Stephen Bassett: On DisclosureInterview Audio de Projet Camelot13 novembre 2008 SourceHello. C'est Kerry Cassidy de Projet Camelot, je suis avec Bill Ryan de Projet Camelot et Stephen Bassett du Paradigm Research Group. Stephen, nous sommes ici à Sedona pour vous parler de la
Divulgation. C'est une journée magnifique ici!
Stephen Bassett : D'accord. Allons-y.
Bill Ryan: Expliquez-nous en deux phrases pourquoi vous pensez que Barack Obama sera le
" Président de la Divulgation."Stephen: Et bien c'est très simple. Quand la musique s'est arrêtée, il a eu la dernière chaise... C'est une raison. Il y en a une autre: Il y a fort à penser que les démocrates, au niveau des têtes pensantes installées dans les coulisses, (pas au niveau de l'arène politique visible) aient marqué cette ouverture de leur empreinte afin qu'ils soient LE parti de la divulgation. Ce qui signifie qu'ils seraient au pouvoir quand la divulgation aurait lieu.
Comment? je pense avec
L'Initiative Rockefeller qui fut lancée lors de la présidence Clinton en 93. Ils n'ont pu le faire à ce moment là pour tout un tas de raisons, mais après deux mandats avec Bush, ils ont gagné. Ils y sont. Et il y a des preuves qu'ils se sont préparés pour cela.
Je crois que c'est l'une des choses qu'ils vont faire. Ils vont en faire beaucoup, ça va être une présidence importante, pour le meilleur ou pour le pire. LA chose importante est qu'ils vont parler au début du printemps 2009. C'est pourquoi Barack sera le
"Président de la Divulgation"Kerry: Ce sont des initiés qui vous disent ça? Je veux dire des gens du style whistleblower ?
Stephen: Non. Je me base sur des informations publiques au sujet des activités de notables démocrates.
Kerry: Ok.
Stephen: Il n'y a pas d'ambiguïté.
- Les actions de John Podesta au regard de la Coalition pour la Liberté de l'Information.
- Ses affirmations filmées au National Press Club (par deux fois)
- Bill Richardson, qui a été Ministre de l'Énergie, Ambassadeur à l'ONU, membre du Congrès, candidat à la vice présidence, candidat présidentiel, écrit: En ce qui concerne Roswell, l'explication du gouvernement ne tient pas la route.
- Tout cela, avec en plus l'Initiative Rockefeller entière qui implique les Clintons (nous avons les documents qui le prouvent) sans oublier Hillary Clinton qui fut candidate à la présidence.
image invalide ... Toutes ces activités se sont déroulées sans qu'il en soit rendu compte, ni qu'il leur soit demandé des explications d'ailleurs. Ils n'ont jamais eu à dire:
Voici pourquoi nous disons des choses comme ça.Il y a aussi d'autres choses que nous n'avons pas le temps d'évoquer, qui avec ce qui vient d'être dit, m'ont convaincu qu'ils ont décidé:
Nous serons ce parti là, à moins que les républicains n'aient choisi de s'en occuper. Ce que ceux-ci n'ont pas fait.
Bill: Je vous ai entendu dire que cela pourrait être une annonce de quinze minutes, un simple communiqué d'excuses en douceur, pointu et concis qu'il y a des soucoupes, nous ne sommes pas seuls dans l'univers, le contact a été établi depuis quelques temps, les questions de sécurité nationale ont été prises en compte et c'est maintenant ok de révéler ceci.
Stephen: Pas tout à fait, pas tout à fait. Ce que je dis, c'est que cet évènement, la Divulgation, telle qu'il est défini par les activistes, les groupes qui travaillent, dont Paradigm Research Group, s'écrit avec un D majuscule et est défini avec précaution pour de très bonnes raisons.
Ce n'est rien de plus que la reconnaissance par le gouvernement de la présence extraterrestre, qu'ils sont là, qu'ils sont réels. C'est tout. C'est la
Divulgation. Tout le reste, quelle que soit l' information, quoique nous apprenions...sera l'
Après- Divulgation. C'est la ligne de démarcation du paradigme. Cela doit être fait en premier lieu.
Bill: Alors les problèmes seront donc pour l'après-divulgation, n'est-ce pas?
Stephen: En abondance.
