The SS Brotherhood of The Bell:
2/3 Source Joseph Farrell: A ce propos, l'idée d'une civilisation ancienne, et d'essayer d'obtenir des indices, vous connaissez l'expédition Schafer, au Tibet en 38-39?
Bill Ryan: Oui.
Joseph: Himmler en était le sponsor particulier. Je trouve intéressant qu'en dépit de l'influence importante du
Raj Britannique au Tibet, les nazis furent capables d'entrer au Potala et purent quitter le pays avec une copie complète du Kangschur, cette ancienne épique tibétaine sur une société ancienne très sophistiquée. Ils sont revenus en Allemagne avec. Ceci est établi grâce aux recherches de Peter Levenda.
Bill: Ils en connaissent l'importance
Joseph: Tout à fait
Kerry Cassidy: Donc, une partie de leur technologie pourrait venir du Tibet?
Joseph: Je pense qu'une partie de leur raisonnement doit venir de la consultation de ces textes et de ces idées très ésotériques en physique et d'avoir relié les deux car tout s'emboite si parfaitement à différents endroits à différentes périodes que ça en en est stupéfiant.
Vous savez, je n'avais pas osé écrire là-dessus lorsque j'étais professeur, c'est pourquoi j'ai attendu d'en sortir. Maintenant, je vais écrire tout cela.
Bill: Le moins que l'on puisse est que c'est le travail d'un génie intuitif.
Joseph: Oui, je... c'est le moins que l'on puisse dire et là encore, le fait que l'on ait un service organisé du gouvernement et
de plus un département secret, qui s'occupe de ça, veut bien dire que c'est tout à fait bien organisé. Cela implique pour moi, qu'il y a un choix délibéré de penser et rationaliser tout ça.
Bill: Ok. Une question maintenant que nos lecteurs doivent se poser..
Joseph: Oui.
Bill: En fait c'est une question que je me pose également. C'est la déduction revendiquée de la VRIL Society, ces jeunes filles qui faisaient du channeling, remote viewing, ayant accès à des informations par clairvoyance...appelez ça comme vous voulez.
Joseph: Ok.
Bill: Les théoriciens qui affirmaient qu'ils accédaient à des informations venues d'autres planètes, ou dimensions s'en sont vantés.
Joseph: Exact.
Bill: Qu'en pensez-vous?
Joseph: Je ne fonde pas mon analyse du projet Bell sur de l'information channelée ou sur des sources néo-nazies. Mon problème avec cette histoire tient sur 2 points. Premièrement la source est anecdotique et deuxièmement la source qui fait circuler cela a des liens néo-nazis assez ombrageux, ok?
Et il n'y a pas d'autre confirmation en dehors du fait que nous savons que quelque chose nommé Vril Society a existé. Nous le savons parce que c'est le génie scientifique Willy ley qui l'a mentionné le premier lorsqu'il a immigré dans ce pays pour échapper aux nazis. Nous savons donc que cette société a existé. Nous n'en savons pas plus. Ils avaient publié une petite brochure à Berlin avant la guerre, je n'ai jamais pu me la procurer. Je ne sais pas ce qu'elle contient. Donc en ce qui me concerne, c'est une histoire d'origine suspecte et je n'ai rien trouvé d'autre à part ça qui corrobore que les nazis faisaient ça.
Je sais que l'Ahnenerbe fait des recherches que nous appellerions aujourd'hui paranormales ou psychiques ou bien remote-viewing. Il y a donc un contexte général au sein duquel quelque chose comme ça a pu exister, mais ils prétendent que c'est arrivé vers la fin, en fait pendant la première guerre mondiale et vers la fin de celle-ci, bien avant que les nazis ne soient là.
Bill: Je croyais que c'était dans les années 20.
Joseph: Non, je crois qu'il y a 1916 et une autre date, 1919, proche de Berchtesgarten, une autre coïncidence inhabituelle de cette histoire...
Kerry: Avez-vous enquêté sur le remote-viewing, ses origines dans l'histoire nazie?
Joseph: Non je ne l'ai pas fait. Je pense que c'est un aspect de l'histoire qui ressortira un jour. Le problème est d'obtenir... il y a un nombre incalculable de documents Ahnenerbe dans les archives US, mais beaucoup ne sont toujours pas disponibles, la difficulté réside bien dans la possibilité d'écrire une histoire complète. C'est là le problème. Je ne suis pas contre l'idée que la Vril Society ait existé, mais à ce jour, tout ce que nous avons est une sorte de corroboration générale d'un contexte.
