Je suis assez en accord avec l'idée émise par Niela, en ce sens que rien, dans l'évolution de l'Homme moderne, ne peut laisser penser que les choses peuvent s'améliorer d' elles mêmes, disons, de manière "humaniste".
Ce que je constate, c'est que l'Homme, de par sa nature, et son histoire telle que racontée par la Science qui le montre clairement (ne venez pas me reprocher de faire référence à cette Science que je passe mon temps à critiquer, svp...hihihi...), a toujours été un prédateur, envers la nature et les animaux, mais aussi envers lui même.
De fait, la nature toute entière est elle même un prédateur. Les nombreux exemples nous montrent ces plantes qui grossissent pour étouffer les plus petites qui se trouveront dans leur ombre, sans soleil ni eau, et qui disparaitront, tout comme la chaîne alimentaire nous apprend comment les animaux se nourrissent les uns des autres.
L'homme se prend pour le dernier maillon de la chaîne, le plus fort, et avec l'intelligence, s'est arrogé le droit de transgresser des lois qui pourraient être celles de la nature. L'Homme a-t-il perdu ce lien avec la nature ? C'est une évidence.
La question est : depuis quand ?
Même si ce n'est pas la question la plus importante, elle aurait le mérite de disperser la réponse sur d'autres causes que la seule qui semble aujourd'hui accusée de tous les maux, je parle de la Religion.
Pour autant qu'on le sache, la Religion telle qu'on la connaît n'a jamais été aussi terrifiante que depuis l'avènement d'un Dieu unique, et la prise de pouvoir de l'Homme sur l'Homme, par l'Homme.
Certains chercheurs parviennent aujourd'hui à faire entendre d'autres sons de cloches, remettant en cause les fondements mêmes de la religion dominante, qui quoi qu'on en dise, relie toutes les religions majeures, Cathos, Juifs et Musulmans. Tous ont leur genèse dans l'Ancien Testament, et parlent d'un seul et même Dieu.
Pourtant, l'Histoire qui précède ces écrits devient chaque jour un peu plus différente de celle écrite dans nos livres scolaires et académiques, et bien qu'on peut largement penser que l'Histoire nous est cachée depuis 5 ou 6 000 ans au moins, les témoignages écrits ou archéologiques laissent clairement voir que l'Homme s'est toujours opposé à lui même, que ce soit pour la possession de la femme (chef de tribu, filiation) ou celle de la terre (nourriture, habitat).
Alors bien sur, aujourd'hui on parle des hommes préhistoriques comme de sauvages, et on ne peut présager de croyances ou non qui leur aurait fait reconnaître une entité comme supérieur, un Dieu, ni même de plusieurs Dieux.
Alors comment sait-on si la volonté de l'Univers, et de nous accueillir comme UN peuple, uni ?
On le sait au travers des témoignages de "contactés". On peut les admettre, ici nous sommes plus nombreux à penser que leur existence est réelle que l'inverse, le Projet Camelot nous fournit pas mal de ces témoignages, alors prenons les comme valides, de manière générale, on pourra toujours en écarter, mais ce n'est pas le sujet. Nous serons d'accord pour postuler que les témoignages, globalement, parlent d'un même message, celui du besoin de réconcilier l'Humanité pour lui permettre l'accès à la Connaissance d'elle même, et de tout ce qui l'entoure.
Pour autant, il est bon de remarquer que dans ces témoignages, les reproches qui sont faits à l'Humanité par ces entités plus évoluées, laissent clairement voir qu'eux mêmes ont cette dualité du mal et du bien. Il y a une nuance, c'est qu'ils nous expliquent aussi qu'ils sont neutres. Mais cette neutralité, va à l'encontre de ce que l'Homme a toujours expérimenté, le Libre Arbitre.
La nature même de l'Homme est évoquée dans certains témoignages, comme une nature différente de la majorité des autres races de l'Espace, par sa capacité à ressentir des sentiments, ce que certains ET semblent ne pas, ou ne plus connaître.
Certains vons jusqu'à dire qu'il faut envisager d'abandonner nos sentiments, justement parce que ce sont eux qui nous empêcheraient de voir, de comprendre qui nous sommes. De manière contradictoire, l'idée de l'Amour universel reste toutefois présent dans quantité de témoignages, et en ce sens, incompatible avec l'usage des sentiments. Pour aimer, il faut bien juger ce qui doit l'être, aimer de manière inconditionnelle est un concept philosophique incompatible avec la nature même de l'être Humain, tel que nous le connaissons, et nous devons bien admettre que les Religion n'ont pas aider à rapprocher l'Homme de lui même, par la transformation d'un message d'Amour (Jésus) en un message de haine de l'autre (celui qui est différent), et de la haine du mal face au bien.
Ce serait également devoir ignorer notre Libre Arbitre, seul moyen aujourd'hui de conserver un minimum de liberté, intellectuelle au moins, et seul moyen de faire la part des choses, et donc de juger. Ce n'est qu'en jugeant qu'on peut aimer, ou alors il faut accepter l'amour inconditionnel, et donc, même le pire, peut être que c'est autour de cette "neutralité" qu'il faut réfléchir.
Pour autant, à ce jour, sur Terre, RIEN ne saurait unir l'Homme. Il y a trop longtemps que le fossé se creuse, et la Religion est aujourd'hui le coupable idéal, plus que jamais.