Bill: Parce que d'après notre conversation hors caméra, les 15 premières minutes sont faciles. Les heures qui suivront comporteront des sondages détaillés, des questions posées avec intelligence par des journalistes qui ne sont pas des imbéciles, qui feront leurs recherches, qui parleront aux gens comme vous et nous...
Stephen: Bien sûr.
Bill: C'est comme...comment un gouvernement peut-il gérer ça facilement?
Stephen: Le processus de l'après-divulgation ne sera pas facile. Ce sera compliqué et difficile et c'est pourquoi beaucoup de gens brillants sont impliqués et ont de bonnes intentions. Le gouvernement n'est pas stupide. Ils vont gérer ceci d'une façon aussi ordonnée que possible, et d'une façon qui les fera apparaître à leur avantage.
Donc, la conférence de presse initiale pour l'annonce de la Divulgation pourrait durer 1 heure ou 2. Il est évident que tous resteront sur leur faim. Puis ils annonceront alors la date de la prochaine conférence de presse, ok ? comme:
Voyez, nous allons tenir une prochaine conférence de presse pour vous donner de nouvelles informations dans 6 jours. Ou quelque chose comme ça. Ils échelonneront et ils feront tout ce qu'ils peuvent pour présenter les choses de façon ordonnée. C'est exactement ce que quelqu'un de raisonnable ferait et c'est ce que le gouvernement ferait. Ce ne sont pas des imbéciles même si le peuple le pense.
Le plus difficile est le déploiement complet et toute la confusion, tout le monde agissant en même temps. Ce sera comme
la ruée sur les terres de l'Oklahoma, tout le monde qui s'emballe, se précipite sans réellement prêter attention, avec des bousculades, des roues de chariots arrachées, etc.. Il y aura un peu de ça. C'est inévitable. Si tout va bien il n'y aura pas trop de casse et personne ne sera blessé. Ce sera complexe.
Kerry: J'ai une question. Ok?
Stephen: Oui.
Kerry: Comment le gouvernement va t-il divulguer sans admettre qu'il n'a pas le pouvoir réel?
Stephen: Et bien, en premier lieu vous divulguez. Vous n'admettez rien tout de suite. Vous divulguez la présence ET d'accord? Mais, une des questions...
Kerry: Divulguez
où? Comment? Dans le ciel?
Stephen: En engageant notre planète, comme tout un chacun l'a vu pendant des années. Souvenez-vous, la Divulgation ne va pas se produire dans un vide.
Kerry: Ok. Mais il n'y a pas de menace?
Stephen: Ah... Question intéressante...[cherche ses mots]
Kerry: Parce que vous vous confrontez à des questions de souveraineté dés la minute où vous divulguez.
Stephen: Oh, il y a toutes sortes de problèmes.
Kerry: Oui.
Stephen: Le gouvernement doit décider et l'une des décisions les plus difficiles est celle qui concerne une menace. La passent-ils sous silence dans un premier temps? Ce qui veut dire:
nous en parlerons plus tard. Ou bien disent-ils:
Nous ne croyons pas qu'il y ait une menace grave.?Je crois qu'ils diront quelque chose comme:
Il n'y a aucune raison pour vous d'être particulièrement concernés. Il n'y a aucune raison de paniquer.
Kerry: Ok. Ce sont les gens qui ont vu les films, vous savez.
Stephen: Je sais.
Kerry: Et lu les livres.
Stephen: Oui.
Kerry: Et ils viennent de voir
La guerre des mondes de Spielberg.
Stephen: Ouais. Tout juste.
Kerry: Et au fond, ils découvrent que c'est un gouvernement qui a menti au peuple pendant 60 ans.
Stephen: J'appelle ça un embargo sur la vérité.
Kerry: Exactement.
Stephen: Ils nous ont menti sur des tas de choses, comme:
Développez-vous un bombardier furtif? Non. La réponse: "Pour des raisons de sécurité nationale" est acceptée.
Kerry: Et ils ne vont pas mentir sur une menace?