Bill: Oui. En quelque sorte vous invoquez le rasoir d'Occam en disant que ce n'est pas la peine d'aller par là. Je vous comprends.
Joseph: C'est juste. ce n'est pas nécessaire parce que vous avez une autre influence occulte à l'œuvre au sein des SS qui entretient une relation conceptuelle spécifique à la physique examinée avec la Bell, et cette influence, c'est cet homme
Wiligut. Il n'y a donc pas besoin d'aller par là. Ce serait une sorte de cerise sur le gâteau s'ils trouvaient:
La conscience joue aussi un rôle là-dedans et nous allons enquêter dans ce sens. Hé bien s'ils rationalisent à ce point, nous avons encore plus de problèmes.
Bill: Ok. Maintenant, après toute cette préparation fascinante... nos lecteurs qui pensent que c'est comme un roman policier...
Joseph: Ou comme un mauvais film de Oliver B.
image invalide
Bill: Qu'est-ce que c'est que cette
Bell? Qu'essayaient-ils de faire? Qu'y a t-il de connu, d'inconnu et pourquoi est-ce si important?
Joseph: Je vous donne les données de base en premier lieu puis je vous dirais comment je les justifie, ma rationalisation est un peu différente de celle de Nick Cook et d'Igor Witkowski, quoique je construise un peu sur certains aspects de leur analyse.
... Tout d'abord c'est un dispositif en forme de cloche de 12 à 15 pieds de haut [3.5 à 4.5m] large de 9 à 12 pieds [2.70m à 3.60m] C'est contenu dans une sorte de métal /céramique ou bien juste de la céramique. Il y a des conduits pour des câbles électriques de gros calibre tout autour du dispositif.
A l'intérieur il y a 2 bidons qui tournent dans le sens inverse des aiguilles d'une montre; je veux être très clair ici, les données que nous avons ne mentionnent pas la configuration interne de ces bidons dans la Bell. Ces 2 bidons contiennent un liquide, un sérum, ce xerum525 dont j'ai parlé précédemment, le composé marron-rouge, probablement du mercure.
Cette Bell est refroidie de façon cryogénique, soit avec de l'oxygène liquide, soit du nitrogène liquide. Ce dispositif se trouve à proximité d'une centrale électrique et émet un son de ruche. La centrale sert à mettre une hyperbole dessus, à quelques mètres des installations dans lesquelles la Bell est soumise aux tests.
Bill: Une sorte de ronronnement que vous obtenez d'un générateur de haute tension.
Joseph: Oui. ce sont les données.
Bill: On connait ces données comment?
image invalide...Joseph: Par un général SS, Jakob Sporrenberg qui prenait part au projet parce qu'il était le général qui a eu pour tâche (à la fin de la guerre) d'aller assassiner 60 des scientifiques impliqués dans le projet.
Bill: Hm...
Joseph: Autrement dit, les nazis tiennent à garder ce projet
absolument secret.
Bill: Je ne savais pas.
Joseph: Oui. c'est comme ça que tout est sorti. Ce général a eu un procès pour ses crimes, procès dirigé par le Tribunal Polonais pour Crimes de Guerre. Bien sûr, la Pologne en passant à l'Ouest avait pris des terres de Pomeranian Silesia et des provinces allemandes d'avant-guerre. La Bell était expérimentée dans cette partie de l'Allemagne devenue Pologne après la guerre.
Donc la Pologne a assuré la juridiction criminelle pour cet homme, nous le savons par l'affidavit qu'il a signé lors de ce procès dans ce tribunal. Il faut bien comprendre que cela se passe après la chute du rideau de fer, après la chute de l'Allemagne de l'Est et après le mariage des 2 Allemagne en 1989, que tout cela est sorti de l'ombre.
Sporrenberg décrit aussi l'effet du dispositif sur les plantes. Les plantes exposées au champ de cette chose en opération se décomposaient en une sorte de
pâtée marron-grise en quelques heures ou quelques semaines, cela variait.
Bill: Décomposées?
Joseph: Oui. Elles se désagrégeaient et ceci sans putréfaction. La première fois pour le premier essai, les allemands n'avaient pas fait quelque chose correctement et 7 des scientifiques sont morts lors de ce test. Plus tard ils ont appris comment contrôler certains de ces effets mortels un peu plus raisonnablement.
