« le: 23 avril 2020 à 20:07:29 »
L'UPR veut débarquer son chef François Asselineau
INFO LE FIGARO - Une majorité du bureau national du mouvement a demandé à l'ancien candidat à la présidentielle de démissionner de ses fonctions sur fond de suspicions de harcèlementFrançois Asselineau ne pense plus printemps. Alors que la France entame sa sixième semaine de confinement, l'Union populaire républicaine (UPR), le parti qu'il a fondé il y a treize ans, traverse la plus importante crise de son histoire. Chantre d'une sortie de la France de l'Union européenne, l'ancien candidat à la présidentielle a volontiers pris les atours, ces dernières années, d'un leader iconoclaste. À la tête d'un parti tout entier acquis à ses idées, et comptant, malgré de piètres performances électorales, plusieurs dizaines de milliers d'adhérents.
Dans une lettre que révèle Le Figaro un nombre écrasant de cadres et de responsables de son mouvement lui ont pourtant demandé, ce samedi 18 avril, de démissionner purement et simplement de sesfonctions de président de l'UPR. « Des faits d'une exceptionnelle gravité ont été portés à la connaissance des membres du bureau national [...] des documents et des témoignages indiquant l'existence de relations particulières et plus qu'insistantes de votre part à l'égard [de collaborateurs], et ce, dans le cadre professionnel, qui ont été source de graves souffrances psychologiques », mettent ainsi en cause vingt membres du bureau national sur vingt-huit, ainsi que treize délégués régionaux sur quinze. suite & source :>> L'UPR veut débarquer son chef François Asselineau (lefigaro.fr)________
Accusé de harcèlement, François Asselineau contre-attaque
Le président du parti UPR dénonce une opération « boule puante », menée par une « officine ». Trente-huit cadres de son parti ont demandé son départ.
Source AFPFrançois Asselineau ne se rendra pas sans combattre. Le président de l'Union populaire républicaine (UPR), accusé de harcèlement par plusieurs cadres de son mouvement, a « démenti catégoriquement » les faits dont il est accusé. Après la publication d'un courrier dans le Figaro appelant à sa démission, il a réagi dans un billet publié dans la nuit de mardi à mercredi sur son compte Facebook. L'opportunité pour François Asselineau de démentir « catégoriquement les allégations infamantes de l'article du Figaro, attentatoires à son honneur, à sa probité et à la préservation de sa vie privée et familiale ». L'ancien candidat à la présidentielle, partisan d'une sortie de la France de l'Union européenne (Frexit), dénonce une «opération 'boule puante", probablement pilotée par une officine », et appelle ses adhérents « à ne pas se laisser intimider ».
suite & source :>> Accusé de harcèlement, François Asselineau contre-attaque (lepoint.fr)
« Modifié: 23 avril 2020 à 20:47:08 par Capitaine Renard »

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