Stephen: Quand ils ont annoncé qu'ils avaient le B-2, et bien, ils l'ont tout simplement sorti dehors. Et des gens auraient pu dire:
peut-être que vous mentez, mais, le voilà ,ce bombardier, il est là. Comprenez bien que cet évènement de Divulgation n'arrive pas dans un vide. Il y a 61 ans de recherches et d'engagement du public autour de cette question et une manne d'informations. Donc, quand ils vont parler, les gens diront:
Ah, c'est de ça qu'ils parlent.Le sujet de la menace a son importance. Je suis certain que ce qu'ils veulent faire, et j'espère qu'ils le peuvent, est de dire tout simplement:
Il n'y a pas à s'inquiéter ou bien:
Il n'y a aucune menace de la part des entités. Mais s'il y en
a une et qu'ils disent qu'il n'y en
a pas, alors là, de suite, nous passons dans le mensonge et bien sûr, ça ne passera pas bien. Donc s'ils
n'abordent pas ce sujet et qu'ils disent simplement: Il n'y a pas de raison de s'inquiéter maintenant, alors c'est un indice qu'il
pourrait y avoir une menace. Et là, nous suivrons l'évolution.
Nous n'avons pas tous les détails. Ils font face à des problèmes majeurs. C'est l'évènement le plus important de toute l'Histoire Humaine. Évidemment cela sera difficile et complexe.
image invalide ... Kerry: Ok. Nous devons aussi savoir: Pourquoi divulguent-ils
maintenant?
Stephen: J'en ai beaucoup parlé. Il y a plusieurs raisons. L'embargo lui-même sur la vérité.
Cette capacité à convaincre les institutions qu'il n'y a pas de raisons d'en parler, d'éduquer le peuple, et de le cacher comme le fait la presse..., y mettre des fonds pour cela, tombe en morceaux et a fait son temps. C'est comme l'Union Soviétique. Ils avaient quelque chose de bon, la structure de la sécurité nationale. Ils avaient tout le monde sous surveillance. Ils pouvaient vous envoyer au Goulag. Ils avaient le contrôle total, une armée immense. Pourquoi n'ont-ils pas duré? Parce que les choses suivent leur cours. Le système s'est écroulé sous son propre poids.... le poids des mensonges. Les mensonges ne sont pas de bons matériaux pour construire.
Cette question a suivi son cours et est pratiquement démêlée. Une première raison pour divulguer maintenant est que le bateau coule... vous le quittez ou alors...
Kerry: Vous voulez dire à cause de gens comme nous, vous et nous?
Stephen: Et des milliers d'autres.
Kerry: Des milliers d'autres.
Stephen: Les vidéos Youtube, les réseaux de News sur Internet, les laptops,...
Kerry: la vérité est bien là.
Stephen: Et il y a encore une autre raison, réellement importante.
Kerry: Ok?
Stephen: On a des raisons de penser que d'autres nations qui sont conscientes de la présence ET au sein de leurs réseaux de renseignements militaires, arrivent à la fin de leurs mensonges là dessus. Et si nous ne divulguons pas, ils le feront. Et nous dirons alors:
Oh, bien ok, la France vient de vous l'annoncer, nous devons donc en faire l'annonce également. Ça ressemble à un État de pleins pouvoirs ça? Ça vous parait venir d'un "leader du monde libre" ?
Pire que ça, la Chine est favorable à la recherche ufologique et n'a aucun problème là dessus. Vous y êtes même encouragés. Vous voulez pratiquer
Falun Gong ? Pas très bonne idée. Vous voulez faire de la recherche ufologique? Aucun problème. C'est une puissance émergente, une histoire vieille de 4000 ans, une croissance de 16% et ils viennent d'envoyer des gens dans l'espace. Ils pourraient très bien divulguer, et là, l'héritage irait au Chairman Mao et ses successeurs...
Je parie que beaucoup dans notre gouvernement n'aimeraient pas ça. On en arrive donc à : Qui commence?
Vous allez attendre? Pourquoi attendre encore 1 mois si la France peut faire sauter le bouchon sur ce
Chateau 1947? Si vous attendez, vous perdez le plus grand héritage politique de tous les temps ! Comment vous allez expliquer ça à vos pairs?
Le jeu prend fin. Ce n'est qu'une question de "qui" et "quand". C'est pourquoi je pense que les démocrates doivent s'engager dans la Divulgation. En outre, tout est là sur l' Internet, nous en parlons tous...
Il se peut que la France dise:
Et bien Monsieur, si vous divulguez en avril, je crois que nous le ferons en janvier, ok? [rires de Kerry]
J'ai une épouse magnifique et les gens m'aiment. Ils l'aiment. Je vais divulguer. Qui est-il? Le président français?
Bill: Le président.
Kerry: Sarkozy.
Stephen: Ah! ce serait un tel coup... un coup de maître que l'Amérique mérite dans un sens.
