcher Ken Kline has stated that he found evidence of salt water deposits on the inside of the great pyramid, which would predate the age mentioned above, since that area of the world has not had significant rainfall for 5-10,000 years. Kline goes as far as stating perhaps the salt-water deposits he mentions are indicative of the great flood mentioned in the Bible, which would predate the Egyptian civilization. Many structures in Egypt including the Sphinx, also contain seashells and marine fossils fully intact and preserved in the stones used to construct those edifices. (http://4.bp.blogspot.com/_PXeDY3KOwgA/S-RKX-emU6I/AAAAAAAAFWQ/-vI60UzgXDk/s1600/Bosnian+Pyramid.jpg) In recent years several pyramid shaped structures have been discovered in Bosnia, in a town near Sarajevo and Herzegovina, by Bosnian-American archaeologist Semir (Sam) Osmanagich, which are believed to be even older and larger than the those on the Giza Plateau, containing a paved entrance and underground tunnel system, when the woodland covering them is removed. As with the many ancient structures still covered by sand in Egypt, much more research will be required to validate this recent discovery. For more information on the Bosnian pyramids go to http://www.bosnianpyramids.org (http://www.bosnianpyramids.org) (http://2.bp.blogspot.com/_PXeDY3KOwgA/S-RM21eg3GI/AAAAAAAAFWg/ld5LTzVY5X4/s320/Top+of+Pyramid.jpg) A Franco-American study first made in the 1970’s by French chemist Joseph Davidovits, claimed the pyramids of Giza were built by pouring a form of concrete into blocks on the site rather than cutting and transporting large stones from a quarry, at least on the upper portion of the pyramids, since it is apparent that two types of stones were used, (one from the quarries and one man-made.) According to an article published in the Journal of American Ceramic Society, “the chemistry is well and truly different.” The concrete theorists also point out differences in the density of the pyramid stones, which have a higher mass near the bottom and bubbles near the top, like old-style concrete blocks. The 2.5 million blocks used to build the great pyramid were originally covered with polished limestone casing stones. When the great pyramid is viewed from above, one clearly sees that the horizontal surfaces of the uppermost blocks are flat, unlike the rougher appearing surfaces of blocks toward the bottom of the pyramid. The work force required for casting the blocks at the top of the structure would have been greatly reduced also, versus pulling gigantic stone blocks up ramps to place them in their proper position. The use of ramps with 20-30,000 workers over a 25-30 year period seems to be the most popular theory presented thus far for explaining how the 3 pyramids of Giza were constructed. I have some problems with that theory which I’ll explain. Considering the fact that the great pyramid, (Khufu’s), contains 2 ½ million stones weighing between 2 and 70 tons each, and that each stone had to be quarried and shaped away from the site, transported by barge up the Nile River and then set in place, (some at a height of over 400 feet), doesn’t fit the time schedule referred to. To accomplish this, a stone would have had to be set in place every 90 seconds, 24 hours a day, 7 days a week, for 30 years. Prior to the Aswan Dam being completed in 1970 on the Nile, the river flooded annually, which seems to me would have created problems for transporting the massive stones from the quarry to the site, and not allowed for the continuous placement of each stone. (http://3.bp.blogspot.com/_PXeDY3KOwgA/S-RNZeCrBEI/AAAAAAAAFWo/-tBlwJQhh1E/s320/Khafre+pyramid.jpg) Two methods of dragging these stones on wooden sleds to their final location has also been proposed. Using one continuous ramp would have required an extremely long ramp to reach to the upper portions of the pyramid, requiring the ramp to be lengthened every few increases in elevation of the pyramid, and there are over 200 steps or tiers to the summit. Another ramp proposal utilized a spiral ramp on all 4 sides of the pyramid, going upward as each lift or step was completed. The casing stones, which eventually covered the pyramids, were