Une petite information finale: Quand des essais souterrains avaient lieu, il fallait que ceux-ci soient conduits dans une pièce tapissée de briques de céramique elles-mêmes recouvertes de tapis de caoutchouc. Après chaque test, les victimes du camp de concentration entraient et retiraient les tapis de caoutchouc, ils les brulaient puis ils récuraient les briques de céramique avec de la saumure/eau salée. Ça devait être fait après chaque test.
Bill: Radioactivité?
Joseph: Oui, je crois bien. je le dis car c'est une donnée cruciale.
Puis, pour l'extérieur, les essais avaient lieu dans une structure ouverte proche de toutes ces installations bizarres avec cette centrale électrique au milieu de tout ça. Cette structure se trouvait dans un bassin, une piscine qui aurait pu contenir un liquide. Autour de cette piscine il y a ... Vous pouvez le voir dans le documentaire de History Channel avec Nick Cook, Igor emmène Nick dans cette structure et vous voyez les entrées pour tous ces câbles haute tension.
Pour les tests la nuit, les prisonniers du camp ont décrit cette chose en forme de tonneau qui brillait d'une lueur bleu pâle, ça s'élevait au dessus de la cime des arbres et ça restait là, puis ça retombait plus bas.
Voilà donc les données. Je ne pense pas que les dimensions du dispositif à cette étape de mes recherches ont une grande importance. Voyons donc le refroidissement cryogénique , ok?
Nous savons que nous avons affaire à un appareil qui utilise ces 2 cylindres contrarotatifs et je soupçonne que leur technologie centrifuge de la séparation d'isotope a quelque chose à voir avec ça car ils utilisent une rotation mécanique très élevée.
Nous avons donc une machine de précision qui subit un refroidissement cryogénique. La première chose à laquelle je pense: super-conductivité. Là encore le système de spin, peu de résistance. C'est une sorte de petite bulle, autonome en soi...
Bill: On comprenait la super-conductivité à l'époque?
Joseph: Oh oui. Certainement. La chose suivante est cette substance mystérieuse qu'ils injectent dans ces cylindres et qui tournoie à grande vitesse. Je pense que la présence de cette centrale et le ronronnement émis par la Bell, comme celui d'une ruche indiquent que tout ce bazar est pulsé directement avec un courant électrique de très haute tension.
Et que les cylindres sont montés --Igor est d'accord avec moi sur ce point, c'est son analyse que j'emprunte-- vous avez une cathode et une anode qui forment un arc électrique au centre et pendant que tout ça "spin", et adhère sur le même plan de rotation en étant pulsé, électriquement, ça va aller vers l'intérieur et créer de petits plasmas et vous obtiendrez encore plus de spin de cette machine. [Définition du spin de Wiki: Le spin permet de caractériser le comportement du champ associé à une particule sous l'effet de la symétrie de rotation de l'espace.]
Autrement dit, je rationalise ce dispositif, en fin de compte , comme ceci: Ils essaient de maximiser de toutes les façons possibles cet effet de cisaillement en torsion extrême. C'est exactement ce qu'ils cherchent. Ils essaient de résoudre s'ils peuvent manipuler et construire [engineer] le tissu de l'espace-temps.
Bill: A quelle fin?
Joseph: Je pense qu'il y a 3 buts.
- Tout d'abord il y a un attachement à Forschung Inviclum Inpatento, une entité nazie super secrète qui attire chaque brevet au sein du 3ème Reich et qui a occupé l'Europe plus tard. Il y a des implications de sécurité nationale.
- La Bell est incluse dans l'organisation SS Entwicklungstelle vier, ce qui signifie Development Area 4. La mission de ce département est de rendre l'Allemagne indépendante pour son énergie et c'est bien ce département qui enquête sur des choses comme la fusion contrôlée, l'énergie du point zéro, tout ça est rattaché à ce département.
- La section finale à laquelle la Bell se rattache est le Général Hans Kammler et son think-tank en Tchécoslovaquie dans les Scotia Munitions Works. La mission de ce département est de se remuer les méninges pour passer de la première génération à la seconde, puis à la troisième et à la quatrième --et voici la clé-- pour établir les étapes nécessaires dans l'arbre technologique afin de passer de l'une à l'autre, puis de le faire.