Kerry: Ok. Mais vous parlez comme si ces gens agissaient indépendamment les uns des autres. Et ce qui nous a été dit par plusieurs témoins, ce que nous comprenons, c'est qu'en fait, ils sont tous du même bord. Je veux dire, la France, les Etas-Unis, le Royaume Uni.
Stephen: S'ils sont tous du même coté, pourquoi renommer les french fries en "freedom fries" en 2004?
Kerry: C'était un geste politique pour que les gens détestent...
Stephen: Ceci n'est pas un héritage politique, c'est de l'Histoire.
Kerry: ...une manipulation du peuple.
Stephen: Voyez, il y a beaucoup de traités. On a l'OTAN depuis toujours. Nous coopérons parfois et ne coopérons pas d'autres fois. Cette affaire a un passé de 60 ans, où toutes les nations, y compris l'Australie ont dit:
Vous avez gagné la guerre froide. Vous avez dépensé 13 milliards. Vous avez gagné WWII. Nous vous sommes redevables. A vous l'honneur.Maintenant ils en ont assez. Tout s'écroule et on est toujours assis sur cet embargo sur la vérité, comme une poule sur son œuf qui essaie d'éclore, mais n'éclorera pas. Quittons au moins l'œuf !
Kerry: En dévoilant ET, vous devez parler de l'énergie libre. C'est le gros problème là. Et c'est une des raisons de la Divulgation.
Stephen: Ce n'est pas un gros problème.
Kerry: Non?
Stephen: Non. Il se pourrait...ça l'a été, dans un sens.
Kerry: Ils tuent des gens pour ça.
Stephen: Quand ils ont senti que l'embargo sur la vérité devait être mis en place pendant la guerre froide par exemple, c'était un problème s'ils montraient cette énergie, cela aurait conduit à la fin de l'embargo parce que les gens n'auraient pas accepté:
Hey, on est tombés sur la technologie antigravité et nous vous en parlons.Les gens auraient dit:
Et tous ces Ovnis dont on entend parler, vous ne l'auriez pas trouvée grâce à eux peut-être? Ce qui aboutit à plus de mensonges.
Ils savaient que la technologie devait rester otage de l'embargo sur la vérité. Maintenant, l'embargo tombe en miettes. Nous en avons besoin de cette technologie. Ok? La façon de faire est tout d'abord de stopper cet embargo. les gens vont se calmer, mais vous allez entendre:
Pourquoi nous avoir menti? Pourquoi vous n'en avez pas parlé avant? Ce à quoi vous répondez:
Je sais que ça vous ennuie, mais attendez, vous n'avez pas vu le cadeau qu'on vous prépare. Ok?
Ba da.Boum...
c'est la technologie sur laquelle on travaille à partir de ces véhicules accidentés. Ça va tout changer. Que dites-vous de l'essence à 15 centimes ? Le chauffage de votre maison pour 5 $ le mois? C'est pour bientôt car cette technologie est maintenant pour tous.
Bill: Oui.
Stephen: Et les gens:
merci, merci, merci. Ok? Et le président monte d'un cran plus haut dans l'histoire de tous les grands dirigeants. Les bénéfices l'emportent de loin sur les inconvénients. Il y a une autre raison pour laquelle cela arrive maintenant et pas avant. C'est une pensée Machiavélique, mais c'est vrai: Les gouvernements tendent à agir dans leur meilleur intérêt. Je dis simplement que le meilleur intérêt du gouvernement est de divulguer maintenant.
Il y a des types assez durs là-dedans. Ils vont s'asseoir là dessus avec un revolver et ne voudront rien lâcher, jusqu'au dernier dossier classifié en disant:
Non! je ne peux pas! Vous ne pouvez pas me prendre ça!image invalide]
Bill: En septembre 2008 il y a 2 mois, nous avons interviewé Bob Dean pour la 2ème fois. Il nous a dit la chose suivante hors caméra:
Le problème avec le président américain s'adressant au peuple pour révéler la vérité dans un communiqué de Divulgation, n'est pas d'admettre ce qu'ils savent depuis toutes ces années, mais d'admettre ce qu'ils n'ont pas encore découvert.Stephen: Oui. Ce serait comme ces gourous financiers qui sont venus à la télé peu de temps après le crash du marché en disant:
Je ne sais même pas comment ces stocks fonctionnent. On ne savait même pas où tout cela nous emmenait? Nous sommes en Terre étrangère, en dehors des courbes..[rires de Kerry]
Mais , nous avons déjà donné. Nous avons appareillé et nous pensions tomber de l'autre coté de la Terre. Nous avons envoyé des types à travers la ceinture Van Allen au risque qu'ils soient brûlés. Nous sommes allés sur la Lune. Nous avons envoyé un vaisseau sur Mars. Oui. Il y a beaucoup de choses que nous ne connaissons pas? Et alors?