probably started at the top working downward. Today the only remaining casing stones on the pyramids of Giza are at the top of the Khafre pyramid, (Khufu’s son), adjacent to, and slightly shorter than the great pyramid. The Arabs removed most of the casing stones during the 14th century to build their own temples and Mosques. Another theory I have heard mentioned, but have found little documentation on is the possibility of levitation to lift the gigantic stones into place. Researcher Stephen Mehler, in his book “The Land Of Osiris” refers to a civilization in North Africa some 10,000 years ago known as “Khemitians”. According to Mehler this civilization, supposedly had contact with star people. This would of course predate the Egyptian civilization, and as many believe, the pyramids of Giza and the Sphinx are much older than the Egyptian civilization. As an example, it’s a well-accepted fact that the deteriation on the Sphinx was caused by water, not by wind and sand. Using Mehler’s information I’m not proposing that star people (aliens) built the pyramids, but perhaps furnished the technology to build them. Of the 100+ other pyramids in Egypt, none compare with the 3 of Giza, which all appear to be poor replicas built by the Egyptians, of the 3 on the Giza Plateau. Considering the tools the Egyptian’s had available to themselves, the different theories proposed over the years for how the pyramids were constructed, and the technology required, I continue to question some of the information that has been presented about who built the 3 pyramids of Giza and the Sphinx, and how it was accomplished. Perhaps validated information will be forthcoming in the future, but for the present time some of us will continue to doubt and question what we’re being told. The physical evidence is there today for all to see. The only questions remaining are how did they get there, for what purpose were they built, and who built them? | La construction des pyramides de Gizeh Par Dennis Balthasar www.truthseekeratroswell.com (http://www.truthseekeratroswell.com) © 5-1-10 Au fil des ans de nombreuses théories ont été proposées sur la façon dont les trois pyramides de Gizeh ont été construites, mais je ne connais pas de documents ayant déjà été reconnu en expliquant comment ils ont en fait été construit, ni par qui. Certaines des théories proposées ont le mérite, tandis que d'autres sont douteuses, et je vais essayer d'expliquer quelques-uns que je connais dans cet article. (http://2.bp.blogspot.com/_PXeDY3KOwgA/S-RKtHqHN3I/AAAAAAAAFWY/C5XX2aX22tU/s1600/Dennis+at+Aztec+06+(smlr).jpg)(http://1.bp.blogspot.com/_PXeDY3KOwgA/S-RJazDDdXI/AAAAAAAAFWI/l0p6rwXMAhM/s200/Khafu+Statue.jpg) Non seulement la construction des pyramides un mystère, mais leur âge est ainsi. La plupart des égyptologues se réfèrent à une période de temps environ 2600 avant notre ère sous le règne de la 4ème dynastie Kheops Pharaon. Le problème avec cela est toutefois le fait que rien n'a jamais été découvert à l'intérieur de la grande pyramide, autre qu'une boîte vide sans couvercle (coffret) pour indiquer un pharaon n'a jamais été enterré là, car aucun des artefacts pour l'au-delà étaient présents lorsque les premiers Arabes entrée A propos de la pyramide 820AD. La seule référence à Khufu trouvé une 3 "statue, située miles de la pyramide qui est aujourd'hui exposée au musée du Caire. (Pas beaucoup d'un héritage pour un pharaon prétendument enterrés dans une pyramide construite pour lui.) Chercheur Ken Kline a déclaré qu'il a trouvé des preuves de dépôts de l'eau salée à l'intérieur de la grande pyramide des précipitations, qui sont antérieurs à l'âge mentionné ci-dessus, puisque cette région du monde n'a pas eu important pour 5-10,000 ans. Kline va aussi loin que peut-être en précisant les dépôts d'eau salée, il mentionne sont révélateurs de la grande inondation mentionnés dans la Bible, qui sont antérieurs à la civilisation égyptienne. Beaucoup de structures en Égypte, dont le Sphinx, contiennent aussi des coquillages et des fossiles marins totalement intacte et préservée dans les pierres utilisées pour construire ces édifices. (http://4.bp.blogspot.com/_PXeDY3KOwgA/S-RKX-emU6I/AAAAAAAAFWQ/-vI60UzgXDk/s1600/Bosnian+Pyramid.jpg) Ces