Joseph: La Bell est donc connectée à tous ces départements et, étant donné la physique impliquée, je pense qu'ils essaient de créer un prototype de technologie. J'insiste: Ce n'est pas un ovni, ce n'est pas une arme en soi, et ce n'est pas un dispositif pour l'énergie du point zéro.
C'est une technologie prototypée, ou bien une technologie "Porte d'entrée vers..."qu'ils utilisent pour enquêter chacun de ces 3 buts. Je pense que c'est ce que nous avons avec ce projet. Les résultats ont été suffisamment probants pour eux en 1944 pour qu'ils lui donnent cette classification extrême -
kriegsentscheidend- "War Decisive".
Ils voient donc déjà le potentiel militaire de cette chose. C'est un champ potentiel de propulsion d'une capacité extraordinaire et c'est une arme potentielle d'une capacité toute aussi extraordinaire tout en étant une sorte de technologie unitaire.
Kerry: On dirait aussi que c'est une machine temporelle. Je veux dire, ça a l'air de créer "l'espace" dans lequel est entrée Jodie Foster dans
Contact.Joseph: Oui. J'utilise le terme "dilatation du temps" et je n'y vois pas d'associations de relativité, mais je ne veux pas que les gens pensent que c'est un appareil qui puisse servir de machine à voyager dans le temps, dans le passé ou dans le futur. Mais je pense que les effets de ce champ sur les plantes sont une clé.
Je dois mentionner autre chose: Je crois bien que l'un des buts de ce Xerum et l'utilisation probable d'un isotope de mercure et d'isomères nucléaires, sont précisément le fait que s'ils ont été capable d'aboutir à un effet important de dilatation du temps, alors, la façon de le mesurer et de faire des essais se trouve bien dans les changements de la décomposition radioactive. Je pense que c'est donc encore une raison pour faire pulser ce truc et lui faire faire des spins.
C'est en même temps l'alimentation du dispositif et la mesure de ce qu'ils en obtiennent.
Kerry: Mais est-ce possible , deux choses... L'une, si avec le spin cela crée un portail, en essence cela crée un trou de ver autour...
Joseph: Oui, cela crée cet effet vu comme une "canette tordue".
Kerry: Mais vous dites que la végétation extérieure était affectée.
Joseph: Oui.
Kerry: Y a t-il une possibilité qu'il n'y ait pas le même effet à l'intérieur?
Joseph: Bonne question. A ma connaissance, il n'y a pas de preuves que cet appareil fut construit de telle façon qu'on puisse mettre des personnes, des plantes ou des animaux à l'intérieur. Essayons de nous mettre à la place des nazis un moment et spéculons.
Vers 1942-43, d'après les documents collectés par Igor, il est très clair qu'ils ont obtenu suffisamment de succès avec ce projet pour qu'ils en séparent les composés de physique des composés médicaux, cela indique --Igor le pense et je suis d'accord-- que les nazis ont décidé:
Ok, nous sommes allés assez loin, nous devons apprendre comment limiter les effets de cette chose sur les êtres vivants.
Dans ce cas, alors rien n'empêche les nazis de construire ou de modifier cette machine, d'en construire une autre, afin qu'ils fassent exactement cela. Ce serait une étape logique pour eux mais jusqu'à ce jour nous n'avons pas de preuves qu'ils l'aient fait. Je dis simplement que, oui, il y a un champ autour dont les effets sont mortels.
Bill: Maintenant un saut vers...un saut que peut-être nos lecteurs ont fait. Pour en revenir au début de la conversation quand vous avez dit:
Bien présumons que les allemands soient arrivés à établir une technologie d'arme nucléaire.Joseph: Oui.
Bill: Supposons que les américains aient fait quelque chose avec le Projet Montauk.
Joseph: Okay
Bill: Comme les discours populaires le décrivent, c'est à dire comme un appareil stargate qui inclut une puissance électrique énorme, beaucoup d'essais et d'erreurs...et même l'idée, que le ciel nous en garde, que des enfants des rues furent utilisés et poussés à travers pour voir s'ils survivraient au voyage.
Joseph: Oui.
Bill: Est-ce ridicule ou bien êtes-vous prêt à en parler de façon théorique, y voir une connection?
Joseph: Entre la Bell et Montauk?
Bill: Oui, parce que pendant le cours de cette conversation je voudrais votre avis sur ce qui est arrivé à cette technologie après la guerre. Ce que signifie Kammler et ce qui lui est arrivé. [Farrell rit] Qu'est t-il arrivé à cette technologie et aux contrats passés? et qui, et où c'est maintenant? Ce n'est pas le genre de choses que l'on abandonne, est-ce un projet raté?