Bill: Pensez-vous vraiment personnellement que les dirigeants militaires les meilleurs du monde et le nouveau président US seront à l'aise en disant:
Vous savez quoi? il y a tout un tas de questions que vous pourriez nous poser et que nous ne sommes pas encore prêts à considérer, en dépit des 60 ans de silence?Stephen: Il y a un tas de questions auxquelles ils ne répondent toujours pas, mais au moins nous saurons les sujets qu'ils veulent éviter. Seront-ils à l'aise? Non. Ils ne le seront pas. Mais je suis sûr que Donald Rumsfeld n'était pas très à l'aise pour chacune des conférences de presse qu'il a données. Cela fait partie du travail, si vous ne voulez pas du poste, ouvrez une franchise de fast food.
Kerry: Juste.Je dois vous demander cela. Je sais que vous avez répondu mais je ne crois pas à la réponse. Je peux?
Stephen: Ok.
Kerry: Ce que je veux savoir, c'est...qui est derrière vous? Autrement dit, pour qui roulez-vous? Parce que vous êtes courageux Stephen et nous sommes d'accord avec votre philosophie de Divulgation. Nous le voulons autant que vous.
Stephen: Un mouvement d'ouverture vers la Divulgation est en cours. Dans le monde entier. A cause de ce mouvement et à cause du facteur "prise de conscience" 90% du public disent savoir que le gouvernement ment. 50% disent que les ovnis sont réels. 20% en ont vu un. Et je crois que c'est 14% qui ont dit lors d'un sondage:
J'ai vu un alien ou
j'ai été en contact. Les sites exopolitiques s'ouvrent dans tous les pays. Les candidats politiques sont questionnés...Des documents sortent du Royaume-Uni, de France, le Brésil coopère avec ses chercheurs ufologiques, le Mexique aussi.
Je ne suis qu'un type dans un mouvement qui, parce que je n'ai rien de mieux à faire, a passé beaucoup d'heures devant les caméras et à la TV et qui a pris un rôle dirigeant en tant que porte parole pour la cause. La recherche primordiale et importante est faite par d'autres.
Kerry: Je parle de ceux qui savent, des initiés. Avez-vous des gens de l'intérieur qui viennent vous voir en disant:
Hey Stephen, c'est le moment de passer en force.
Stephen: Non. Les initiés vous parlent à vous, pas à moi, n'est-ce pas? Ils ne me voient pas comme quelqu'un vers qui ils doivent se tourner. C'est vous qu'ils voient ainsi.
J'ai eu quelques réunions avec des gens du gouvernement qui ont confirmé la question ET. Oui. Mais ils ne m'ont pas spécialement cherché. C'est juste à l'occasion d'une rencontre que la question fut posée.
Oui, c'est vrai, mais je ne veux pas l'admettre. J'ai eu un Commandant Sergent-major, un vrai dur, supporter de Bush à 100%, républicain complet, totalement d'accord avec la couverture sur le sujet. Il a dit:
Oui. Bien sûr il y a les ETs, on le sait. Il m'a dit des choses intéressantes mais ce n'était pas la rencontre d'un initié. Il a juste confirmé.
Donc, ne pensez-pas que les initiés viennent me voir. Vous seriez étonnée à force de parler aux gens. La moitié des gens de la Colline, y compris tous les membres du personnel savent qu'il y a une présence ET. Ils ne sont pas différents de la majorité du peuple mais ils n'en parleront pas.
Kerry: Avez-vous déjà parlé de ça à Hillary ou Bill Clinton?
Stephen: Non. Mais j'ai demandé à des gens qui l'ont fait...réponses intéressantes. Une personne dit qu' Hillary était très protectrice et ennuyée qu'on parle à Laurance Rockefeller du sujet. Bill Clinton a été approché également. Mais le genre de discussion dont vous parlez? Non.
