Salut à tous!
En supposant que Dick Criswell ait raison dans ses dires, je cite : "En réalisant qu'il y avait eu une première fuite aux Nations-Unies, ils ont jugé utile de jouer la carte Lorant pour que tout rentre dans l'ordre."
Il y a deux groupes de mots qui m’interpellent, qui sont:
1) ils ont jugé utile de jouer la carte Lorant…
2) pour que tout rentre dans l'ordre.
Dans le premier point, dans quel but auront-ils jugé de le jouer (Gilles Lorant) ?
Après avoir étudié la question, d’après tout ce que nous avons, je ne vois en, Gilles Lorant, qu’un plan prévu pour tester la communauté ufologique Française, mais pas parce qu’il y a eu une première fuite. Quel a été la porté de cette première fuite? L’affaire se situait que du côté US. Nous étions là pour l’instant en observateur. Une fois le plan (Lorant) lancé, la confirmation du meeting connue, cela a engendré une vague. La Fédération A.I.R.P.L.A.N.E, Gildas Bourdais en soutient, Ovnis USA en support médiatique et nous, ses membres du forum en force. Puis l’effet Gilles Lorant s’est propagé dans le monde plus précisément aux USA. La boucle était bouclée. Ils ont vu ce que cela faisait une telle information au sein de la communauté ufologique Française. Nous ne voulions pas respecter cette date. Je peux me tromper, mais je ne pense pas qu’il faille totalement l’écarter.
Dans le deuxième point, "pour que tout rentre dans l’ordre."
Il faut un plan. C’est le CV. La question que je me pose, est comment l’étude du CV est entrée en action. Est-ce l’IHEDN, de sa propre recherche, parce qu’elle a été en connaissance de cette affaire dès le début? J’aimerais qu’on me dise si cet institut est susceptible de s’intéresser à tout type d’évènement touchant au phénomène Ovni. Ou a-t-elle été contactée anonymement par les services concernés qui se tiennent dans l’ombre, afin de lui communiquer qu’un certain Gilles Lorant se faisait passer pour un membre de leur service. Voilà, le pouvoir du CV efface tout, le discrédit contrôlée est en place et l’affaire n’a plus lieu d’être en France.
Je vais m’avancer aussi, en disant que je crois que cette réunion à l’ONU a bien eu lieu et je crois en tout ce qui a été dit, même si par la suite il s’avèrerait que j’ai eu tort. Mais messieurs de l’ONU ne pensez surtout pas que je me range de votre côté. Parce que j’ai une politique, j’ai deux pièces à mes côtés, une à ma droite bien éclairée où se trouvent ceux qui œuvrent ouvertement pour la vérité et une autre à ma gauche, sombre à un point, que je refuse qu’elle soit lécher par la lumière et vous l’auriez compris, pour ceux qui forniquent avec le secret, qui rédigent des démentis et qui soit disant veulent justement la vérité.
Vous faites partie de ceux là et je vous pointe du doigt.