Joseph: Non, non. [rit]
Bill: Certainement pas, il y a bien trop de gens très malins qui sont intéressés et veulent continuer à jouer avec ce jouet incroyable.
Joseph: Bien. Parlons un peu de Montauk. Je n'ai pas enquêté sur ce projet, ok? Juste assez pour savoir qu'il y a beaucoup de
théories délirantes là-dessus, je ne veux pas aller dans cette voie. A mon avis, il n'y a qu'un seul livre vraiment bon sur le sujet, et je ne me souviens même pas de son titre.
D'après certaines descriptions du projet: Oui, cela parait semblable aux choses que la Bell cherche à expérimenter, mais pas réellement. Je ne vois donc pas de connection entre la Bell et Montauk. Dans mon esprit, intuitivement, il y a trop d'éléments comme ceux de la Vril Society qui "channèlent" toutes ces informations et que c'est de là que vient cette science. Il y a trop de ça pour moi.
Mais quant à la Bell, j'écris dans mes livres que Martin Bormann est la figure clé ici. Dans chacun des cas où nous avons ces scientifiques allemands qui se livrent aux alliés, comme par exemple des scientifiques de pointe, les États-Unis se retrouvent avec la
crème de la crème ok? Bien.
Pour the Bell: A mon avis,Martin Bormann s'arrange pour que les alliés et l'Union Soviétique obtiennent plus ou moins un partage égal du butin technologique. Selon ma recherche, il s'assure que les US obtiennent des composés cruciaux pour la bombe atomique. L'uranium235 fissible, des fusibles infra-rouge de proximité qui sont bien pratiques quand vous essayez de faire exploser des noyaux de plutonium; toute cette technologie va aux États-Unis.
Et il s'arrange pour que l'USSR obtienne un scientifique nazi de première importance qui avait développé des techniques d'enrichissement d'isotope.
Bill: Qui était-ce?
Joseph: Le Baron Manfred d'Arjona, qui bien sûr a utilisé des cyclotrons et la spectrométrie de masse tout comme Lawrence l'a fait ici. Ceci va donc à l'Union Soviétique -oups !- avec aussi la technologie centrifuge. Il s'assure vraiment que toutes les technologies soient équitablement partagées.
Mais si vous pensez avoir un État Nazi extra-territorial après la guerre, avec une véritable organisation et si vous avez un projet de recherches en cours, alors il y a 2 choses que vous ne pouvez pas avoir:
- Vous ne pouvez pas avoir de bombe A car cela demande des installations d'enrichissement, et bien sûr, ce serait une cible trop visible.
- Vous ne pouvez pas avoir de grandes stations de lancement pour fusées. Vous avez besoin d'un projet vraiment sensationnel qui rapportera des dividendes de façon massive en restant un projet que vous pouvez garder secret. Ok? Et c'est the Bell.
Bill: Okay.
Joseph: En d'autres termes, les alliés et l'Union Soviétique récoltent les jets, les fusées, la vision infra-rouge, les ordinateurs, les puces semi-conductrices, tout ça. mais le projet classifié:
"War decisive", les nazis se le gardent.
Au cours de ma recherche, j'ai trouvé sans aucun doute que le projet de fusion après la guerre dans l'argentine de Juan Peron, n'est rien de plus que la continuation de certains aspects du Projet Bell.
Avec tous ces nazis installés en Argentine, dont Martin Bormann lui-même, nous avons le patron sur place dans la région où ce projet secret argentin se déroule. Ce n'est pas Péron qui commande, c'est Bormann. Il en est le financier. On a donc la Bell qui ne va pas à l'ouest, qui ne va pas à l'Union Soviétique, mais qui va en Argentine.
Kerry: Vous avez mentionné Kammler...je suis désolée mais je dois vous demander..
Joseph: Oui.
Kerry: Vous ne pensez pas qu'il y ait une bonne chance que ce qui se passait en Argentine relevait des US? Parce que de nombreux chefs nazis sont allé aux US, n'est-ce pas?