dernières années, plusieurs structures en forme de pyramide a été découvert en Bosnie, dans une ville près de Sarajevo et-Herzégovine, par l'archéologue bosniaque Semir-américaine (Sam) Osmanagich, qui sont censées être encore plus anciennes et plus grandes que les personnes sur le plateau de Gizeh, contenant une entrée pavée et système de tunnels souterrains, quand la forêt qui les recouvre est enlevé. Comme dans le cas de nombreuses structures anciennes encore recouverts par le sable en Egypte, beaucoup plus de recherches seront nécessaires pour valider cette découverte récente. Pour plus d'informations sur les pyramides de Bosnie aller à http://www.bosnianpyramids.org (http://www.bosnianpyramids.org) (http://2.bp.blogspot.com/_PXeDY3KOwgA/S-RM21eg3GI/AAAAAAAAFWg/ld5LTzVY5X4/s320/Top+of+Pyramid.jpg) Une étude franco-américaine la première fois dans les années 1970 par le chimiste français Joseph Davidovits, a revendiqué les pyramides de Gizeh ont été construites en versant une forme de béton en blocs sur le site plutôt que de coupe et le transport de grosses pierres d'une carrière, du moins sur la partie supérieure partie de la pyramide, car il est évident que deux types de pierres ont été utilisées, (un des carrières et un homme.) Selon un article publié dans le Journal of American Ceramic Society, "la chimie est bel et bien différents . "Les théoriciens de béton soulignent également les différences dans la densité de la pyramide de pierres, qui ont une masse supérieure vers le bas et les bulles vers le haut, comme le vieux-style des blocs de béton. Les 2,5 millions de blocs utilisés pour construire la grande pyramide étaient à l'origine recouverte de calcaire poli boîtier pierres. Lorsque la grande pyramide est vu de dessus, on voit clairement que les surfaces horizontales de la couche supérieure des blocs sont à plat, contrairement aux surfaces rugueuses apparition de blocs vers le bas de la pyramide. La force de travail requis pour le moulage des blocs en haut de la structure aurait été considérablement réduit également, par rapport tirant des blocs de pierre gigantesques des rampes pour les placer dans leur position correcte. L'utilisation de rampes de 20-30.000 travailleurs plus d'un an la période 25-30 semble être la théorie la plus populaire a présenté jusqu'à présent pour expliquer comment les 3 pyramides de Gizeh ont été construites. J'ai quelques problèmes avec cette théorie que je vais expliquer. Considérant le fait que la grande pyramide, (Khéops), contient 2 millions et demi de pierres pesant entre 2 et 70 tonnes chacun, et que chaque pierre a dû être extraite et forme en dehors du site, transportés par barge sur la rivière du Nil et puis définissez en place, (environ à une hauteur de plus de 400 pieds), ne correspond pas au calendrier visé. Pour ce faire, une pierre aurait dû être mis en place toutes les 90 secondes, 24 heures par jour, 7 jours par semaine, pendant 30 ans. Avant le barrage d'Assouan en cours d'achèvement en 1970 sur le Nil, le fleuve en crue chaque année, ce qui me semble aurait créé des problèmes pour le transport des pierres massives de la carrière sur le site, et non autorisés pour la mise en place continue de chaque pierre. (http://3.bp.blogspot.com/_PXeDY3KOwgA/S-RNZeCrBEI/AAAAAAAAFWo/-tBlwJQhh1E/s320/Khafre+pyramid.jpg) Deux méthodes de traîner ces pierres sur des traîneaux en bois à leur emplacement final a également été proposé. En utilisant une rampe continue aurait nécessité une longue rampe d'accès très à la partie supérieure de la pyramide, exigeant la rampe pour être allongé tous les quelques hausses en élévation de la pyramide, et il ya plus de 200 marches ou gradins vers le sommet. Une autre proposition rampe utilisé une rampe en spirale sur les 4 côtés de la pyramide, allez à la hausse comme à chaque étape ou l'ascenseur a été achevée. Les pierres boîtier, qui vont couvrir les pyramides, étaient probablement commencé à travailler le haut vers le bas. Aujourd'hui, le boîtier reste que des pierres sur les pyramides de Gizeh sont au sommet de la pyramide Khéphren, (fils de Khéops), à côté, et légèrement plus courte que la grande pyramide. Les Arabes de supprimer la plupart