(suite 2)
Aussi utopique que cela puisse paraître, il y a d'innombrables histoires
issues de chaque culture ancienne qui décrivent le monde en
ces termes dans la plus haute Antiquité. Nous pouvons recréer cette
vision à nouveau si nous transformons notre manière de penser et de
ressentir. Les récits les plus complets concernant une race évoluée sont
contenus dans quelques dizaines de milliers de tablettes d'argile
trouvées en 1850 à environ 250 milles de Bagdad en Irak par un
Britannique, Sir Austen Henry Layard lorsqu'il travaillait au site d'excavation
de Ninive, la capitale de l'Assyrie. Le site était situé près de
la ville irakienne de Mosul. D'autres découvertes ont suivi dans cette
région qui s'appelait autrefois la Mésopotamie. La source originelle
de cette connaissance ne provenait pas des Assyriens mais plutôt des
Sumériens qui ont habité cette même région de 4 000 à 2 000 av.
J.-C, selon l'estimation. Je me référerai donc aux tablettes d'argile
sous les vocables « textes sumériens » ou « tablettes sumériennes ». Elles
sont l'une des plus grandes découvertes historiques imaginables et
cependant, 150 ans après leur découverte, elles sont toujours ignorées
par l'Histoire et l'éducation conventionnelles. Pourquoi ? Parce qu'elles
sabotent la version officielle des événements.
Le plus illustre traducteur de ces tablettes est l'exégète et auteur
Zecharia Sitchin, qui l i t le sumérien, l'araméen, l'hébreu et d'autres
langues du Moyen et du Proche-Orient2.
Il a traduit les tablettes sumériennes, les a étudiées de manière
approfondie et il n'a aucun doute qu'elles décrivent des êtres extraterrestres.
Certains chercheurs disent q u ' i l a utilisé une version plus
récente du sumérien pour en traduire une plus ancienne et donc, certaines
de ses traductions pourraient ne pas être précises à 100 %. Je
crois que ses thèmes sont corrects car d'autres récits et évidences les
corroborent mais je doute personnellement de quelques détails. Je crois
que certaines des interprétations de Sitchin sont extrêmement douteuses,
mais j'acquiesce à sa thèse générale.
[color=blueje passe la partie sur l'analyse des tablettes sumériennes car on y apprend rien qu'on ne sache déjà (pour ceux qui s'y intéresse) et qui démontre comment l'histoire a été falsifiée et le côté science fiction qui leur sont propre[/color]
Des études faites par la Corporation anglo-américaine en Afrique
ont avancé de nombreuses preuves d'exploitation aurifère qui datent
d'au moins 60 000 ans, si ce n'est 100 000 ans.
Dans les années 80, Douglas Wallace, de l'Université Emory, en
Géorgie, a comparé l ' A D N (l'acide désoxyribonucléique, le modèle
génétique de la vie physique) de 800 femmes et en a conclu q u ' i l provenait
d'une seule et même femelle ancestrale5. Wesley Brown, de l ' u n i versité
du Michigan, a déclaré, après l'examen de l ' A D N de 21 femmes
de différentes origines génétiques dispersées de par le monde, que ces
femmes provenaient toutes d'une unique source qui a vécu en Afrique,
il y a de cela 180 000 à 300 000 ans6. Rebecca Cann de l'université
de Californie, à Berkeley, a fait de même avec 147 femmes d'origines
raciales et géographiques variées et elle a déclaré que leur héritage
génétique commun venait d'une seule et unique ancêtre, entre 150 000
et 300 000 ans7. Une autre étude faite sur 150 femmes américaines
de souches génétiques provenant d'Europe, d'Afrique et du Moyen-
Orient, ainsi que des aborigènes d'Australie et de Nouvelle-Guinée, a
conclu qu'elles avaient la même ancêtre femelle qui vivait en Afrique,
il y a de cela 140 000 à 290 000 ans.
L'Afrique est la clef pour nous aider à comprendre tant de choses,
mais elle a été ignorée par les chercheurs. En 1999, tandis que je préparais
l'édition révisée de ce livre, j'ai passé de nombreuses heures en
compagnie de mon ami Credo Mutwa, un sanusi Zulu ou ce que
d'autres appellent un chaman. Il est l'un des deux derniers sanusis
vivant en Afrique du sud et il est l'homme de génie le plus étonnant
que j'aie eu l'honneur de rencontrer. Credo est le conteur officiel et
le gardien de la connaissance ancestrale de la nation Zulu. Il m'a raconté
d'interminables histoires de la tradition africaine qui racontent
comment une race venue des étoiles s'est croisée avec des humains et
a produit une race hybride, comment ces croisements ont été désignés
comme les lignées « royales » gouvernantes de l'Antiquité, et comment
elles ont contrôlé la planète depuis lors. (Ces conversations ont
été filmées et sont maintenant disponibles en deux vidéos.) Les récits
de l'Afrique centrale et de l'Afrique du sud donnent différents noms
aux Anunnaki mais, comme le dit Credo, ils parlent des mêmes êtres.
Il m'a montré un « collier » surprenant, fait de cuivre incroyablement
lourd. Il date d'au moins 500 ans et Credo croit qu'il remonte à mille
ans ou plus (voir la section photographique). Suspendus au collier,
on retrouve des symboles parlant de l'histoire de l'Afrique et, là sur
le devant, on voit un extranéen bien membre avec une terrienne
allongée. Ces deux-là s'ajustent ensemble, si vous me suivez, pour symboliser
le croisement. Une soucoupe volante est suspendue au collier
et, ailleurs, il y a une représentation de la constellation d'Orion.
complément interview Credo Mutwahttp://icietmaintenant.fr/SMF/index.php?topic=5703.0