Joseph: Il y a des nazis qui arrivent aux US, mais pas les plus importants, non. je dis cela parce que...si vous reprenez mon livre
SS Brotherhood of The Bell, je parle de quelque chose qu'Igor mentionne aussi dans son livre: Il semble que les US essayaient désespérément de reformer l'équipe du personnel de la Bell. C'est à dire que nous n'avons pas eu les gens et si nous essayons de reformer l'équipe, cela veut dire que nous n'avons pas eu les documents du projet et que probablement, nous n'avons pas eu l'appareil lui-même.
Si nous l'avions eu nous n'aurions pas eu besoin
du personnel. Nous n'avons donc pas eu grand chose. Je n'ai pu identifier que 2 scientifiques du Projet Bell arrivés aux États-Unis. L'un, Dr. Hubertus Strughold était impliqué dans l'aspect médical du projet. L'autre est un type nommé Dr. Kurt Debus.
Et là, ce type est intéressant puisqu'il était l'homme qui a conçu la centrale électrique pour la Bell. Voici pourquoi cet homme est important. J'ai une photo de lui dans le livre et il se tient juste à coté du Dr. Wernher von Braun à la NASA, et ... les voilà qui sourient en tournant la tête et leur regard... ils savent où ça part!
Il se tient à coté de Wernher von Braun à la Nasa, et ils montrent quelque chose dans la distance, c'est un supérieur, directeur de vol pour le programme Apollo au Cap Carnaveral. Il a donc droit de regard sur tout ce qui se passe à la Nasa en tant qu'administrateur,
mais cet homme ne sort pas de Polytechnique ! C'est un électromécanicien !Bill: Bizarre ça, non?
Joseph: Plutôt !C'est tellement bizarre d'aller là où vous m'emmenez. C'est étrange que je pense, de toutes façons, que c'est un signe qu'il y a une technologie alternative en jeu ici.
Bill: Ok.
Joseph: dans le programme Apollo.
Bill: Ouep !Laissez-moi vous conter une anecdote qui vous fera sourire. C'est une histoire personnelle, je ne pense pas que Kerry la connaisse. Mon père était un expert en reconnaissance faciale, expert de ce système. Il travaillait avec le British Home Office. Il a inventé Photofit, le système de reconnaissance utilisé pour attraper les truands. D'ailleurs, Identi-Kit, le système précédent était l'idée qui lui fut volée.
De temps en temps le British Home Office le consultait pour unerequête spéciale. Je me revois assis à la table de la cuisine dans les années 70, et je revois mon père regardant des photos de Martin Bormann...
Joseph: Ah ! Bigre !
Bill: ...et il avait été consulté avec ces photos que le Home Office tenait d'un vieil homme qui les avait envoyées d'Argentine ou du Brésil, je ne me souviens plus, (mon père n'est plus en vie). On demandait à mon père si cet homme retrouvé dans les années 70 était bien Martin Bormann, mon père avait répondu: Oui, absolument, c'est lui. En voilà une anecdote?
Joseph: Oui.[rit] J'en ai une également, elle ne m'est pas personnelle mais je la mentionne dans mon livre
Nazi International. Le journaliste CBS, Paul Manning, un associé proche de Ed Murrow, le célèbre reporter qui était au Royaume Uni durant le Blitz, puis plus tard à la TV. hé bien Manning a écrit un livre. C'était après que Ladislas Farago ait sorti le sien sur Bormann, le 4ème Reich et tout ça. Manning était un peu irrité de la façon dont ils avaient traité un collègue journaliste, il écrivit donc:
Martin Bormann: Nazi in Exile Il avait vérifié que les documents utilisés par Farago pour son livre étaient bien réels, et ils l'étaient.
Mais il a aussi trouvé autre chose. En 1967, Martin Bormann a encaissé un chèque de Manufacturers Hanover et Chase Manhattan Bank encaissé par la Deutsche Bank à Buenos Aires en Argentine, le chèque encaissé avec sa propre signature.
Bill Incroyable, étonnant !
Kerry Je ne comprends pas. Vous ne soutenez pas ce lien entre... je ne sais pas dire son nom.. ce type en Floride
Joseph: Debus. Kurt Debus.
Kerry ...Debus, ok et Borman. En fait vous dites qu'ils n'ont plus jamais parlé?