des pierres boîtier au cours du 14ème siècle pour construire leurs propres temples et des mosquées. Une autre théorie que j'ai entendu parler, mais j'ai trouvé peu de documentation sur la possibilité de lévitation pour soulever les pierres gigantesques en place. Le chercheur Stephen Mehler, dans son livre "The Land Of Osiris» fait référence à une civilisation en Afrique du Nord quelque 10.000 ans connu sous le nom "Khemitians". Selon Mehler cette civilisation, soi-disant eu des contacts avec des gens étoiles. Ce serait évidemment antérieurs à la civilisation égyptienne, et comme beaucoup le croient, les pyramides de Gizeh et du Sphinx sont beaucoup plus vieux que la civilisation égyptienne. A titre d'exemple, c'est un fait bien acceptée que les deteriation sur le Sphinx a été causée par l'eau, non par le vent et le sable. Utilisation de l'information Mehler Je ne propose pas que les gens étoiles (étrangers) ont construit les pyramides, mais peut-être fourni la technologie pour les construire. Sur les 100 + autres pyramides en Egypte, aucune comparaison avec les 3 de Gizeh, qui semblent tous être des répliques pauvres construit par les Egyptiens, les 3 sur le plateau de Gizeh. Considérant les outils de l'Égyptien avait à sa disposition eux-mêmes, les différentes théories proposées au fil des années pour savoir comment les pyramides ont été construites, et de la technologie nécessaire, je continue à remettre en question certaines des informations qui a été présenté au sujet qui a construit les 3 pyramides de Gizeh et le Sphinx, et comment il a été accompli. Peut-être validé informations seront disponibles à l'avenir, mais pour le moment, certains d'entre nous continuent de douter et remettre en question ce que nous dit. Les preuves physiques est là aujourd'hui pour tout voir. Les seules questions qui restent sont de savoir comment sont-ils arrivés là, dans quel but ont-ils été construits, et qui les ont construits? |
L'architecte français Jean-Pierre Houdin estime avoir percé un nouveau mystère de la grande pyramide de Kheops, en Egypte, après celui concernant sa construction : la pyramide comprendrait deux antichambres, où aurait été déposé le mobilier funéraire du pharaon, tout près de la chambre du roi, selon l'hypothèse qu'il a présentée jeudi 27 janvier à Paris.http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/01/27/pyramide-de-kheops-un-architecte-francais-fait-part-d-une-nouvelle-decouverte_1471671_3244.html (http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/01/27/pyramide-de-kheops-un-architecte-francais-fait-part-d-une-nouvelle-decouverte_1471671_3244.html)
Homo sapiens a pu, à l'époque, accomplir sa migration hors d'afrique.
Il est regrettable que les mass media continuent à utiliser le mot "Afrique" lorsqu'ils évoquent cette "migration" de l' " Homo Sapiens" , tout simplement parce que le mot "Afrique" n'existait pas à l'époque . Entretenir cet anachronisme contribue à nourrir des idéologies comtemporaines erronées, certains voulant voir donner l' "africanité" une sorte de statut "premier" dans l'humanité AMA
Oui.
Est-ce simplement l'anachronisme qui te dérange ?
Je me demandais si la récente démission de moubarak pouvait entraîner de nouvelles fouilles archéologiques sur le site de gyzeh, et plus précisément sous les pattes du sphynx ?Pourquoi sous ses pattes? Tu cherches un os?
Il est regrettable que les mass media continuent à utiliser le mot "Afrique" lorsqu'ils évoquent cette "migration" de l' " Homo Sapiens" , tout simplement parce que le mot "Afrique" n'existait pas à l'époque . Entretenir cet anachronisme contribue à nourrir des idéologies comtemporaines erronées, certains voulant voir donner l' "africanité" une sorte de statut "premier" dans l'humanité AMA
Est-ce simplement l'anachronisme qui te dérange ?
pas grand chose à se mettre sous la dent; ça ressemble de plus en plus à un gros fake toute cette histoire !!
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ps : je suis plus enclin a croire que puma punku est un site merveilleux qui merite beaucoup plus d'interets que ces pyramides qui dateraient de la periode glaciaire sic...
les morceaux de pierre decouverts ne sont en réalité que des strates naturelles.