Si l'on y rajoute la théorie que l'Homme ne peut se développer sur Terre, sans conséquences incompatibles avec ce même développement, il ne reste donc que 2 solutions : stopper sa reproduction, voire même réduire sa population, ou permettre à l'Homme de se développer ailleurs.
Ce sont des sujets tabous, et pourtant les témoignages de quantité de contactés reprennent ces concepts du contrôle de la population, du contrôle climatique de leurs propres planètes, de la nécessité de quitter leurs planètes, de manière évolutionniste, ou de manière impérative quand les conditions le leur imposait.
Sauf que pour permettre de se développer ailleurs, encore faut il y être autorisé par ceux qui y sont déjà présents, ailleurs, et ceux qui seraient en contact avec nous semblent clairs : il n'en n'est pas question dans les conditions actuelles, l'Homme est trop dangereux pour les autres races, puisqu'il l'est vis à vis de lui même...
Alors quelle est la solution ? Qu'est ce qui nous "ouvrira" les yeux ? Quels changements drastiques nous amèneront à évoluer ? Cela sera t il naturel, et donc à long terme, ou cela se fera t il de manière naturelle, mais ne dépendant pas de nous ? Ce type d'évènement sera t il climatique ? Cataclysmique ? E (i) T (ti) TIQUE ?
Pourquoi l'idée d'un sauvetage est elle évoquée ? Pourquoi des écrits, des prophéties, parlent-elles de la fin d'un temps pour un nouveau ? Pourquoi cette idée de dimension supérieure ? Quelle est la source de ce concept de dimension ? L'ésotérisme moderne, l'ufologie ou d'autres témoignages plus anciens ?
Comment pouvons nous d'un côté refuser que nous ayons besoin d'être sauvés de nous mêmes par d'autres, alors qu'en parallèle, nous refusons également l'idée de pouvoir nous rassembler nous mêmes ?
La simple idée que nous ayons pu être la créations d'Etres ET, il y a très longtemps, comme des bêtes, des esclaves, nous donne l'envie de vomir. C'est pourtant un concept que l'Homme est lui même en train de développer, le clonage, la robotique, et pour la même raison : l'esclavage. Ces robots, ces clones, feraient ce que nous, l'Homme moderne, ne souhaitons plus faire...
Si donc, certains sont prêts à penser que nous ne serions effectivement qu'une création, il leur faut aussi accepter que nous puissions avoir besoin d'une aide, pour passer à l'étape suivante, si notre développement montre que nous en sommes incapables, seuls. Cela est il incompatible avec le libre arbitre ? A priori oui, puisque nous assimilerions cette aide comme l'obligation de remettre à d'autres le contrôle de notre devenir, et par conséquent, l'obligation de respecter les règles qui iraient avec cette évolution, et aujourd'hui, c'est ce qu'on appelle le fascisme. La Religion nous laissait une marge de manœuvre, le CHEF nous dictait ses règles, que nous étions libres de repsecter ou de transgresser. Mais le résultat est le même !!! Si on respecte les règles imposées, tout va bien (Paradis pour la religion, vie agréable pour l'être humain), mais si on on ne les respecte pas, plus rien ne va (Enfer pour la religion, prison pour l'être Humain) !!! Alors quelle est la différence entre ces deux concepts, Religion et Fascisme ? ...
Toute règle imposée dans le but de contrôler la population, dans sa globalité, sera nécessairement assimilée à cela, et on peut parier que c'est l'un des phénomènes dont l'Homme à peur, l'idée de l'impératif besoin d'une entité supérieure.
Ce serait également la même chose avec le NOM, qui prendrait sa place à la suite d'évènements au sujet desquels nombre d'entre nous spéculent. On parle soit de cataclysmes, soit de guerres, soit d'une pseudo guerre contre l'arrivée d'ET pour nous envahir.
Les anciens, eux, parlent de la fin d'un temps. La fin du temps où l'Homme croyait être son propre chef ?
Pourquoi serions-nous capables d'évoluer selon une voie telle qu'elle nous est montrée au travers des témoignages de contactés, alors même que nous ne sommes pas capables d'accepter l'idée que nous ne sommes pas seuls, ni encore moins que nous sommes des ignorants, comparés aux autres entités, imbus de leur Histoire qui nous a toujours placée comme étant la seule et la plus belle création de l'Univers ?
Au regard de notre histoire, comment imaginer que nous soyons tout d'un coup devenus "Humains" (au sens humanitaire, l'utopie de l'Amour de l'Autre...), alors que depuis toujours, l'Homme montre son incapacité à évoluer vers les valeurs qui semblent impératives pour accéder à la "réalité" que les ET nous décrivent?
Pourquoi tout d'un coup deviendrions nous (nous = tout le monde, sur Terre...) Bons ? Ouverts ? Compatissants ? Aimants ? Capables d'accepter que nous ne sommes que des bébés comparés à ceux qui semblent se pencher sur notre devenir ?
Ha oui, pour terminer, ce tableau est bien morose, mais il dépend d'un point important, celui que des ET nous auraient expliqué qu'effectivement, nous ne sommes pas assez Humains, pour les rejoindre. Mais qui sont ces ET ? Les vrais ? Ou des manipulateurs ?
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