Joseph: Oh non ! Non, non. Je ne réfute pas ce lien du tout ! Bien au contraire. Non. Je suis tout à fait d'accord avec Richard Hoagland et Mike Bara, qui, comme vous le savez, dans
Dark Mission dressent les grandes lignes suivantes: Arrivé aux dernières missions Apollo, ce sont les Nazis qui sont l'influence maitresse au sein de la Nasa. Dans
SS Brotherhood of The Bell je mentionne bien que notre surveillance initiale de ces scientifiques allemands qui étaient là pour incorporer notre programme de missiles, puis notre programme spatial débutant, cette surveillance a montré qu'il semblait y avoir une sorte de chaine de commandement entre tous ces nazis toujours en vie, et qu'ils échangeaient même du courrier.
Ils conduisaient des voitures de luxe, et avaient de l'argent
de source inconnue. Ça ne pouvait pas venir du salaire d'un scientifique de la Nasa. Ils conduisaient ces Mercedes et rien n'a jamais été fait à ce sujet. Pour moi c'est suspect car cela indique clairement qu'ils ont une connection avec cette organisation nazie d'après-guerre. C'est très clair.
Kerry Alors qu'en est-il de Wernher von Braun et son lien avec tout ça?
Joseph: Avec tout ça?
Kerry Oui. Avec Debus. Parce que s'ils travaillaient ensemble, y a t-il plus qu'une relation de travail? Où se situe-t-il dans ce tableau?
Joseph: Bonne question ! Je ne fais aucune spéculation à ce sujet dans mon livre. Mais je vais le faire ici car c'est une question excellente. Si l'on considère l'hypothèse des Messieurs Hoagland et Bara, dans
Dark Mission nous avons, en fin de compte, un programme spatial à deux vitesses. Nous avons celui pour le public avec les fusées, les feux d'artifice et tout le tralala, tarte aux pommes & co... Et puis, il y a autre chose. Nous avons affaire à un trou noir d'informations. Il y a des histoires tout autour...puis ce grand trou noir en plein milieu, plutôt remarqué pour sa noirceur, ok?
Hé bien, cette petite photo de von Braun et Debus, pour moi est comme l'icône de ce que vous voyez avec ce programme spatial à 2 vitesses parce qu'il est très clair que ces deux hommes sont engagés dans une conversation privée, derrière la vitre. Ils portent tous deux des oreillettes, ils sont très proches et regardent quelque chose au loin, ok?
Je pense que cette relation a commencé en Allemagne Nazie car je sais que Debus faisait également partie de l'équipe de Wernher von Braun à Peenemünde. Il construisait les équipements de mesure de ces rampes de lancement pour les essais des fusées stationnaires que les nazis avaient construites. C'est le travail qu'il faisait pour von Braun. Et il a aussi une connection au Projet Bell.
C'est pourquoi je trouve votre question intéressante, si vous examinez les documents Cooper-Cantwell ( Documents Majic12 ) --et je n'argumente pas le pour ou le contre de leur authenticité-- je ne regarde que la preuve des documents eux-même, hé bien, ils corroborent cette photo car ils suggèrent que ces scientifiques nazis de
Paperclip ont été emmenés sur le site de Roswell pour qu'ils y voient les débris. La première chose qui m'est venue à l'esprit:
Euh...pourquoi amener des scientifiques nazis si vous soupçonnez que c'est extraterrestre? Vous voudriez garder ça aussi classifié que possible de votre dernier ennemi, n'est-ce pas? Mais vous les amenez sur le site parce que ça a l'air allemand.Et von Braun...ok? Vous avez von Braun et Arthur Rudolph et tous ces scientifiques nazis, qui regardent ce truc et ils sortent l'explication de ce que c'est. C'est une sorte de moteur à neutrons, avec de la fusion en cours, bada, bada et bada. Cela me dit que si c'est vrai, alors quelqu'un --si c'est de la désinformation-- quelqu'un sait que Debus et von Braun ont dit quelque chose il y a longtemps, en Allemagne Nazie et que von Braun en savait assez sur cet autre projet secret pour être capable de dire ça à ses interrogateurs américains.
image invalide ...Retournons à cette photo. Pour moi, ce programme spatial double commence
pendant la seconde guerre mondiale
en Allemagne Nazie. Pourquoi? Vous avez des fusées visibles, vous avez ce Projet Bell et tous ces secrets qui ne sortent pas avant la réunification allemande. Les nazis s'assurent que les deux puissances obtiennent les fusées et les jets, mais ils gardent ce projet pour eux.
Bill S'ils le gardent pour eux, qu'en ont-ils fait depuis 63 ans?