Celle,officielle,subventionnée par les Etats qui étudie uniquement ce qui colle avec l'Histoire que chacun peut apprendre dans les livres scolaires. Et,il y a l'autre,celle qui dérange par ses découvertes. Donc,celle-ci,on l'oublie,on la cache,on la dénie,bref,motus et bouche cousu. Un véritable tabou dans le milieu.
Au centre de la grande pyramide de Gizeh se trouvent des portes secrètes. Et en 2012, elles vont être ouvertes pour la première fois et les questions qui ont troublé les archéologues depuis 1872 vont enfin trouver une réponse. Heureusement, pour les plus impatients, un robot serpent nous a déjà donné un aperçu de ce qui se trouve derrière…
Le micro robot serpent de Scoutek UK s’est faufilé derrière une des portes au début de l’année et a découvert d’un côté des poignées de cuivre et de l’autre, des petits hiéroglyphes rouges. Mais la révolution au printemps a stoppé net l’exploration. Les autorisations délivrées par le conseil suprême des antiquités a annulé tous les permis de recherche. Mais aujourd’hui, ils en délivrent de nouveau.
Le robot va donc pouvoir reprendre ses recherches très prochainement et documenter au maximum ce qui se trouve derrière la pierre qui bloque la porte. Il doit déterminer si la zone est sûre et praticable.
L’expédition s’appelle Djedi, comme le magicien que Khéops consultait quand il faisait construire sa pyramide. Les 4 petits conduits qui se trouvent au cœur de la pyramide ont étonné les archéologues depuis qu’ils les ont découverts en 1872. Les conduits ne font que 20 cm de large et ne peuvent donc être exploré par des humains. Certains experts pensent que ces conduits permettent à l’esprit du pharaon de s’échapper du tombeau.
Dans la pyramide, il y a 3 salles : la chambre du Roi, la chambre de la Reine, et la Grande galerie. La chambre du roi a deux conduits qui mènent vers l’extérieur. Mais 2 tunnels partant de la chambre de la reine mènent à 2 portes en pierre avec des poignées en cuivre. Derrière ces portes en pierre se trouvent une autre pierre. Qu’y a-t-il derrière ?
Ces portes sont polies et doivent donc avoir une utilité plus importante que de stopper des débris. Ces portes mystérieuses seront ouvertes en 2012 si tout va bien… [Dailymail (http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-2073544/Secret-gates-Great-Pyramid-opened-2012-predicts-British-company.html?ITO=1490)]
[...] Les autres statues ne tournent pas, ne bougent pas.
Les vibrations dues aux visiteurs peuvent-elles se concentrer seulement sous cette statue ? (je n'ai pas de formation scientifique :-[)
J'ai tendance à penser qu'il y a une raison logique à ce déplacement... avant d'entrer dans les phénomènes paranormaux... où j'aime bien investiguer aussi ;D.
Les scientifiques « ont pu noter quantité d’anomalies thermiques sur tous les monuments observés (...) mais l’une d’elles est particulièrement impressionnante. Elle se situe sur la face est de la pyramide de Khéops, au niveau du sol », selon la mission.
«L'équipe de ScanPyramids peut confirmer la présence d'une cavité inconnue sur l'arête Nord-Est de la pyramide, à une hauteur d'environ 105 mètres du sol et la présence d'une cavité cachée derrière la face Nord, qui laisse deviner un ou plusieurs couloirs superposés qui s'enfoncent dans le coeur de la Grande Pyramide», précise le communiqué. «La forme précise, la taille et la position exacte de cette structure doivent encore être affinées».figaro (http://www.lefigaro.fr/culture/2016/10/15/03004-20161015ARTFIG00133-decouverte-de-deux-cavites-dans-la-grande-pyramide-de-kheops.php)
qu'est devenu Zahi Hawass?
Mais il sera difficile d'atteindre le 'big void'. "On réfléchit à des modes d'investigation relativement légers, non destructeurs", explique le co-directeur de la mission. "Le CNRS et l'Inria nous ont rejoint il y a un an pour réfléchir à un nouveau type de robot qui pourrait passer par de tout petits trous", ajoute-t-il.L'info était bien gardée, déjà un an qu'ils réfléchissent au moyen d'y entrer !