Merci pour cette belle image, Freddy. Je l'ai reconnue.
Elle est extraite de la série télévisée "Des trains pas comme les autres", dans un numéro consacré à l'Argentine.
Dans ce passage, le voyageur de la série rencontre des gauchos.
J'avais un peu cette idée préconçue en ce qui les concerne, d'hommes frustres et considérant leurs chevaux comme du simple bétail, des outils.
Mais là, je dois bien avouer qu'en voyant cette séquence sur ce gaucho "chuchoteur", j'ai revu en tous cas partiellement mon point de vue; le résultat qu'il obtient avec son cheval n'est pas dû qu'au seul dressage, mais ici, en grande partie à une fantastique communication avec lui, une confiance, un respect mutuel et si je ne me trompe pas, de l'amour.
Quelle leçon pour nos dresseurs classiques; bien que nos objectifs soient différents.
Je ne résiste pas à vous faire partager ce très bel extrait de l'émission.
@Argonot; cette étude pourrait être intéressante, mais pourquoi augmenter le potentiel de travail et de résistance humaine, alors qu'il n'y a déjà pas assez de travail pour tous, et que la tendance est d'ailleurs en ce sens.
J'écoutais des scientifiques et des économistes dernièrement dans une émission, disant justement que nous sommes en pleine transition, et que les machines vont encore plus à moyenne, voire brève échéance remplacer l'humain.
Bref, augmenter le potentiel humain, si tant est que l'étude du cheval, malgré tout différent de l'homme apporte réellement quelque chose, ce serait comme de mettre un moteur de F1 dans une petite citadine qui ne sort jamais de la ville qu'une fois ou deux par semaine....
D'autre part, le cheval est certes un animal très puissant et capable de grandes performances, mais d'un autre côté, il est très très fragile morphologiquement, et il lui faut pour cela absorber de grandes quantités de nourriture et d'eau.
Pas certain que ce soit une bonne idée.