Joseph: C'est la question par excellence. Revenons en arrière. Vous avez Martin Bormann en Argentine, un compte bancaire commun avec Juan Peron, assis sur une pile qui représente...800 millions de dollars. C'est une sacrée montagne d'argent à cette période. Investi convenablement...Et Bormann était un magicien financier, aucun doute là-dessus, l'art de faire fructifier de l'argent. Bien investi, vous pouvez nourrir ce genre de projet indépendant, le changer de place... A un certain moment je pense qu'il faudra un partenaire si ça devient un truc utilisable.
Mais oui, en 63 ans, il est très possible qu'ils aient résolu les problèmes médicaux, c'est à dire le coté d'une personne physique à l'intérieur qu'ils feraient voler, ok? On peut tout à fait concevoir que cela est possible.
Il est même concevable que beaucoup plus tôt, vous puissiez prendre des aspects de cette technologie pour les marier à des technologies plus conventionnelles pour augmenter les capacités de celles-ci. C'est pourquoi je pense que cette photo de Debus et von Braun à la Nasa est extrêmement parlante, parce que si Debus est impliqué dans le programme Apollo et dans le Projet Bell... Je répète, cela me montre une technologie alternative possible. Ça et d'autres choses également. Je n'argumente pas le cas sur cette seule donnée.
Donc, oui, en 63 ans, qu'ont-ils pu faire? Les questions médicales ont dû être réglées. très possible. Ils ont peut-être trouvé une application pratique pour l'énergie libre. Mais voici la mauvaise nouvelle, voyez: une fois de plus il se peut qu'ils aient été capable d'en faire une arme. Et cela, pour moi, est la partie la plus effroyable.
Bill Mais si je vous comprends bien,vous dites qu'il y a un groupe isolé de nazis, peut-être leurs descendants, quelque part en Amérique du Sud, probablement l'Argentine.
Joseph Brésil, Chili...Oui.
Bill Avec un accès à cette technologie exotique et exportée et avec des fonds en continu, une protection en continu, qui vient de quelque part.
Joseph Quelque part.
Bill Qui font quoi? Ils n'ont pas à payer de facture d'électricité? Ils volent dans les airs partout, regardent partout et en font une arme contre qui? Ça n'a pas grand sens en soi.
Joseph Bien. je vous donne un contexte. L'effondrement financier actuel est pour moi le signe qu'il y a une cassure en cours entre les groupes d'après-guerre. Je parle des fondateurs du groupe Bilderberg; Lawrence et David Rockfeller et un Rothschild. Ceux-ci représentaient les intérêts anglo-américains de leurs corporations.
...Mais, du coté européen, le fondateur principal est Prince Bernhard, des Pays-Bas. Qui est-il? C'est un officier SS. Et de ce fait, vous avez toujours une chaine de commande nazie d'après-guerre, existante. Si vous avez un commandement nazi d'après-guerre existant, alors un officier SS comme Bernhard rapporte à son chef qui est Martin Bormann, qui lui, a un rang de Général SS 4 étoiles, ok? Mais Bernhard est aussi vice-président de --oh, voyez, voyez-- IG Farben...? IG Farben vient d'être totalement liquidée, en quelle année?
Bill: Aucune idée.
Joseph En 2003. Cette corporation était si grande, si énorme et tous ces accords de licences partout dans le monde étaient un tel sac de nœuds que ça a pris tout ce temps pour s'en débarrasser complètement. C'est un pouvoir énorme.
Kerry Est-ce que Bormann rend des comptes à von Braun?
Joseph Non. Von Braun fait son rapport à... Si quelqu'un rend des comptes dans cette chaine là, c'est von Braun qui fait un rapport pour Bormann. Mais revenons au Prince, car un personnage important est également présent lors de ces premières rencontres Bilderberger... Il s'agit Dr. Herman Joseph Abs, le PDG de la Deutsche Bank, l'une des plus grandes banques internationales. Celle qui a encaissé ce fameux chèque pour Bormann à Buenos Aires; chèque émis par Manufacturers Hanover et la Chase Manhattan Bank; deux grosses banques Rockfeller.
En rejoignant toutes ces petites informations, il me semble que le premier but caché du groupe Bilderberger après la guerre, était de prendre tout ce cash liquide des mains de ces nazis d'après-guerre pour le déplacer vers les banques occidentales, le laisser à ces banquiers là. Je soupçonne même que beaucoup de liquide ait été transféré sous le manteau. Somme toute, ils blanchissent une énorme quantité d'argent.
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