Nous avons été mis dans un ghetto. Toute la communauté UFO et activiste a été mise dans un ghetto très tôt, au début des années 50. Nous sommes toujours dedans. Les grands médias essaient d'aborder la question eux-mêmes. Ils ne viendront pas dans notre ghetto pour régler le problème. Ils vont s'arranger avec leurs conditions. La seule question est: Est-ce que les murs de notre ghetto vont tomber pour que nous puissions les rejoindre?
Nous n'avons pas les références. Beaucoup d'entre nous n'ont pas de doctorat. Personne n'appartient au
Skull'n Bones. Et il se peut que nous n'ayons pas les bons contacts, ou l'argent, pour faire partie du jeu. D'un autre coté, nous avons l'Internet avec une exposition importante, et je crois que cette fois ci, ils ne pourront pas se débarrasser des activistes si facilement comme ils l'ont fait après la guerre du Vietnam et le mouvement des suffragettes.
[ b]
image invalide[/b]... Nous sommes là pour rester parce qu'on a nos sites, nos réseaux, on a Myspace, on a Facebook. Nous sommes présents. Je pense que la presse viendra nous voir, ils diront:
vous savez, vous avez fait du bon boulot et nous voudrions savoir ce que vous pensez de ceci. Puis, il y aura des livres, des conférences, dans l'ensemble je pense que nous aurons une bonne post-disclosure. J'anticipe avec joie.
Mais, encore faut-il le gagner. Si vous vous faites rare, si vous vous énervez et faites une colère ou si vous agissez mal, vous êtes éliminé du processus Grands médias. Je m'attend à voir un peu d' imprévu de la part des ufologues actifs et des activistes exopolitiques dans le monde médiatique, y compris de la part des postes gouvernementaux, dans le monde d'après la Divulgation.
Kerry: Ok. Je vais vous dire quelque chose qui pourrait vous déstabiliser. Je comprends que les différentes institutions et agences, c'est à dire la Navy, L'Armée, L'Air Force...
Stephen: Les services... Je suppose que ce serait la NSA, CIA, et...
Kerry: Oui, mais en particulier la Navy, l'Air Force et l'armée... elles seraient dirigées par des groupes extraterrestres différents. Chacune d'entre elles.
Stephen: Ah. Vous voyez...ça, c'est de la théorie exopolitique avancée.
Kerry: Oui. Laissez-moi juste...en théorie, ok? et je conçois que c'est difficile à concilier.
Stephen: C'est de la théorie.
Kerry: Oui. J'ai la question suivante: Dans les coulisses, vous avez les ETs qui ont l'air humain et qui pourraient aller et venir autour du Pentagone, d'après quelques uns de nos témoins comme Robert Dean et d'autres.
Stephen: Bien sûr, oui.
Kerry: Vous avez donc des gens là-bas qui ont l'air humain, qui sont ETs. Vous avez les ETs qui n'ont pas l'air humain qui sont également impliqués et ils ne sont pas forcément copains les uns avec les autres. Vous avez donc un scénario bien plus complexe, qui se déroule dans les coulisses pendant que la Divulgation se fait théoriquement.
Stephen: Peut-être.
Kerry: Nous parlons ici des couloirs de la Maison-Blanche.
Stephen: Arrêtons là. J'ai été approché par beaucoup de gens ces dernières 12 années... d'accord? Avec des tonnes de théories. Elles sont toutes très intéressantes et chacune d'entre elles a un impact potentiel sur le processus de la Divulgation/du monde exopolitique/du monde d'après-la-divulgation.
Contrairement à la présence ET qui a été examinée au point de la certitude absolue qu'il y a une présence ET, plus le fait que le gouvernement le cache, après ces faits, le niveau de certitude baisse rapidement et à ce niveau plus vaste de théories, le fait est que nous ne savons pas.
Bill: Vous dites donc que la seule chose qui vous intéresse, c'est le cœur de l'histoire.
Stephen: Je veux dire qu'il peut y avoir des ETs parmi nous tout comme il peut ne pas y en avoir. Ils peuvent être au Pentagone comme ils peuvent ne pas y être. de cette façon il n'y a donc qu'une voie adéquate et c'est de garder tout ça de coté, à considérer par la suite en se concentrant en premier lieu sur les vérités de base qui sont solides et qui tiendront dans un prétoire, puis continuer sur cette lancée.
Parce que personne n'a ni la sagesse, ni l'argent, ni le temps, ne serait-ce que d'essayer d'incorporer les douzaines de théories potentielles complexes dans une vision d'ensemble. Ça ne peut être fait, comme Clint Eastwood le dit dans
Magnum force: Nous devons connaître nos limitations. L'une des raisons du maintien de l'embargo sur la vérité--et ce n'est pas par manque de respect-- est que ça a été très facile de laisser les chercheurs tourner en rond pendant 60 ans, jour après jour, revenant aux années 40.
Et ça n'est pas correct! Et faire ça à la physique... Donnons aux comités de physique des théories intéressantes, pas très valides, pour que tous les physiciens courent après toutes sortes de choses... afin de ralentir... Ce serait plutôt salement cruel, n'est-ce pas? Et bien, c'est exactement ce qu'ils ont fait avec nous tous.
b]
image invalide[/b]
... Kerry: Ok. Mais que dire de l'idée que Truman a rassemblé un groupe de gens nommés le MJ-12 ? Nous connaissons un producteur qui fait une histoire là-dessus, vendue à ABC et qui passera à la TV bientôt.
Stephen: MJ-12 est très substantiel. Si quelqu'un disait:
Que pensez-vous de la théorie du MJ-12? Je dirais que j'y mets toute ma confiance.
Kerry: Ok. Vous voulez dire que ces théories, qui sont là-bas comme vous dites, on ne peut pas faire avec?
Stephen: Vous pouvez...
Kerry: Ils sauront parce que c'était leur travail. Ils auront les réponses à ces théories.
Stephen: Qui?
Kerry: Ce groupe du MJ-12.
Stephen: Mais c'est pour l'après-divulgation. Voyez, l'après-divulgation...Dés que les choses évoluent de façon appropriée et au fur et à mesure des révélations, ils placeront des gens... des services, des secrétariats, parce que tout le monde ne veut pas tout savoir. Des chercheurs veulent savoir certaines choses et d'autres pas.
Kerry: Ok. Nous allons conclure.
Stephen: Et une vision globale nous sera donnée. On commencera à pouvoir trier, mais ce processus là n'arrivera pas avant l'après-disclosure.
Kerry: Okay.
Stephen: Ce sera beaucoup plus facile. L'après-divulgation pourrait se faire avec quelques millions. L'avant-divulgation se compte en milliards, ça ne vaut pas le coup.
Je suis heureux que l'information arrive à percer, j'aime le fait que nous sommes engagés. J'aime le fait qu'il y ait quelque chose dans l'air. Mais nous devons maintenir le cap et nous devons comprendre nos limitations et nous rendre compte que nous ne pouvons faire plus. Nous ne pouvons pas tout prouver, n'est-ce pas?
David Icke est l'exemple de quelqu'un qui s'est imposé la tâche herculéenne d'essayer littéralement de tout comprendre, sans qu'aucun gouvernement ne coopère.
Kerry and Bill: Hmm... hm...
Stephen: C'est sûrement pas un travail que j'aimerai entreprendre, mais il s'y est mis à fond et il n'y a pas de doutes que ce qu'il a trouvé en grande partie, ce qu'il a découvert, sera avéré et prouvé mais pas tout.
C'est comme les mouvements des suffragettes. Le but était le droit de vote des femmes. Ce n'était pas de résoudre chaque problème qu'avaient les femmes dans le monde moderne,... Non, c'était d'obtenir le droit de vote en espérant qu'une fois obtenu elles pourraient assumer leur propre influence et commencer à corriger les problèmes.
Tous les activismes fonctionnent ainsi. Le travail de Gandhi n'était pas de régler tous les problèmes de l'Inde, ni de construire un nouvel état. C'était de faire sortir les anglais. Les faire sortir et puis voir ensuite.
Kerry: Donc, vous dites que vous avez un cap, vous êtes en mission et actuellement votre mission est très proche de sa réalisation.
Stephen: Exactement. Nous arrivons au but il me semble. C'est pourquoi nous voyons les choses bouger, beaucoup de presse et de média. Les gens sont un peu préparés. Compréhensible hein? Je reste optimiste mais ce n'est pas garanti. Attendons-nous à des surprises.
Kerry: Vous pensez donc que 2009 sera une année passionnante ?
Stephen: Oui. Au printemps 2009. Si ça ne se fait pas nous redoublerons nos efforts pour secouer la cage du gouvernement jusqu'à ce qu' ils cèdent ou bien la Chine fera sauter le bouchon et nous apprendrons tous le chinois sur une pierre de rosette.
Project Camelot 13 novembre 2008.